C'est l'histoire du virus qui a transformé les humains en zombies et décimé une grande partie de la population mondiale.
Il semblerait qu'un chercheur fou ait trouvé un antidote. Il est coincé, avec son équipe, dans les décombres du métro new-yorkais.
On envoie une équipe...
Terminus est le dernier opus de la trilogie Zombiesque le dernier Bastion. Si le premier m'avait enchanté, le second épaté, ce petit dernier m'a vraiment déçu. Les ingrédients sont les mêmes mais la mayonnaise ne prend pas. L'histoire ne m'a pas du tout emportée ; une mission à haut risque, des hordes de zombies affamés, des militaires sur-entraînés, la mort à chaque recoin mais l'étincelle ne prend pas et je me suis ennuyée ferme.
Les personnages ne m'ont pas plu dès le début et ça va beaucoup trop vite pour moi.
Je garde malgré tout un excellent ressenti sur cette trilogie qui m'a fait vivre des aventures incroyables et que j'ai vraiment adoré.
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Une lecture remontant à cinq ans déjà… J'en garde néanmoins un bon souvenir. le groupe, bien que caricatural, fut plaisant à suivre au milieu de ce monde rempli de zombies en tous genres… Une plume fluide et immersive… Ainsi qu'une ambiance oppressante !
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- Vous devez m'amputer le bras. [...] Vous êtes des secouristes du FDNY, toi et Tombes. Vous avez tout ce qu'il faut de médocs et de scalpels. Coupez mon bras au niveau du coude avant que cette saloperie ne se répande.
Donahue secoua la tête.
- Désolée, mon gars. Tu connais la chanson : une morsure suffit. Tu es infecté ; pas d'antidote, pas de remède.
Il leva les yeux sur elle comme un enfant apeuré.
- Tu dois bien pouvoir faire quelque chose !
Lupe les rejoignit alors. Elle se dressa devant Galloway et lui tendit sa hache.
- Fais-toi un garrot et tranche-toi le bras si ça te change, mais on sait tous mes deux que t'es foutu. A ta place, je réfléchirais à la façon de passer mes dernières heures.
Des membres de l'autre équipage réussirent à s'extirper de l'appareil en flammes. Des silhouettes chancelantes surgirent alors des ruelles et des bâtiments alentour pour converger vers l'incendie. L'équipage fut rapidement encerclé et réduit en pièces.
- Est-ce que tu vois des survivants ? demanda Nariko.
- Non. Aucun.
- Tu es sûre ?
- Oui, j'en suis sûre.
- Alors, fais ton boulot, bordel de merde, et conduis-nous jusqu'au Fed.