AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,98

sur 90 notes
5
9 avis
4
7 avis
3
1 avis
2
2 avis
1
1 avis

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Je n'ai rien contre un peu de sensualité dans un roman, voire de l'érotisme, mais dans Coldheart Canyon, l'auteur a poussé le bouchon un peu loin à mon goût.
Non seulement le sexe est omniprésent, mais en plus, il s'accompagne de scènes violentes, de toutes sortes de fantasmes et de perversions, bref, ici la luxure sous toutes ses formes est à l'honneur et j'ai trouvé ça un peu cru mais aussi franchement répétitif.
Pour donner un exemple concret, j'aime beaucoup le foie gras, mais autant déguster une fine tranche déposée sur une tartine croustillante me fait saliver, autant un gros morceau de 5 cm d'épaisseur posé sur la même tartine ne me fera pas envie, c'est trop épais, ça manque de raffinement et c'est écoeurant.
Par ailleurs, le roman est un peu long, il y a de nombreux passages qui se répètent.
Sinon, l'histoire est sympathique, l'auteur nous fait découvrir un homme, un acteur adulé par des milliers de fans car il est très beau, même si son jeu d'acteur n'est pas exceptionnel.
Mais comme il sent qu'il vieillit un peu (il a 34 ans !) il va décider de passer sous la lame d'un chirurgien qui parait-il, fait des miracles. Malheureusement, l'intervention se passe mal et notre héros se retrouve défiguré.
Il va donc aller se cacher quelque temps dans l'ancienne maison d'une actrice renommée en son temps. Mais cette demeure révèlera bien des surprises.
L'auteur nous entraîne dans une histoire de maison hantée, mais le vice et la luxure jouent des rôles primordiaux dans cette histoire.
J'ai bien aimé l'aspect fantastique du roman, beaucoup moins les nombreux passages sexuels très explicites qui n'apportent finalement pas grand-chose à l'histoire.


Commenter  J’apprécie          331
Parut en 2001 sous le nom de ColdHeart Canyon A Holywood Ghost Story. Une première partie est écrite par Benoît domis qui narre la biographie de l'écrivain. Très riche, on y apprend pleins de choses comme par exemple que le livre de sang fut écrit lorsqu'il était comédien dans une troupe de théâtre et que c'était pour divertir les comédiens, mais surtout pour financer la troupe. C'est alors, qu'il comprit qu'il possédait un don, ainsi que bien d'autre, celui de l'écriture. On y apprend aussi qu'il écrit tous ses textes à la mains et son homosexualité, mais ça je le savais déjà.

Pour ce qui est du roman en lui même, Clive Barker avait l'intention de faire une courte satyre sur le monde du cinéma, milieu qui lui à laissé un goût amer de son expérience personnel. Mais les notes s'accumulent et le roman s'allonge considérablement. Il rajoute son univers si propre à lui le fantastique.

Dans les années 30, le cinéma est au tout début de son histoire. Zelfer, un agent de la jolie actrice et star du grand écran, se rend dans le village natal de la demoiselle situé en Roumanie. Il visite un monastère afin d'acheter ce qui pourrait ravir la jeune femme et, l'emporter dans sa demeure à LA. de nos jour, le cinéma à bien changé, désormais, c'est le monde de l'argent, des paillettes, des paparazzis. Todd est un acteur au sommet de sa gloire, beau gosse, il a énormément de succès et, excelle dans l'action. Mais arrivé à la trentaine et surtout, le flop qu'a engendré son dernier film, il décide de rebondir et tente de jouer dans un nouveau blockbuster. Mais il ne parvient pas à convaincre le patron de la Paramount. Ce dernier laisse suggérer que si Tod se faisait refaire le visage, il pourrait accepter de financer son prochain film. L'opération ne se passa pas comme prévu.

