Nous retrouvons Ken Misoguchi et ses collègues pour cette seconde partie de "Manhole". Les choses se corsent. Un quartier tout entier est envahi par les moustiques-tigres, porteurs du virus. Pendant que les services publics le décontaminent, les services de police continuent d'enquêter. L'hypothèse de bioterrorisme se confirme. Mais voilà que l'un des inspecteurs se blesse et se retrouve en contact direct avec du sang contaminé...
Comme dans le tome précédent, l'enquête avance encore doucement, mais les nouveaux éléments qui viennent s'y attacher nous gardent en alerte. le suspense est peu exploité mais le fait de suivre l'intrigue par les services publics d'un côté et les flics de l'autre donne beaucoup de rythme. Il y a au final très peu à lire, les pages se tournent rapidement et on a tôt fait d'arriver à la fin. Une grosse demi-heure en tout, c'est plutôt rapide pour 210 pages, mais j'aime bien la manière dont sont amenés les événements.
Ce second volet est aussi soft que le précédent. On est loin du gore qu'on m'avait promis. Mais aucune importance, l'intrigue étant très intéressante et bien menée.
Le troisième et dernier tome promet la vérité sur toute cette affaire. Parce que si on devine un peu qui est derrière tout ça, qu'on en comprend son procédé et plus ou moins ses raisons, il reste à nous en dévoiler son objectif final... L'épidémie pourra-t-elle être contenue ? Les traitements déterminés seront-ils vraiment efficaces ? Pourra-t-on éradiquer tous les moustiques-tigres ? Jusqu'où est prêt à aller le présumé coupable ? Quelle est la seconde étape de son plan ? Où veut-il vraiment en venir ? Je découvrirai tout ça avec plaisir.
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Dans la ville japonaise de Sasahara, un homme nu erre au milieu d'une zone commerciale. Les autres promeneurs sont inquiets et s'éloignent de l'homme en piteux état mais celui-ci s'agrippe néanmoins un jeune homme dont l'attention est distraite par son téléphone portable. Mais personne ne sait à ce moment-là qu'une épidémie va se développer à grande vitesse …
J'aime bien quand les séries manga comportent un nombre raisonnable de tomes et c'est le cas avec cette série-là : seulement 3 tomes et c'est très bien pour conserver un rythme dynamique au récit. L'histoire est toute simple : un virus est libéré et va contaminer rapidement les gens qui se retrouvent à son contact. Se posent alors plusieurs problèmes que vont essayer de résoudre nos personnages : quel est ce virus, comment le combattre et limiter la contagion et est-ce un acte terroriste. Un duo de flics, un vieux briscard et une jeune femme toute fraiche émoulue de l'école, se retrouvent donc à enquêter et je dois dire qu'ils sont bien sympathiques bien qu'un peu cliché. le dessin est typique des mangas, avec quelques scènes un peu brutales visuellement, mais les personnages sont faciles à identifier et on ne s'y perd pas. Bien sûr, ce genre d'histoire a été souvent exploitée un peu partout (ciné, livres, BD) mais cela ne rend pas cette lecture moins intéressante pour qui aime ces thèmes, ce qui est mon cas !
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Un nouveau personnage repoussant au possible, infecté, sort d'une bouche d'égouts et s'en prend à une jeune fille, il est arrêté et incarcéré mais son comportement est pour le moins étrange, une dame d'un certain âge prépare à manger et se taille les doigts, et surtout des milliers de moustiques tigre menacent de propager le mystérieux virus. Des scènes de panique, du gore, une menace angoissante, le dessin est très fin et expressif, on tourne les pages à cent à l'heure... Brrr! vite la suite!
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Je vous remercie pour votre précieux témoignage. Mais dites-moi... vous avez vraiment cru à l'histoire de cet homme ?
Non. C'était un baratin difficile à gober. Je voulais seulement... en finir avec tout ça.
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le pitch ? Un délinquant en réinsertion sociale découvre un jeu mystérieux. le but ? Rester en vie. Une règle ? Tous les coups sont permis.
À la clé, 100.000 yens pour chaque adversaire battu… Un one-shot haletant !