Il faut quand même bien reconnaître que ces personnages, ces caractères sont à peu près tous des caricatures : le baron addict au sexe, sa femme une véritable sainte,
la cousine Bette une indéfectible perverse - dont on se demande d'ailleurs comme elle s'y retrouve elle-même dans le double jeu qu'elle mène avec tous ces personnages.
Tout cela manque de subtilité, d'analyse des complexités psychologiques humaines.
Une déception.