Clive Barker est un génie, il fait pourtant parti de ses auteurs méconnus qui mériterait que l'on se penche d'avantage sur ses oeuvres. C'est un artiste, je ne connais pas ses autres activités, mais il a un véritable don, celui de l'écriture. Les phrases se suivent avec une telle fluidité que la lecture est immersive et plaisante. Ce roman est vraiment très bien écrit, j'avais l'impression d'y être tour à tour en Roumanie et en Californie. Il a réussi à faire vivre ses personnages et on se prend d'amitié, je pense à Tammy la présidente du fan club de Todd, ou de haine pour certains. J'ai beaucoup aimé certains passages comme celui avec le paon, celui de la maison de retraite ou bien encore un de ceux du pays du Diable. Et puis, j'ai énormément apprécié l'évolution des personnages. Cependant, ce livre n'est pas parfait puisque certains passages sont un peu long et surtout ces 3 extraits où la pornographie est dérangeante. Ce livre démontre la facette caché des stars, la luxure, la richesse, l'égoïsme, l'égocentrique, le mépris et tant d'autre.

Bref, un très bon livre que je conseille.
Commenter  J’apprécie          141
Coldheart Canyon - A Hollywood Ghost Story
Traduction : Jean Esch

J'ai longuement hésité à lire Clive Barker en raison, justement, de sa réputation assez sado-masochiste. "Coldheart Canyon" lui-même, je l'ai croisé, il y a de cela deux ou trois ans, sur les présentoirs du rayon Fantastique, à la FNAC de Noisy et, bien que fortement tentée par la quatrième de couverture, je ne l'avais finalement pas acheté parce que j'avais peur d'être déçue. (Et puis, les couvertures étaient vraiment glaçantes et racoleuses ...)

Et puis, à la faveur d'une critique rencontrée sur un blog recommandé par notre ami Yvon, je me suis dit : "Pourquoi pas ? ..." Et j'ai foncé. Et je ne le regrette pas.

Dans ce livre, Barker ressemble aux auteurs que j'aime : il prend son temps pour asseoir son intrigue, il n'exégère pas dans le gore même s'il s'en sert parfois et il sait mener son récit sans que celui-ci s'essouffle. Oh ! il y a certainement quelques petites imperfections mais l'un dans l'autre, cela se tient. Or, jusqu'ici, parmi les auteurs fantastiques que j'ai lus, je n'ai rencontré ces qualités que chez Poe et Lovecraft (lesquels n'ont produit pour le premier aucun roman, pour le second que le très bref "L'Affaire Charles Dexter Ward"), Shirley Jackson (là encore, peu de romans : "Maison Hantée" et "Nous avons toujours habité le château", lequel est plus insolite que fantastique), Stephen King (sans commentaires :Wink), Graham Masterton bien sûr et, cerise sur le gâteau, Peter Straub. Rien que du beau monde, par conséquent. Mais Barker ne dépare pas parmi eux.

"Coldheart Canyon" est le nom d'une maison construite, dans les environs de Hollywood, par une star de cinéma muet d'origine roumaine : Katia Lupi. Maison somptueuse comme il se doit même si, lorsque Todd Pickett, un acteur en perte de vitesse qui vient de se faire faire un lifting, la prend en location, elle n'a plus été habitée depuis longtemps.

Un soir qu'il rumine des idées noires sur son avenir alors que son agent, Maxine, vient juste de le larguer en lui déclarant qu'il n'avait plus d'avenir cinématographique et que, de toutes façons, elle n'en peut plus de se battre pour lui, un soir donc, Todd fait la rencontre d'une séduisante jeune femme qui lui dit s'appeler Katia Lupi et vivre dans les dépendances de la propriété. Une idylle plutôt torride se noue très vite entre les deux personnages.

Pendant ce temps, Tammy Lauper, une quadragénaire souffrant de graves problèmes de poids et d'une vie sentimentale peu épanouissante, s'introduit dans la propriété. Tammy, qui est présidente du Fan-club de Tod, s'inquiète de la brusque disparition de ce dernier et elle est à la recherche de tout ce qui pourrait lui confirmer que son idole se porte comme un charme. Elle aussi va faire dans le parc une étrange rencontre, celle d'un vieil homme décharné qui lui dit s'appeler Willem Zeffer et être l'agent et secrétaire particulier de la propriétaire des lieux.

