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4,2

sur 2964 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Ouh la la ! Dès les premières pages, du fantastique… ça s'annonce moyen pour cet aspect. Et de fait, la suite se confirme : au secours, j'ai détesté : des têtes arrachés par des chats qui se servent du thé, des gens qui s'envolent… Sérieusement, je n'en pouvais plus ! Et puis, c'est presque gothique, limite absurde parfois, tout ce que je n'aime pas !

Je me suis emmêlée les pinceaux avec les noms russes ! En revanche, bien que le début soit très descriptif rapport aux personnages, il faut reconnaître que la lecture est aisée.

Parlons de l'histoire d'amour dont tous les résumés parlent : elle est bien longue à arriver dans l'histoire la Marguerite, bien, bien longue ! A peu près au milieu, apparaissent enfin Marguerite, celui qu'elle appelle "Le Maître" et leur histoire d'amour. Ca va un peu mieux, la lecture devient, pour moi, plus intéressante. Mais ça ne dure qu'un chapitre… Lorsque Marguerite apparait à nouveau c'est pour devenir une sorcière chevauchant nue un balai pour être la reine du bal de Satan ! Au secours !!!! Et franchement, l'histoire d'amour extraordinaire, je ne l'ai pas du tout ressentie.
J'ai fini par sauter des lignes et des lignes à la fin.

Seul point positif : Je ne m'attendais pas du tout à ces petites incartades au temps de Jésus, Pilate et Judas, et ce fut une bonne surprise. J'ai relativement aimé replongé dans cette histoire religieuse et lire les théories sur les événements de cette journée de Pâques de l'an 33 à Jérusalem.

Sinon, pffff ! Pour une première lecture russe… quelle déception et quelle épreuve ! Quand je vois les notes de ce roman sur différents sites... j'ai dû rater un truc...! (oui, je sais même lequel : contexte historique etc.) Dommage... mais de toutes façons, le fantastique et moi, ça fait deux.

~ Pioché dans ma Pal par Fuyating
~ Challenge multidéfis 19 : auteur russe
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Des rendez-vous sont peut-être ratés car nous ne sommes pas prêts, pas d'humeur, pas aware.

Je pense que je ne suis pas aware à le Maître et Marguerite.
Après plus de 200 pages lues, j'abandonne.

Je sens pourtant que si je me faisais violence, je découvrirais peut être une pépite.
Est-ce la quatrième de couverture qui m'influence en me disant qu'il est le chef d'oeuvre de l'auteur et qu'il a mis 12 ans à l'écrire ? Peut-être.
Mais ça fonctionne car je suis déçue de ne pas laisser plus de chance à l'histoire du Maître et de Marguerite.

Seulement, continuer à le lire me rappelle lorsque j'avais des lectures obligatoires pendant mes études qui ne me plaisaient pas.
Rien à faire, il fallait le lire pour suivre le cours ou faire la synthèse de lecture, mais quelle plaie !
Au point de comptabiliser le nombre de pages lus et ceux qui me restaient encore à lire.

Rien à faire ici, je n'arrive pas à rentrer dans l'histoire.
Beaucoup de mouvements, de personnages, j'ai l'impression que l'histoire se met en place dans un brouhaha et que je regarde cela avec un air indifférent.

Sentant que je dois néanmoins laisser une deuxième chance à cette oeuvre, je me laisse la possibilité de le relire en espérant que cette fois, je ne raterai pas le RDV.
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Une jolie plume et beaucoup de créativité dans ce roman mythique qui m'a pourtant laissée de marbre.

Sans doute parce que je m'attendais à un chef d'oeuvre classique, je n'ai accroché ni à l'histoire (étirée en longueur), ni aux personnalités complexes dépeintes par Boulgakov. Quand au parallèle avec Staline, il m'a semblé trop lointain pour que j'en saisisse plus que les contours et il n'a pas su donner au récit le relief que j'espérais.

Le maître et Marguerite, c'est pour moi une rencontre ratée (certainement liée à mon ignorance du contexte) à laquelle il faudra peut-être un jour donner une seconde chance.
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J'aime la littérature russe et me faisait une joie de découvrir ce roman pour lequel on évoque une grande histoire d'amour , mais j'ai abandonné après plus de 180 pages à l'univers "rocambolesque " et "surréaliste".
Je n'adhère pas à ce mélange du mythe de Faust revisité où les personnages contemporains côtoient ceux de l'antiquité.
Il y a des rencontres qui n'ont pas lieu ...Ce roman en sera une .


