Le jazz n’est pas le domaine le plus prompt à fabriquer des idoles et rares sont les jazzmen à atteindre, même après leur mort, une notoriété dépassant le simple cercle des amateurs du genre. Eric Dolphy n’est pas de ceux-là. Bien sûr, il est des musiciens plus oubliés que lui, mais plus disposés, aussi – certains l’ayant même mérité –, à souffrir de l’oubli. Alors, de quoi aura manqué Dolphy pour venir grossir la liste courte des jazzmen élevés au rang de sommité? ... >Voir plus