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3,3

sur 786 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Raté , tout simplement. Comme bon nombre de lecteurs, je n'ai appris l'existence de Margaret Atwood qu' à travers la diffusion de »La servante écarlate «  dans une série d'une grande beauté avec un scénario complexe et envoûtant. Vivement intéressé et admiratif, j' apprends que le livre original a été écrit en 1987 et qu'Atwood est un auteur important et même « nobélisable »
A priori, une oeuvre fort intéressante et dense. Je commence donc ce livre récent avec beaucoup de curiosité.Effectivement, le début du livre est passionnant, même si le scénario de cette dystopie n'est pas nouveau. Mais où on attends inventivité et originalité, le livre s'enlise complètement
dans un mélange de lieux communs et même d'une certaine vulgarité à connotation vaguement sexuelle . le tout devient totalement abracadabrantesque et on peine à finir le livre
Avec presque un certaine tristesse pour l'auteure qui, de toute évidence, peut nettement mieux faire mais s'est égarée dans la facilité et la futilité
Si vous aimez les dystopies, relisez Globalia de Rufin qui tient autrement la route
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Margaret Atwood s'est essayée à l'humour avec cette dystopie mais a raté son coup avec moi. Comment dire? Une farce grotesque, assaisonnée de blagues salaces de mauvais goût, aux dialogues insipides me rappelant ceux de L'Affaire Harry Québert, des personnages sans profondeur et un récit qui frôle l'inanité.
Pourtant, le début était prometteur avec ce couple, Stan et Charmaine, obligés de vivre dans leur voiture à la suite de complications financières et professionnelles. Désireux d'améliorer leur sort, ils intègrent un concept novateur de ville autosuffisante (Consilience) basée sur l'alternance de courts séjours en prison (Positron) et la pratique d'un boulot dans la vie quotidienne, mais sans possibilité de communication avec le monde extérieur. le slogan dit tout : Condamnés + Résilience = Consilience. Un séjour en prison aujourd'hui, c'est votre avenir garanti.
Un thème qui aurait pu lever, d'autant plus que Margaret Atwood est aguerrie dans ce genre de littérature. Je n'y ai pas reconnu sa plume inspirée, à tel point que je me suis demandé si un autre avait écrit ce nanar à sa place. Déception + Grande attente = 1 étoile.
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De nombreux lecteurs ont comparé ce pavé à "1984" de George Orwell. N'étant pas amateur de romans de science fiction en général, ni de "dystopie" en particulier, je ne me sens pas fondé à émettre une critique objective de ce "chef d'oeuvre de Margaret Atwood" comme le qualifie la 4 ème de couverture de "C'est le coeur qui lâche en dernier".

Il n'en est pas moins vrai que ce roman m'a terriblement ennuyé.
Le modèle de société proposé n'est que très sommairement décrit, et j'avoue ne pas y avoir compris grand chose !
De plus, les personnages et leurs "alternants" sont (inutilement) affectés de plusieurs noms, ce qui ne facilite pas la compréhension de l'histoire.

L'aspect totalement farfelu de certains détails m'a permis de "tenir' jusqu'à la 200 ème page. Mais trop de farfelu tue le farfelu... et j'ai été contraint d'abandonner Stan et Charmaine, leur prison dorée et leurs déboires ridicules !
Il faut dire, qu'en plus, le style d'écriture est pénible à lire et que la traduction est souvent défectueuse...

Finalement, notre modèle de société semble avoir encore de beaux jours ! Et pourtant...
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Je dois dire que je suis assez mitigé sur ce livre…

Nous faisons connaissance avec Stan et Charmaine, un couple vivant dans leur voiture, essayant de survivre dans un monde que la crise économique a rendu pauvre et dangereux.
Jusqu'au jour où Charmaine tombe sur un spot publicitaire qui leur promet un avenir meilleur.

Cet avenir c'est Consilience et Positron.
Il s'agit de deux villes jumelles.
La première est une jolie petite ville, avec de jolies maisons et appartements, où les gens ont tous un travail, un logement et sembles heureux.
L'autre est une ville prison où les habitants doivent se rendre un mois sur deux pendant qu'un nouveau couple occupe leur maison… jusqu'à ce que ce soit à leur tour d'aller en prison.

Comme ils le disent si bien dans leur slogan : « Consilience = Condamnés + Résilience. Un séjour en prison aujourd'hui, c'est notre avenir garanti. »

Une fois entré dans ce projet qu'est Consilience, il est impossible d'en sortir.

Cette dystopie est assez loufoque.
C'est le premier livre que je lis de Margaret Atwood et je ne m'attendais pas à ça.
J'imaginais cette femme plutôt sage alors quelle surprise j'ai eu en lisant ce roman !

Et quelle déception aussi quelque part…
Car alors que l'histoire commence simplement en étant très prenante, ça devient vite n'importe quoi. du moins à mes yeux.
J'ai eu vraiment du mal à adhérer à tous les délires des personnages et au comportement du mari que je trouve vraiment hallucinant. Je ne pense pas avoir déjà connu un homme qui avait réellement son cerveau placé au niveau de son entre-jambe. Pas à ce point là.

En conclusion :

J'ai aimé la première partie, mais pas le reste…
Je m'attendais à une histoire bien plus sérieuse. Même si j'aime l'humour, là c'est trop loufoque à mon goût. ça part dans tous les sens. J'ai dû m'accrocher pour finir ce roman que j'ai trouvé très (trop ?) long à cause de tous ces rebondissements un peu fous.
J'ai eu du mal à aimer les personnages qui ont chacun un caractère bien différent mais pourtant sont détestables chacun dans leur genre. (Charmaine est niaise tandis que Stan est un obsédé)
Bref, je ne conseille pas spécialement cette lecture, mais si le résumé vous plaît, tentez votre chance. J'ai vu beaucoup d'avis positifs donc vous pourriez aimer.
Lien : https://visiondemma.wordpres..
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Comme avec La Servante Ecarlate, le résumé interpelle. Et puis vient la lecture et là on réalise que ça se tient pas, que ça repose sur des clichés, en particulier le personnage de Charmaine, creux et bidon.
Manifestement, Atwood c'est pas pour moi.
Lien : https://www.ramona-lisa-read..
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Bof! Je ne l'ai pas fini. Histoire trop factice, trop de ficelles et raccourcis faciles. Je n'ai pas du tout aimé la narration.
Temps perdu !
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Rarement lu un livre aussi ennuyeux. Et pourtant je l'ai bel et bien terminé.
La dystopie en soi ne manquait pas d'intérêt mais les personnages sont affreusements inintéressants, un peu stupides, uniquement portés par des émotions erotico-nunuche insipides.
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