Un courant d’air parle d’un désir et d’une frustration. D’un courant qui porte et d’un courant qui ne passe pas. D’une compréhension intime de la vie, à la difficulté d’en parler et de la mettre en acte. Le traitement à l’encre, en noir et blanc, est, dans l’œuvre de Juliette Binet, un signe centripète, la dimension de l’intime dans son langage.
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"Le pire noël de ma vie" de Victoria Kaario et Juliette Binet - Interview croisée