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J'aime tellement l'univers de Sherlock Holmes que cette collection consacrée à sa soeur que c'est avec un réel plaisir que je me suis plongée dans ce tome 2. Et je n'est pas été déçue: les dessins sont toujours autant magnifiques et l'histoire également. je n'ai jamais lu les romans mais clairement j'adore cette BD et j'ai hâte de continuer avec le tome 3.
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On retrouve Enola pour ce second tome haut en couleurs grâce aux déguisement d'Enola.
Elle tente encore une fois de retrouver sa mère en postant des messages codés dans les journaux, tout en résolvant des enquêtes Londonienne et également en échappant à ses frères!
Une vie bien rythmée pour cette jeune fille qui ne manque pas d'ingéniosité, mais après tout, elle est la soeur de Sherlock Holmes non ?
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Le week-end dernier avait lieu le RAT « British mysteries », les enquêtes d'Enola Holmes faisaient partie de ma sélection.
J'ai découvert la série consacrée à la petite soeur du grand Sherlock Holmes par le biais des romans de Nancy Springer. L'occasion me fut donnée, par la médiathèque, de continuer la découverte avec les BD éponymes.



Enola a réussi a déjouer la vigilance de ses frères, notamment celle de Sherlock. Comme elle aime résoudre des mystères, quoi de plus logique que de devenir Miss Ivy Meshle la secrétaire du Docteur Ragostin,, spécialiste en recherche de toutes disparitions.

Miss Ivy reçoit la visite de Watson, désespéré de voir combien la disparition d'Enola affecte Sherlock, tente le tout pour le tout en sollicitant les talents du Dr Ragostin. Ainsi, la prudence est-elle de mise pour la jeune fille si elle ne veut pas que ses frères la retrouvent. Une solution radicale s'impose à elle : affirmer que l'affaire ne peut intéresser le Dr Ragostin qui ne voit pas comment il pourrait réussir là où a échoué Sherlock Holmes. Ce qui est d'une implacable logique.



Le danger étant écarté, Enola peut prendre en charge une affaire de disparition, qui apprend-t-elle, n'intéresse pas son célèbre frère, celle d'une jeune aristocrate, Lady Alistair.

L'aventure entraîne la jeune détective dans un cercle de révolutionnaires inspirés par les événement de Russie. Pour mieux comprendre ce à quoi elle est confrontée, elle lit « le Capital » de K.Marx, qui fit scandale lors de sa parution.

Elle se trouve également confrontée aux expériences menées sous hypnose et aux déviances que peut provoquer la maîtrise de cet « art », notamment le contrôle des actes à l'insu des personnes hypnotisées.



Dans ses romans, Nancy Springer ancre parfaitement ses personnages dans toutes les réalités de la société victorienne, sans occulter la misère d'une grande partie de la population. L'adaptation BD le fait également, ce qui est une gageure car qui dit adaptation BD dit coupe sévère du texte. Les dessins suppléent aux mots avec adresse. On peut même suivre les unes des quotidiens consacrées à un certain Jack l'étrangleur.

J'ai été charmée par les dessins de Serena Blasco et leur mise en couleur apportant une dynamique au récit.

Le petit plus, très intéressant, est le carnet secret d'Enola qui permet au lecteur de comprendre le cryptage des messages personnels échangés avec sa mère. Enola y consigne, aussi, ses notes prises au cours de son enquête. Astuce permettant d'apporter des précisions, que l'on trouve dans le roman, sans alourdir l'adaptation dessinée.
Lien : https://chatperlipopette.blo..
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Il n'y a pas à dire, je préfère 10 000 fois lire le format graphique d'Enola Holmes !

Nous reprenons directement là où le tome précédent nous avait laissé. La jeune Enola, ou Ivy, a maintenant son cabinet en plein coeur de Londres où elle travaille soit disant pour un détective qui résout des « affaires toutes disparitions » - alors que c'est elle qui travaille sur l'affaire et que ce monsieur n'existe pas... Ici, John Watson va venir la voir sans se douter que c'est elle, car il a besoin d'aide pour Sherlock. Sherlock, qu'il ne faudrait pas sous-estimer soit dit en passant... C'est donc John Watson lui-même qui va lui donner l'idée, sans le vouloir, de l'affaire Alistair. Voilà Enola embarquée dans une nouvelle enquête !

