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2,96

sur 473 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Je n'ai pas aimé du tout...

Livre aussi vide de sens que le monde qu'il semble décrire, "l'histoire" est aussi insignifiante que les personnages qui l'habitent. L'inauguration des "Chiottes" nouvelle boite parisienne à la mode par un DJ ami... du moins connaissance du personnage principal.

Le livre - découpé en heure de cette soirée - n'est qu'une excuse pour placer des personnages réels, irréels ou à tiroirs, dans des situations festives, dépravées et/ou dépressives, ou s'enchainent les poncifs parisiens de la société branchouille, et où l'auteur tente de placer le bon mot, la bonne phrase qui claque, juste pour le plaisir de l'entendre claquer... En plus franchement certaines sont terriblement mauvaises.

Qu'en retenir ?... Pas grand chose.
Est-ce que j'ai passé un bon moment... Sans intérêt.
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Pour paraphraser feu Thierry Roland, journaliste sportif auteur de phrases devenues cultes, Beigbeder et moi nous ne passerons pas nos vacances ensemble.
Ce roman de Beigbeder, plus ou moins autobiographique, s'intitule "Vacances dans le coma". Un titre plus approprié est "Bouquin dans le coma". L'histoire (si tant est qu'il y ait une histoire) est une sorte de déambulation snob, alcoolisée, droguée, mondaine mais pas chic, d'un vieil ado dans une nuit parisienne des années 1990.
C'est creux, c'est vain. L'auteur se regarde draguer, s'imbiber, se remplir le nez de (je censure), se prendre des râteaux avec des top models aux seins refaits.
Beigbeder fait du vrai-faux "name dropping". Beigbeder veut en mettre plein la vue au lecteur (ou la lectrice) plouc de province, qui n'a pas "accès" à ces vraies-fausses célébrités mais qui est sommé (e) en une longue liste de deviner qui est "Manolo de Brantes" ou les "Hardissons". de toutes façons la moitié de ces "stars" est passée de mode, l'autre moitié étant morte.
Sic transit gloria mundi.
Je mets une étoile pour les quelques rares moments de lucidité de Beigbeder dans cet étalage de phrases.
Un livre pour rien. Inutile de perdre votre temps à le lire ou à le survoler.
Lien : https://www.amazon.fr/LArtil..
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Vacances dans le coma


Le récit n'abandonne pas le présent de l'indicatif. Indigeste.

Egrène les heures d'une soirée parisienne, de 7h du soir à 7 du matin. Répétitif. Une nuit c'est… long, surtout quand on ne dort pas… et surtout vers la fin (comme l'éternité, merci Woody Allen).

Mais deux citations – hommages - géniales
« C'est ta réponse à tout : boire ?
Non c'est ma réponse à rien »
Charles Bukowski
Je t'aime, Albert

« le taxi est un oreiller,
les rues sont couvertures,
l'aube est mon lit »
Richard Brautiganjournal japonais

Merci de m'avoir donné l'idée de relire Richard Brautigan, génial provocateur, au style humble et décalé. L'humilité, voilà ce qui manque au livre de Beigbeider.

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Sans intérêt.
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Que dire ? le héros de l'histoire se rend à une soirée avec comme idée de "se faire" quelques donzelles et comme il a une haute idée de lui même il se réserve 6 préservatifs.
On est donc entraînés dans une trrrèèèèsss longue soirée mondaine, où les gens se défoncent, où le sexe, la drogue et l'alcool sont rois...... entraînant tout un tas de comportements

Bon! Ben j'ai pas aimé, l'auteur m'a énormément amusée en début de livre et écrivant que c'était le plus mauvais (et le meilleur) livre qu'il ait écrit! Je retiendrais le pire! :)
Pour moi le livre est une série de fantasmes ou de désirs inavoués d'un gars qui se cherche, donc rien vraiment qui mérite le détour
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Alors après l'amour dur trois ans,j'ai tenté un autre roman de Frédéric BEIGBEDER..
ben pardonnez moi ,j'ai pas compris ou l'auteur a voulu nous emmenez..
si finalement,il avait pas trop pris de drogue lui meme dans cette soirée "de chiotte" et qu'il a pris sa plume le matin avec sa gueule de bois..
un livre illuminé,ou je n'ai pas été illuminé
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Ayant trouvé ce livre dans une boîte "servez-vous", je me suis dit qu'ai-je à perdre ?
Ma lecture m'a fait perdre mon temps, mais heureusement pas mon argent.

J'ai retrouvé chez Beigbeder la description où, dans les nuits de fêtes, surgit soudainement le moment "où tout dérape",
Quiconque a rencontré cet instant une fois dans sa vie le reconnaît à jamais, quand il tombe dessus une nouvelle fois... Même si c'est dans les lignes de Beigbeder et qu'il est si mal décrit.

Pour le reste, ce roman est "daté" et ennuyeux.
Daté : en 2020, qui se souvient du téléphone bibop ou de Boris Eltsine ? L'un comme l'autre sont oubliés depuis longtemps. le temps est passé, rendant ces vacances dans le coma terriblement ringardes.... Je peux lire Victor Hugo ou Zola et trouver cela bien plus moderne que du Beigbeder !
Ennuyeux: la supériorité des gens brillants est ennuyeuse. Beigbeder fait partie des gens brillants et il le sait... Beigbeder est tellement brillant qu'il n'a que du mépris pour les autres... Y compris ceux qui sont brillants comme lui...

L'autocritique en guise d'avant propos de l' auteur, proclame "franchement, fuyez ce roman". Un moment, on peut croire que c'est un habile procédé littéraire pour que justement le lecteur crédule (que je suis) se jette à corps perdu dans un achat compulsif... Et dans la lecture.

En fait, ce n'est qu' un pauvre procédé commercial (achetez ! achetez ma merde)... Mais cette fois-ci, je ne suis pas tombé dans le piège, car ce livre ne m' a rien coûté.

Et Beigbeder de conclure dans cette "préface" : "si mon roman devenait grand public, je ne m'en relèverai jamais".
Comme tu as raison Fred, ton roman est confidentiel... Il est appelé à rester bien longtemps dans la boîte "servez-vous", là où je l'ai trouvé... Et là où je l'ai jeté sitôt cette critique terminée.

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Je suis en train de lire ce livre. Je l'ai acheté cet après midi. J'en suis à la page 50 (le livre en comporte environ 150), et ? Il ne se passe toujours RIEN.
Des "figures de style" livrées "en kit" pour les cerveaux creux, ponctuent la narration vide d'un protagoniste inintéressant qui pédale dans la semoule pour fuir l'inutilité de ce livre.
On pourrait espérer que ce comble se définisse comme quelque chose d'intéressant, mais il n'en est rien. Ce livre est Nul, voire d'une Nullité absolue.
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Vide de sens et vide de mots, enchaînement brouillon de lettres qui forment des mots puis des phrases qui ne veulent rien dire, je suis encore à la recherche de la morale et d'un quelconque intérêt. La décomposition des âmes s'opère de manière presque aussi simultanée que l'abandon de mon intérêt pour ce roman. Deux heures de perdues. Clairement.
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Roman consacré à la décadence de la jet-set. On suit Marc Maronnier au cours d'une nuit Parisienne aux « Chiottes », nouveau haut lieu Parisien.
Sans intérêt pour moi, de la première page à la dernière, le ton reste le même.
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