Cet appel à la sainteté est bien souvent perçu comme une injonction à devenir la meilleur version de nous-même. Cependant, entre le parfait et le perfectionnisme, ou notre idée sur cette perfection, se tisse un nœud qui empêche l'œuvre de la grâce.
La sainteté, ce n'est pas obligatoirement faire de grandes choses, mais bien accepter ses limites, ses faiblesses, ses pauvretés.