L'auteur arrive décidément à vraiment recréer l'atmosphère de la série, et surtout la dimension des personnages. On peut presque voir le dixième docteur dans sa frénétique agitation de génie mêlée de folie ( à moins que ça ne soit l'inverse). Et mille petite détails rappellent le jeu de l'acteur.
Et puis l'arrivé des daleks est elle aussi splendidement maîtrisée. La peur qu'ils transportent avec eux, ce petit frisson qui vous prend en les voyant à l'écran, il le retraduit à merveille sur le papier.
L'intrigue est dynamique tout en étant cohérente, et n'entre jamais en contradiction avec l'histoire principale. Les événement se déroulent entre la saison 4 et la 5. (datable car il est fait mention de "L'osterhagen principle")
Et le style, sans atteindre des lumières, est vraiment fluide et agréable.
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And you know how those Dalek guns work, don't you? On full power, they can blast a human being into atoms in a split second. But they never do that. Every Dalek dials down the power on its gun-stick to the specific level that will kill a human being. Then they lower the power setting just a tiny bit further, so that the beam burns away the central nervous system from the outside in, meaning that every human being dies in agony. So it takes a full two to three seconds for a Dalek to exterminate one of us – and that's deliberate.
-You're all going to burn and no matter how much you try to come back, or which of you remain, I'm always going to be there to stop you. So just remember; there's a storm coming!