Du Pigeon de Monicelli (1958) à La Terrasse d’Ettore Scola (1980) – sans oublier d’évoquer les films précurseurs ainsi que les œuvres plus discrètes du mouvement proprement dit – il est question ici de mettre en évidence la richesse d’un genre proche des traditions expressives de l’Italie (la commedia dell’arte et le néoréalisme) mais toutefois attentif aux mœurs de ses contemporains en tant que révélateurs des évolutions historiques, sociologiques et cinématographi... >Voir plus