Si l'on veut prendre la mesure d'un Ghiberti, d'un Masaccio, d'un Donatello, ce n'est pas au musée des Offices ou au Bargello qu'il faut se rendre, mais au baptistère de Florence, à Santa Maria del Carmine ou à San Lorenzo. Où goûter le mieux la peinture florentine du Trecento, de Fra Angelico ou de Pontormo ? Certes pas à l'Académie mais à Santa Croce, au couvent de San Marco, à Santa Felicita. Nulle part le génie de Michel-Ange n'est plus éclatant qu'à la chapelle...
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