• Tout comme le tome 1 - même si un peu moins -, j'ai apprécié celui-ci, « L'affaire Lady Alistair ». Je suis ''persuadée'' que le roman ne m'aurait pas comblée au vu des facilités. Facilités, que j'avais déjà constaté lors de ma lecture du premier roman que je n'avais pas tant que ça apprécié. (Il faut aussi garder en tête que le public cible n'est pas l'adulte, et cela se ressent dans l'affaire elle-même et sa résolution.) Mais en bande-dessinée jeunesse, c'est chouette ! le tout est rythmé, on ne s'ennuie pas, ça se lit bien, rapidement et avec de jolies illustrations : que demande le peuple ? ^^' Alors, ce n'est pas un coup de coeur mais je serais ravie de dévorer la suite des aventures d'Enola sous ce format graphique. de plus, j'ai trouvé les bonus à la toute fin de la BD sympathiques comme tout (le carnet secret d'Enola).
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Londres, 1889.

La jeune soeur du célèbre Sherlock Holmes, Enola Holmes, a décidé de vivre seule, suite à la disparition soudaine de sa mère.

Après avoir échappé à la vigilance de ses frères, et sous couvert d'une fausse identité, elle a ouvert un cabinet de "Spécialité en recherches, toutes disparition". À sa grande surprise, son premier client et le Dr Watson en personne !... qui cherche précisément à la retrouver et qui ne la reconnaît pas.

Si Enola ne prit aider Watson, elle s'intéresse en revanche à une autre cas qu'il lui mentionne : la disparition dans les dangereux bas-fonds de Londres de la jeune fille d'un bâtonnet, Lady Cecily Alistair, une adolescente loin d'être bien comme il faut...
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Serena Blasco est illustratrice, dessinatrice de bandes dessinées et peintre. A la suite de son Bac STI Arts Appliqués et de son BTS Graphisme et Pub, elle intègre les studios Gottferdom. Après plusieurs collaborations sur des projets dont « SnoopBook » (des romans interactifs), elle publie son premier album de BD. En 2015, elle travaille sur l'adaptation en livre graphique de la série jeunesse « Les enquêtes d'Enola Holmes ». Je viens de me pencher sur le second tome « L'affaire Lady Alistair».
Après la disparition de sa mère et parce que ses deux frères veulent la mettre dans un orphelinat, Enola s'enfuit à Londres pour y vivre sans contraintes. Elle ouvre un cabinet d'enquête sous une fausse identité. Son premier client n'est autre que le Docteur Watson. Il la recherche pour la faire rentrer en pension mais il ne la reconnaît pas dans son nouveau rôle d'enquêtrice. Enola ne compte pas l'aider mais elle est intéressée par la disparition de Cecily Alistair, la fille d'un baronnet. Va-t-elle réussir à la retrouver ?
Cet album nous fait découvrir la société du XIXème siècle et la pauvreté qui sévit à Londres à cette période.
Adapter un roman sous forme de bandes dessinées n'est pas une chose facile car on ne peut pas donner autant d'indications écrites. Les dessins à l'aquarelle sont toujours aussi beaux. On trouve des mises en pages originales comme des arcs de cercle et des flash-back représentés à l'encre de Chine.
A lire à tout âge !
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Enola est la soeur de Sherlock et Mycroft Holmes, dans le tome 1 elle fait appel à ses frères après la disparition de leur mère. 

Elle poursuit ses aventures, après son installation à Londres, elle cherche à s'en sortir seule, tout en continuant à chercher sa mère et ce, sous le nez de ses frères. 
Elle est passée maître dans l'art du déguisement et enquête sur d'autres disparitions
On garde la même délicatesse dans les illustrations aux ton pastels.
Je ne peux que vous inciter à découvrir la talentueuse Serena Blasco et son univers.
Lien : https://www.instagram.com/p/..
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« Sa première enquête la conduit tout droit sur la piste de Lady Cecily Alistair, fille d'un baronnet et adolescente loin d'être bien comme il faut, qui a disparu dans les dangereux bas-fonds de Londres ».

Ce 2ème tome, est bien plus prenant que le 1er. En espérant que ça tienne sur la longueur des volumes et de l'histoire.

L'histoire, les enquêtes, les recherches à faire, il y a bien plus d'action, des couleurs encore plus présentes dans cet ouvrage réalisé a l'aquarelle.