Mais bientôt, Tammy se voit attaquée par une bande de créatures monstrueuses, mi-spectres, mi-animaux, douées qui mieux est du sens de la parole ...

Ce n'est là qu'un bref apperçu de la richesse de ce roman édité en deux tomes de près de 400 pages chacun aux éditions J'Ai Lu Millénaire. On y retrouve en outre le thème des univers parallèles saupoudré d'une malédiction lancée non par Satan mais par son épouse, Lilith, le tout recouvrant une satire féroce de la société hollywoodienne qui devrait ravir les cinéphiles.

Certes, quelques petites imperfections peuvent être relevées çà et là : le fait par exemple que Katia qui, à un certain moment, fait tout pour sauver Todd de la Mort soit prête, dès le lendemain, à le poignarder parce qu'il s'oppose à ses volontés ; où encore la question que le lecteur se pose à la fin sur la disparition de tous les spectres qui hantaient la maison : oui, où ont-ils pu aller ? ...

La fin est aussi peut-être un peu "plaquée." Elle m'a fait songer à celle de "Ghost" - le film. Mais enfin, outre que cette vision des choses peut être vraiment celle de Clive Barker, peut-être celui-ci a-t-il voulu aussi se faire un petit plaisir en concoctant une happy end qui réconforte tout le monde.

Et puis, de toutes façons, rien n'est parfait en ce monde. Pour l'essentiel, "Coldheart Canyon" tient son lecteur en haleine tout au long de ses huit cents pages et c'est bien l'essentiel, non ? :o)

Commenter  J’apprécie          120
Les auteurs de littérature d'horreur sont légion. le milieu regorge d'écrivains talentueux et l'amateur de frissons n'a que l'embarras du choix. Koontz, Campbell, Rice et bien sur l'homme qui nous intéresse Clive Barker font partie de cette génération qui a marqué son monde, chacun avec leur genre et leur imagination débridée (je ne cite volontairement pas Stephen King, référence absolue et mondialement (re)connue).



Mais venons-en à Barker.
Artiste avec un grand A, ce Monsieur au CV long comme le bras, est un exemple de productivité et de créativité, peintre, réalisateur, scénariste et écrivain, ce couteau suisse artistique n'a désormais plus rien à prouver à personne. Il est l'auteur des Livres de Sang, référence en matière de nouvelles horrifiques, et de plusieurs films dont Cabale, adaptation cinématographique d'un de ses romans qui a inspiré un certain Cradle Of Filth pour son album Midian, et entre nous, qui n'a jamais entendu parler des Cénobites et de Pinhead ? Quel amateur d'horreur n'a jamais vu Hellraiser qui a largement terrorisé les mioches comme moi, à l'époque avec son esthétique sado-maso, son ambiance morbide et ses décors gothiques ?
Mais point de chronique cinéma ou musicale pour cette fois, c'est aujourd'hui du Clive Barker écrivain dont nous allons parler et plus particulièrement de son roman Coldheart Canyon.

Quelques mois à peine après avoir refermé le Royaume des Devins, pavé onirique d'une beauté parfois noir, c'est les pages de Coldheart Canyon que j'ai hardiment parcourues pour vous pondre cette chronique. Avec le Royaume des Devins, Barker nous prouvait l'étendue de son savoir-faire en nous proposant un récit fouillé à l'intrigue complexe se déroulant à cheval dans notre monde et dans un monde imaginaire sortant tout droit d'un tapis enchanté (je vous l'accorde présenté comme ça, ce n'est pas terrible), toujours est-il que l'auteur s'engouffra avec ce livre dans les contrées de la littérature fantaisiste, chose qu'il continuera avec des oeuvres comme Imajica qui, cette fois-ci, s'adressera à un public plus jeune.
Alors je vous vois venir, vous vous demandez pourquoi diable je vous parle du Royaume des Devins, un livre de fantasy, alors que le sujet du jour est Coldheart Canyon un roman bien ancré dans la veine horrifique? Et bien simplement pour appuyer le fait que Barker est un véritable caméléon et que son talent ne se limite pas à un seul genre.



