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Citations sur Profanes (436)

Quel dieu peut entendre les battements d'un cœur que rien ne délivre.
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On ne peut donc jamais en sortir de cette possession
qui empoisonne, dès qu'on s'attache ?
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Est-ce seulement dans l'espérance qu'on peut être tout entier ?
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Cette sensation si douce de plénitude, à ce moment précis,
il avait su qu'elle lui appartenait pour toute la vie.
Des moments comme celui-là, magiques, ça vous arrache à tout,
ça vous pose au centre de la beauté, comme un arbre.
ça permet de rester au monde.
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Il faut que ces quatre-là, si différents soient-ils, se tiennent. Pour mon temps à venir. Je m’embarque pour la partie de ma vie l plus précieuse, celle où chaque instant compte, vraiment. Et j’ai décidé de ne rien lâcher, rien.Les quatre, là, derrière la porte, je les ai choisis avec soin, tant que ma conscience est aiguë. Pas question qu’on me colle n’importe qui pour s’occuper de ma carcasse quand il sera trop tard pour choisir. J’ai encore toutes mes facultés intellectuelles et physiques, même si le corps fatigue trop vite, regimbe et pousse trop la douleur dans les articulations, je n’ai pas besoin d’eux aujourd’hui, mais j’ai toujours su anticiper.
C’est l’arrêt du désir qui fait le nid à tout ce qui crève. Plus d’élan, plus de vie. Et moi je veux vivre. Pas en attendant. Pleinement. ( p.10)
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On se retourne toujours par la tête d'abord. Les pieds suivent.
Quand on avance se sont les pieds qui mènent, et la tête qui suit.
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"Elle a besoin ce soir de s'appuyer à l'humanité discrète et forte de ceux qui lisent. Elle s'attarde à observer l'un ou l'autre, debout, plongé dans la lecture qui l'emporte, le corps encore posé là, devant la table ou les étagères, et déjà hors du monde. Elle les dessine dans sa tête, attend de se fondre peu à peu dans cette drôle de famille, de sentir qu'elle fait aussi complètement partie du navire silencieux et rêveur. Alors ça ira. Il faut qu'elle soit reliée au monde de cette façon avant de retourner à la demande d'Octave Lassalle. Au bouleversement qu'elle pressent."
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Quand on peut protéger quelqu'un du malheur, on grandit.
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On peut laisser les années s’accumuler comme le sable sur une route de bord de mer.
Il suffit d’une marée plus forte d’un vent plus fort et le sable s’envole. En tourbillons.
 Par plaques.
 La route réapparaît. Juste par endroits. Et on sait qu’on n’a jamais cessé d’y être, sur cette route là. Même si on sentait le sable sous nos pieds et qu’on croyait à une plage ou au désert.
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Dans leurs regard, la gravité de ceux qui ont appris que l'amour ne protège de rien. Qu'il sert juste à prendre tous les risques. Et qu'on est toujours aussi vulnérable.
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