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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Ce livre raconte de façon détaillée la vie sentimentale de Colette et de trois de ses amies en particulier.
Sans être féministes ni échapper aux stéréotypes de son époque, l'écrivaine et ses amies ont su s'affranchir des carcans alors en vigueur en menant une vie libre mais toujours dépendante affectivement des hommes.
Ceci est un ouvrage supplémentaire pour approfondir notre connaissance de la grande Colette.
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Quelques années de la vie de Colette : voilà ce que nous propose Dominique Bona dans Colette et les siennes, en prenant pour angle cette relation particulière entretenue par l'écrivaine culte avec trois de ses amies dans la France de l'avant puis de l'après Première Guerre mondiale.

Curieux éloignez-vous vite : rien de bien graveleux à vous mettre sous la dent, la bisexualité assumée de Colette n'étant pas ce qui intéresse le plus l'auteure. Et tant mieux.

Il s'agit plutôt de découvrir ici une biographie de Colette vue à travers le prisme de la relation particulière entretenue avec Marguerite, Annie et Musidora, 4 femmes que l'histoire passée et présente rassemble dans une union quasi-fusionnelle dont Colette est le pivot. Avec pour période phare, celle de la guerre qui a éloigné les hommes, et davantage réuni les femmes.

Mais le rythme très - trop - lent, l'abondance de détail et de digressions, et une certaine absence de colonne vertébrale dans le récit ont, page après page, atténué mon intérêt. C'est toutefois très "académiquement" écrit, mais aura manqué d'un peu de souffle, d'élan ou de fantaisie à mon goût.
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Quatre très beaux portraits de femmes aux avant postes de la modernité et aux destins très peu conventionnels que lient leur intimité, leurs tempéraments et le goût de leur indépendance par-dessus tout. Leurs vies de saltimbanques et d'artistes, entre cabaret et music-hall, journalisme et écriture, danse, théâtre et cinéma, pimentent la lecture de ces pages extrêmement vivantes et colorées. Les piges et les cachets, comme horizon de liberté au tout début d'un XXe siècle particulièrement bohème et tout autant guerrier. En 1914, les hommes viennent de partir au front. Elles, restent et continuent de livrer combat sur un terrain social, professionnel, familial et artistique. Les trois aînées : la discrète et cependant audacieuse Annie (de Pène), une des premières reporter dans les tranchées et auteure un peu oubliée aujourd'hui disparaît la première emportée par la grippe espagnole en 1918, Marguerite (Moreno) ensuite, la flamboyante comédienne éprise de poésie, et enfin Colette l'amie souvent très maternelle avec « son petit Musi », l'amante aussi (de Georgie Duval, Natalie Barney et Missy), grande figure littéraire de l'affranchie, attire ses comparses à des degrés divers ; ces trois ont passé le cap des quarante ans et la quatrième, qui est la plus jeune, « Musi » (Musidora), danseuse et future star du cinéma muet lancée par Louis Feuillade, a juste vingt-cinq ans et le reste de sa vie pour passer de l'autre côté de la caméra.

Pour toutes les quatre et pour chacune, dans le vieux chalet de Passy qui les voit rassemblées, il y a un avant et un après guerre que Dominique Bona, des derniers feux de la Belle Epoque jusqu'à leurs ultimes passions, a très bien su capter et déroule à travers leurs étonnants parcours croisés, enracinés pour chacune d'elles dans l'amour d'une campagne éloignée (bourguignonne pour Colette, normande pour Annie, corrézienne pour Marguerite). Colette, divorcée (de Willy) et remariée à Henry de Jouvenel est bientôt dans les bras de Bertrand. Marguerite, veuve de Marcel Schwob est remariée à Jean Darragon. Annie longtemps privée de ses deux enfants issus d'une première union, vit en compagnonnage avec Gustave Tery. « Musi » est une jeune beauté pleine de promesses, délurée et sans trop d'attaches… Bien que les circonstances affectives ou de l'actualité puissent les séparer elles ne se perdent jamais de vue et restent soudées ainsi que l'atteste la volumineuse correspondance de Colette auprès de ses trois amies. Les périodes de leurs vies alternent, riches et fécondes de leurs oeuvres ou parfois moins créatrices, scandées de coups de foudre, liaisons ou lâchages successifs, deuils et maternités. Sans que le portrait de la plus célèbre et la plus gourmande d'entre elles, Colette, ne phagocyte jamais ceux des trois autres mais les éclaire plutôt d'un jour particulier, ce quatuor féminin peu banal est un jeu de miroirs très subtil où se lisent évidemment les secrets, les désirs, les désillusions et désarrois, les tentatives et les projets, les réussites ou les échecs de chacune. Un bel équilibre d'où les hommes ne sont jamais absents ce qui ne gâche rien. Très agréable à lire.
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A la veille de la Première Guerre Mondiale, Colette et ses trois amies se réunissaient très régulièrement au chalet de la rue Cortambert, à Paris. Elles étaient quatre artistes : Colette, la femme de lettres et journaliste, Musidora l'actrice, Annie de Pène la journaliste et Marguerite Moreno, la comédienne. Elles revendiquaient une certaine indépendance et une façon de vivre différente, n'hésitant pas à porter les cheveux courts comme les hommes et à afficher une liberté de moeurs dans leurs amours, que ce soit avec les hommes ou avec les femmes. Durant la guerre, ces quatre amies vont se soutenir, s'aider à supporter l'absence ; Colette passera beaucoup de temps en cachette à Verdun pour retrouver l'homme qu'elle aime tandis qu'Annie sera correspondante de guerre. Mais en 1916, le chalet est détruit et les quatre femmes prennent de la distance les unes envers les autres. Colette va faire la connaissance d'autres femmes et vivre d'autres histoires d'amour agitées, parallèlement à sa vie sentimentale qui se délite. Sa vie sera une source d'inspiration pour ses romans.