Coldheart Canyon

D'entrée, le décor est planté. La Roumanie dans les années 20, une forteresse sombre gardée par des moines, un secret ésotérique qui les ronge et deux mystérieux étrangers venus fourrer leur nez dans leurs affaires, la formule classique pour bien démarrer puis changement de décor, Hollywood de nos jours. Todd Picket, star de cinéma sur le déclin décide de passer le cap de la chirurgie esthétique pour relancer sa carrière, mais cette expérience le laissera défiguré. Devant fuir les médias et le feu des projecteurs, son agent lui dégotte une paisible petite bicoque qui finalement se révélera être un véritable calvaire.

Voilà le bref résumé (histoire de ne pas trop en dévoiler) de Coldheart Canyon. Comme d'habitude chez l'auteur, le texte est fluide, et ne se prend pas la tête avec d'infatigables figures de style, non, tout est fait pour une immersion totale et rapide. Les premières parties défilent à une allure folle sans pour autant être bâclées, Barker veut en venir au fait rapidement pour laisser encore plus de place à l'intrigue et à ses fameuses scènes chocs dont lui seul a le secret, tout en prenant soin d'introduire correctement son personnage principal. Non content d'en mettre une bonne couche dans la tronche du système hollywoodien, Barker tisse au fil de l'histoire une ambiance de plus en plus sombre qui dérivera (forcement) sur le fantastique.

C'est alors que le récit prend la tournure qui a rendu Barker célèbre dans ce style. Des scènes orgiaques aux détails les plus crus (frôlant parfois la pornographie), aux monstres ignobles qui peuplent l'aventure, tout dans ce livre est là pour mettre le lecteur mal à l'aise tout en lui donnant l'envie d'aller encore plus loin pour satisfaire sa curiosité malsaine. La rencontre des deux héroïnes donne un nouveau souffle au récit et aborde de nouveaux thèmes, l'ésotérisme et le sexe faisant leur apparition pour un mélange détonnant. Alors oui, l'auteur parle de sexe (ce n'est pas une nouveauté chez Barker) et de pratiques sexuelles peu courantes (quoi que), mais pas de quoi crier au loup ni d'être choqué outre mesure, cela aide simplement à cerner un peu plus les personnages.

Cependant, malgré la virtuosité avec laquelle Clive Barker mène (ou malmène) ses personnages, le roman n'est pas exempt de tout reproche. Arrivé à la fin du livre, certain événement pourrait paraître vite traités, comme si l'auteur avait décidé de simplement de l'inclure sans vraiment trop savoir comment les faire terminer. Aux dires de Barker, Coldheart Canyon a été un texte difficile à apprivoiser et a été le fruit de beaucoup de modifications. Ce qui devait sûrement être une critique envers Hollywood à la base se transforme en un roman fantastique mélangeant les deux genres, d'où l'impression d'une fin abrupte de la partie fantastique.
Le deuxième point négatif concerne le côté critique de Barker. Comme je le disais précédemment, celui –ci ayant connu quelques déboires avec des sociétés de productions au niveau de ses films, l'Anglais déverse une critique acerbe et sans concession qui sent tout de même une certaine rancoeur et un certain dégoût pour la sphère cinématographique. Bien sûr, Barker ne se contente pas de vomir sa bile gratuitement, mais les sentiments cachés derrière tout ça se révèlent clairement quand on connaît l'histoire du bonhomme.