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Je ne sais pas je dois être analphabète. La lecture de ce livre a été très très laborieuse. Je n ai peut être pas tout assimilé, je me suis torturé l esprit. Je me suis perdue sans jamais me retrouver. Il me semble que mon esprit a également été touché par la folie. Behemoth et surtout Woland m ont piégé.
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J'ai abandonné la lecture de ce livre à peu près à la moitié. Difficile donc d'en faire une critique un tant soit peu objective. En fait, j'ai eu beaucoup de mal avec l'écriture "touffue" et débridée mais aussi avec l'intrigue qui, je l'avoue, ne pas passionné. Je sais que Boulgakov est un grand maître de la littérature russe mais je n'ai pas adhéré.
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Comment vous exprimer ma consternation après avoir terminé cet ouvrage considéré comme un chef-d'oeuvre ? Il n'y a eu hélas aucun atome crochu entre lui et moi. Et pourtant, qu'est-ce que j'aime la littérature russe, mais ici, je n'ai pas du tout accroché.
C'est une histoire étrange, difficile à décrire et à raconter, avec des passages burlesques, d'autres proches de la folie ou de la schizophrénie, avec un humour déjanté, des situations rocambolesques et fantasmagoriques. En gros, le diable et ses trois acolytes qui sont Béhémoth un gros chat noir, Koroviev et Azazello, débarquent à Moscou et y sèment la pagaille : séances de magie noire en plein théâtre des Variétés, décapitations, enlèvements et disparitions de certains personnages…Mis à part les farces de ces quatre compères, nous suivons également l'histoire d'amour du Maître, écrivain censuré, et de Marguerite son amante. Et enfin, en parallèle à ces deux sujets, nous avons également le récit des remords de Ponce Pilate et une version de l'identité de Yeshoua qui est originale et bien loin des Evangiles.
Certains passages m'ont paru opaques, peut-être parce que je n'ai pas compris l'ironie ou les personnes visées derrière, comme le bal de Satan, le voyage de Marguerite sur le balai ou bien le songe de Nicanor Ivanovitch etc. Ce récit est des plus imprévisibles, impossible de deviner ce qui pourrait se passer en tournant la page. Il ressemble à une espèce de puzzle, mais qui m'a paru sans queue ni tête : je me suis égarée dans ces délires intellectuels et je n'ai apprécié ni le déroulement du récit ni l'enchevêtrement alambiqué de ces histoires, encore moins la conclusion qui m'a paru inachevée.
Le style d'écriture est riche, dynamique mais reste globalement fluide. L'auteur a une façon de décrire qui est colorée, avec un ton que je qualifierai de taquin. Ce n'était peut-être pas le bon moment pour moi pour le lire, à moins que je manque d'humour ou de légèreté. Toujours est-il que ce fut une lecture difficile et exigeante, et que je ne recommanderai surtout pas à un lecteur débutant ! Pour être franche, je garderai même de ce récit un mauvais souvenir…
Lien : http://leslecturesdehanta.co..
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Je ne suis pas d'accord avec le résumé de la quatrième de couv. L'histoire d'amour n'intervient que très tard, et ne constitue pas à mes yeux l'intrigue principale du livre. Il s'agit plutôt d'une description loufoque, et finalement ennuyeuse, des diableries de Satan et ses compères à Moscou. C'est un peu du n'importe quoi, ce qui se passe, et même si l'incompréhension des moscovites est bien décrite, tout comme leur indicible frayeur, on se demande où veut aller Boulgakov.
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Ce livre m'a été recommandé par un ami proche, qui connait bien mes goûts, et pourtant j'ai dû abandonner vers la page 50 faute d'avoir jamais pu rentrer dedans… Peut-être à cause du côté fantastique (eh oui, je ne suis pas fan du genre) ? Pourtant la langue était belle, même très belle, mais voilà quoi. Pas un roman pour les lecteurs comme moi un peu trop terre à terre…
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catastrophe pour un soit disant chef-d'oeuvre d'une vie.
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