J'ai trouvé cette biographie sur Colette à la médiathèque de ma ville et gardant un souvenir agréable du Blé en Herbe, j'ai eu envie d'en apprendre un peu plus sur son auteur.
J'avoue avoir eu beaucoup de mal à rentrer dans le roman, le premier tiers du livre m'a semblé long et ennuyeux, il est fait abondamment référence à des personnalités de cette époque que je ne connais pas. Cette énumération est fastidieuse et on perd le fil de la biographie. J'ai failli abandonner ma lecture au cours de ces 130 premières pages à de nombreuses reprises.
Ensuite, l'histoire se déroule plus de façon linéaire et on suit le cours des événements chronologiquement. J'ai apprécié les passages où il est question de la Première Guerre Mondiale et qui illustrent le quotidien des quatre amies ou des soldats.
Je pense aussi avoir été gênée lors de cette lecture par le fait que cette biographie de Colette fasse autant de part à ces trois autres femmes, cela dilue l'intérêt de la lecture à mon sens.
Pour conclure, avec un début différent, je pense que j'aurais mis quatre étoiles à ma lecture, seulement ce commencement peu encourageant a fait considérablement chuter mon appréciation générale.
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Le livre débute avec le commencement de la Première Guerre mondiale, et le rassemblement de Colette et de ses amies - Annie de Pène, Marguertie Moreno, Musidora - dans son petit chalet parisien. On découvre alors la vie de ces jeunes femmes, toutes artistes des mots ou du corps, qui ont pour la plupart déjà la quarantaine, un métier, un mari, des enfants. Contestées souvent, par leur audace ou leur volonté d'émancipation, elles ne sont pas pour autant des féministes chevronnées - bien au contraire - mais elles tendent à chercher leur place dans un monde masculin.

L'auteure s'attarde donc sur la vie en temps de guerre pour des femmes esseulées qui, bien que savourant une certaine forme de liberté, se rendent compte de la difficulté de vivre dans un monde dépeuplé de ceux qui en avaient les ficelles. Au début, la légèreté, puis la pauvreté, les ruptures de stock, la peur, les couvre-feu, le manque de travail pour les artistes. Et ensuite, les premières victimes de la guerre dont il faut s'occuper, les premiers reportages de guerre - dont Annie de Pène sera la première femme à l'oser -, la peur que la guerre n'en finisse pas.

Et, pour apporter également une note plus légère et découvrir un peu plus la vie de ces femmes, nous entrons un peu dans leur intimité, leur vie privée et amoureuse, jalonnée de déceptions, d'ennui, d'abandon, mais aussi de délices et de volupté, de chaleur féminine, de moeurs plus légères. On y voit le soutien sans faille que les femmes savent s'apporter, en amour comme en amitié, et l'importance de pouvoir être soi dans un monde qui cloisonne, voire emprisonne, de façon subtile ou carrément outrancière, ces femmes vues comme des enfants, voire des objets.

Enfin, une grande partie du livre s'attarde sur la vie professionnelle de ces femmes qui sont sorties du foyer pour endosser des rôles auparavant occupés par des hommes, dans la rédaction des journaux, dans la publications de romans, mais aussi pour poser un pied sur scène, dans le théâtre ou le cinéma, que ce soit devant ou derrière la caméra - le courage et la volonté de Musidora, ses apparitions et son oeuvre personnelle ont de quoi faire rêver, un premier temps.