Pour l'amateur du genre, je dirais simplement que tout est là. Un roman sombre et torturé, mené tambour battant par plusieurs personnages tous aussi travaillés les uns que les autres, des scènes chaudes comme la braise, de l'ésotérisme, enfin le genre de formule classique qui fait mouche à chaque fois. Je déconseille toutefois ce livre aux personnes sensibles, mais pour les autres, amateurs de sensations fortes, un conseil, n'attendez plus et jetez-vous sur ce Coldheart Canyon !
Zoskia


Lien : http://www.acheron-webzine.c..
Commenter  J’apprécie          61
Coldheart Canyon est un roman surprenant. Malgré un début un peu long et des descriptions trop nombreuses pour être immersives, l'histoire finit par devenir intéressante, voire même troublante. Une chose est sûre, je ne m'attendais pas à un livre comme celui-ci ! Coldheart Canyon est un roman étrange qui met mal à l'aise…
Les personnages sont tous bien créés et l'histoire en elle-même est pleine de rebondissements. Un roman entraînant, parfois choquant, mais néanmoins totalement bluffant !
Lien : http://smallthings.fr/lespet..
Commenter  J’apprécie          30
En Résumé : Voila une histoire sombre, angoissante et macabre qui devrait en ravir plus d'un et qui en tout cas m'a offert un très bon moment de lecture. L'auteur ménage parfaitement son histoire, la rendant de plus en plus oppressante pour le lecteur page après page. Les personnages sont vraiment fascinants et très bien travaillés, on suit leurs péripéties avec plaisir. le style de l'auteur est vraiment fluide, simple et efficace, mon seul reproche concernant ce livre sont quelques longueurs, mais pass de quoi gêner la lecture. Par contre ce n'est pas un livre à mettre entre toutes les mains pour cause de scènes à l'érotisme débridé.

Retrouvez ma chronique complète sur mon blog.
Lien : http://www.blog-o-livre.com/..
Commenter  J’apprécie          23
Un début assez classique pour un livre axé fantastique : des mythes religieux, des moines défroqués, un riche américain qui pense que tout peut s'acheter, une mystérieuse fresque, qui aurait été commandée par un noble sanguinaire d'Europe du Nord.
Va-t-on nous rejouer Dracula ?
Après une soixantaine de pages, nous découvrons une Los Angeles contemporaine. Lors d'une avant-première de blockbuster, des stars partout ( Cruise, Pitt, Swcharzy, Weaver ... ), de la lumière, du faste, des paillettes, et beaucoup de vent.
Barker n'est pas tendre du tout avec les stars, ni avec le système, qu'il connait bien. On enchaîne les vannes, pour découvrir un héros peu glorieux, malgré son aura d'"acteur le plus beau" du Tout Hollywood. Il est purement insconsistant, morne, et surtout tyrannique. Insupportable.
Seulement, voilà. le pauvre Todd Pickett n'est pas, et n'a jamais été un bon acteur, et cette avant-première signe la fin de sa gloire fugace. Il tombe dans l'ultime narcissisme : la chirurgie esthétique ( il n'a que 30 ans ).
Autant Barker à toujours aimé que ses héros soient veules, autant là, ça atteint des sommets dès le début.
J'ai été très, très surprise par ce livre. Ce qui qualifie Barker dans mon esprit, c'est avant tout cette magie qu'il sait créer. Magie de l'atmosphère, des lieux, des situations. Et même quand cette magie s'entremêle d'horreur, elle reste une échappatoire splendide.
Je n'ai pas retrouvé mon auteur favori ici ... Il passe en réalité tout son temps à démonter la magie du cinéma. Les scènes orgiaques, les défauts des personnages ne font que renforcer le côté malsain de l'histoire.
J'ai aimé ce livre, réellement.
Pourtant, je ne peux pas m'empêcher de penser que jamais, je n'ai lu un Barker aussi cynique, aussi désespéré, aussi plein de culpabilité, aussi perdu, autant en quête de rédemption. Même pas les livres de sang.
Commenter  J’apprécie          20


Lecteurs (226) Voir plus



Quiz Voir plus

Les titres des romans de Clive Barker

Quel est le titre correct ?

Le Palais des Devins
Le Domaine des Devins
Le Territoire des Devins
Le Royaume des Devins

12 questions
31 lecteurs ont répondu
Thème : Clive BarkerCréer un quiz sur ce livre

{* *}