Bref, j'attends de commencer la lecture du tome 3 avec impatience.
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Après avoir vu l'adaptation cinématographique Netflix, j'ai pris du plaisir à découvrir le premier tome des aventures d'Enola Holmes en bande dessinée. J'ai trouvé ça sans surprise mais plaisant et puisque ma femme possède quelques tomes, j'ai profité de l'occasion pour lire la suite avec le tome 2 "L'affaire Lady Alistair".

Une nouvelle fois, j'ai trouvé ça léger mais plaisant. L'intrigue se mélange parfois un peu brusquement je trouve entre les multiples identités d'Enola Holmes et son enquête en cours mais ça se suit néanmoins très facilement. En bande dessinée on va à l'essentiel, ça va donc sans doute parfois un peu trop vite et ça manque de finesse mais l'ensemble reste cohérent avec une identité propre.

J'aime toujours beaucoup également les dessins de Serena Blasco. C'est coloré et très propre sur soi (je n'aurais décidément rien contre un peu plus de noirceur) mais ça fait plaisir à l'oeil. Il y a un bon montage entre les différentes cases qui contribue au rythme de cette lecture et dès les premières planches, je me suis replongé dans l'ambiance.

A vrai dire, si l'on continue de garder la même recette - il n'y a pas de grosses surprises entre les deux premiers tomes qui restent cohérent entre eux - j'ai quand même eu une petite préférence pour ce deuxième volet. Je l'ai trouvé plus rythmé que son prédécesseur et l'enquête m'a davantage "captivé". Peut être aussi le fait qu'ici Enola prenne davantage de distance avec ses frères et son enquête sur la disparition de sa mère contribue à ce résultat.

Quoiqu'il en soit, "Les enquêtes d'Enola Holmes - Tome 2 : L'affaire Lady Alistair" est très bon. Une lecture légère sans prise de tête ça fait du bien aussi de temps en temps. Cette bande dessinée ne me donne pas spécialement envie de lire les romans d'origine de Nancy Springer mais elle reste suffisamment maitrisé pour me convaincre et m'offrir ce que j'attends de sa part.
Lien : https://lebazardevladdy.blog..
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Nous retrouvons Enola, bien installée à Londres, officiant en tant que secrétaire du docteur Ragostin (qui n'est d'autres qu'un de ses nombreux avatars).

Dans le roman, nous avions droit à ses péripéties pour trouver un logement et un endroit pour monter son cabinet d'enquêtes, mais dans l'adaptation bédé, il faut malheureusement saquer dans le texte et donc, aller droit au but.

Ici, on donne l'impression aux lecteurs que tout a été simple pour elle alors que dans mes souvenirs de lectures des romans, ce l'était moins.

Comme d'habitude, l'auteure ne nous épargne pas les scènes de la vie des pauvres gens et sans en faire trop, elle arrivait toujours à intégrer cela à ses récits. le travail de la dessinatrice a mis tout ça en images et les dessins restent assez soft en ce qui concerne l'illustration de la misère.

Durant l'enquête sur la disparition de la jeune lady Alister, l'auteur en avait profité pour placer des références aux suffragettes, aux droits des travailleurs que certains réclamaient, à la phrénologie, au livre de Karl Marx "Das Kapital" et qui fit scandale à l'époque, mais aussi aux gros titres de journaux sur un certain Jack, étrangleur de son état…

Autant où les romans étaient parfaitement ancrés dans la société victorienne, autant où son adaptation en bédé l'est aussi. On a beau aller au plus courte et sabrer dans le récit pour faire tout tenir dans 78 pages, l'essentiel est bien là (et n'est pas que dans Lactel).

Pas le temps de s'ennuyer durant la lecture, on a du rythme, le suspense est présent sans être l'élément principal, l'enquête est agréable à suivre, mais donne la sensation qu'elle se résout trop vite et trop facilement dans cette adaptation, contrairement au roman.

Cela m'a fait du bien de relire les enquêtes d'Enola parce que je garde très peu de souvenirs détaillés des romans, juste les grandes lignes, certaines scènes, mais le reste, j'avais tout oublié.

J'apprécie toujours le carnet secret d'Enola, en fin d'album et qui nous explique la manière de coder avec les fleurs ainsi que d'autres petits détails intéressants.

Il restera une question sans réponse : quelles étaient les motivations de l'étrangleur des rues ?? Folie pure ? Envie d'étrangler des femmes ? On ne le saura pas.
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