Dominique Bona retrace donc des parcours de femmes, dans tout ce que ça peut impliquer comme difficultés, petits bonheurs, réussite méritée et complicité, avec la volonté d'en faire un tour assez complet. le récit d'une époque, d'un milieu, d'une société aujourd'hui révolues, qui nous rappellera à quel point il y a encore de quoi se battre, s'offusquer, mais aussi se réjouir de ce qu'enfin les femmes ont pu commencer à s'émanciper et à devenir ce qu'elles souhaitaient, dans la joie ou la misère, coûte que coûte, et tant pis pour les mauvaises langues - sans aller jusqu'à parler de féminisme, toutefois, dont le concept pouvait faire crisser les dents de ces dernières. Pour ma part, j'ai eu du mal à rentrer totalement dans le récit, et je ne saurais pas trop dire pourquoi - soit parce qu'à vouloir recouvrir tous les thèmes ils ne sont donc que survolés, soit parce que je n'accroche pas bien avec les biographies qui s'attardent trop sur la vie privée, soit parce que ce monde est trop éloigné de moi, soit encore parce que je ne voue pas un culte à Colette. Beaucoup de détails, de descriptions, qui tendent à toucher la corde sensible mais qui ne disent pas grand chose. L'écriture ne m'a pas transcendée, mais je me suis quand même laissée attrapée, par le parfum des fleurs ou l'envie de découvrir des figures de femmes qui ont marqué leur temps.
Lien : http://lecombatoculaire.blog..
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Une découverte que ce style de biographie, en effet le lecteur découvre à la fois une époque, celle de la première guerre mondiale, et de son actualité avec la vision de 4 femmes au destin et à l'histoire familliale particuliers; dans la bulle privée qu'elles se sont crées avec et autour de Colette de cette époque sanglante et spécifique.

Dominique Bonna nous plonge dans les hésitations, les peurs, les paris, joies et déceptions de ces féministes de l'époque et bien évidemment les relations si particulières qui se nouent autour de Colette. Comment et pourquoi la société qu'elles côtoient dans une période chahutée et encore très patriarcale et conservatrice va - t'- elle s'en accommoder ? Entre puritanisme, conservatisme mais à l'aube d'un nouveau monde, cette cellule matriarcale, fraternelle et d'intérêt comme de résistance à un monde viril, va y puiser un nouvel essor et un certain assouvissement à la passion de chacune. C'est l'enjeu et la trame de ce récit.

Intéressante lecture, parfois un peu trop de détails, mais diablement actuelle.
Lien : http://passiondelecteur.over..
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Colette et les siennes est une biographie publiée en 2017 chez les éditions Grasset. Écrite par Dominique Bona, le récit s'attache surtout à décrire la vie de l'autrice à partir de la première guerre mondiale en 1914 et jusqu'à sa mort en 1954.

Comme son titre le laisse entendre, Dominique Bona en plus de décrire une Colette qui est au coeur de l'ouvrage, va évoquer sa cohabitation avec trois de ses proches amies. Les hommes étant tous partis faire la guerre, elles se regroupent dans un chalet aux abords du Bois de Boulogne. Toutes sont des artistes et des intellectuelles. Annie de Pène est écrivaine et journaliste. Marguerite Moreno est comédienne et actrice. Musidora – la plus jeune – est actrice, réalisatrice et muse pour toute une génération de surréalistes.

Colette et les siennes font souvent scandale. Elles sont en avance sur leur temps, adoptent la coupe « à la garçonne » bien avant que celle-ci soit à la mode, vivent comme elles l'entendent – tout en se défendant d'être féministes ! À l'époque des premières manifestations pour les droits des femmes afin d'obtenir le droit de vote, elles assument leur besoin d'être gouvernées par un homme. Elles sont libres. Et amoureuses.

La bisexualité de Colette est abordée ainsi que l'amour sans limite dont son capables – selon elle – les femmes. Elles comblent son besoin éperdu d'être aimée et sa peur de la solitude. Colette a eu de nombreuses relations avec des femmes et notamment Mathilde de Morny avec qui elle a choqué nombre de ses contemporains. Puis elle rencontre Henry de Jouvenel, qu'elle épouse peu avant la guerre où il sera envoyé. Elle le rejoindra en secret à Verdun avant d'être reconduite manu militari à la gare. Les compagnes des soldats sont interdites, accusées d' »amollir » le courage des troupes.

Le contexte de Paris durant la guerre est passionnant et est l'occasion de parler de ces femmes qui sont restées dans la capitale et qui s'en sortent tant bien que mal dans un quotidien fait de « débrouillardises ». Leur vie d'avant-guerre n'est plus, elles doivent s'adapter et trouver d'autres moyens pour gagner de l'argent, trouver de la nourriture, l'accommoder, etc. Et toujours s'entraider, continuer à vivre en épicuriennes qu'elles ont toujours été.

Colette continue de se produire au music-hall, vit de sa plume en tant que journaliste et bien sûr grâce à ses romans. Pour ces derniers, elle s'inspire de sa vie, de ses expériences et de ses amours. Ses personnages sont bien souvent des prolongations d'elle-même, ses récits sont emprunts de son vécu et parfois même annonciateurs de ce qui va se passer dans sa vie. Ainsi, Mitsou (1919) est une star du music-hall qui reprend goût à la vie grâce à l'amour d'un homme, situation que connaît bien Colette. Chéri (1920) décrit la relation d'un jeune homme avec une femme plus âgée et fait écho à sa relation nouvelle avec Bertrand, le fils aîné d'Henry de Jouvenel. Elle va d'ailleurs s'inspirer du récit de l'amour d'enfance de son jeune amant pour l'écriture du Blé en herbe en 1923.

La biographie est alimentée de nombreuses anecdotes, d'extraits de correspondances des amies entre elles mais aussi de connaissances – amis ou ennemis – de Colette. Cela nous permet de redécouvrir l'auteure sous un nouveau jour et sous différentes facettes mais toujours avec ses mots d'esprit et le regard si particulier qu'elle porte sur la vie. Nous faisons par la même occasion connaissance de trois autres femmes passionnées et passionnantes avec cette impression de faire partie pour quelques instants de leur société.
Lien : http://ivredelivres.com/coll..
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Dominique Bona n'écrit pas une biographie complète de Colette mais a choisi un de commencer l'histoire à un moment bien précis dans la vie de l'écrivain et de s'intéresser à l'amitié qui la lie à quatre femmes d'exception.

Nous sommes en 1914, les hommes sont à la guerre et Colette vit près du bois de Boulogne où elle se retrouve avec trois de ses amies proches.

Il y a là Musidora et Marguerite Moreno, comédiennes, Annie de Pène, journaliste et romancière comme Colette. Un quatuor de femmes libres, fortes, sachant s'imposer dans un monde encore dirigé par les hommes.

Dominique Bona s'attache à raconter leur histoire, leurs relations, leurs combats, leurs douleurs et leurs bonheurs dans un livre érudit et passionnant à lire.

Si je savais déjà beaucoup de choses sur Colette qui est une auteure que j'aime beaucoup, j'en savais peu sur Musidora et Marguerite Moreno et encore moins sur Annie de Pène, le presque double de Colette, que j'ai à présent très envie de mieux connaître.

Dominique Bona dresse quatre portraits de femmes modernes dont l'amitié reste sans faille malgré les éloignements, les changements dans leurs vies, les épreuves.

C'est vivant, habité par ces quatre personnalités à la fois anticonformistes (elles ont jeté leurs corsets aux orties, portent des pantalons, divorcent, ont des amants et des maîtresses, font des métiers d'hommes) et porteuses de tous les combats des femmes.

Dominique Bona les fait revivre dans leur intimité, avec beaucoup de détails passionnants que j'ai pris beaucoup de plaisir à découvrir.
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Quatre femmes liées par une amitié indéfectible jusqu'à la mort.
Quatre artistes qui ne vivent que pour leur art : écriture , danse, cinéma, théâtre. ..
Que pour leur art et leurs amours, femmes ou hommes, jeunes ou vieux, longues ou brèves, peu importe : l'essentiel est la passion, la protection, la proximité ou l'attente du retour...
Jamais elles n'abdiquent, même âgée chacune se projette tjs vers le lendemain ,
et puis il y a les maisons , la nature, les oiseaux.. qui les régénèrent qd elles vont mal...
Une biographie centrée sur l'amitié et la passion de la liberté au début du 20 ème siècle, à une époque où on n'aimait pas qu'une femme exprime ses goûts et ses dégoûts au cours d'un repas mondain !
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Je suis tombée sur ce titre par hasard et comme je ne connais pas très bien Colette je me suis dit pourquoi pas, la quatrième de couverture était engageante et annonçait un point de vue qui me semblait original.

Ce n'est en fait qu'une accumulation de personnages qui gravitent autour de Colette, avec des références sur les spectacles, les livres de l'époque, les alliances ou désalliances, une série de faits sans forcément de liens entre eux, peu d'anecdotes et surtout un style très factuel.

A part quelques passages rares (2/3) sur 432 pages je me suis passablement ennuyée, mais ce titre m'a quand même donné envie de lire quelques titres de Colette. A suivre donc !
Lien : http://keskonfe.eklablog.com..
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