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3,75

sur 6730 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Une bouse sans nom.
C'est la seule curiosité anti-littéraire qui m'a poussé à lire ce "roman", un bien grand mot pour une nullité pareille.
Déjà le Da Vinci Code était un fatras de contre-vérités, d'enquêtes foireuses, de suspens hollywoodien insupportable, mais ce n'était rien en comparaison de "Anges et Démons".
Le scénario : invraisemblable de bout en bout. En fait c'est presque un livre comique qui se veut pourtant terrifiant.
Mais n'est pas écrivain qui veut monsieur Dan Brown !
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Je ne vais pas mentir, je suis vraiment super déçu de ce livre, heureusement que je l'ai payé 2 euros d'occasion. Je n'ai pas réellement réussi à rentrer dans le livre ni à me sentir concerné par ce que je lisais. Pourtant l'intrigue était prometteuse.

Robert Langdon est professeur de symbologie à l'université d'Harvard, en plein de milieu de la nuit, il reçoit par fax une photo d'un cadavre, mais ce n'est pas un cadavre ordinaire, celui-ci est marqué au fer rouge du symbole des Illuminati, société que Robert pensait disparue depuis de nombreuses années. Il se retrouve transporté au beau milieu du conclave qui se déroule au Vatican alors qu'un tueur cours les rues et menace de le détruire.

Le début est long, très long, trop long. Pendant 150p j'ai subi des explications physiques et mathématiques d'évènements que je ne comprenais même pas, et dont je n'avais vraiment rien à faire. Je ne suis pas là pour lire un manuel de physique ou de maths, je serais parti en licence de mathématiques si ça avait été le cas !! je suis vraiment inapte à la compréhension des nombres et de ces informations. Après 150 pages d'incompréhension, l'histoire commence à bouger, Robert et Veronica arrivent au Vatican et la course contre la montre commence. Malheureusement, je n'ai pas plus accroché, je n'avais pas l'impression d'attendre une révélation ou un dénouement, je tournais les pages sans vraiment être dans l'histoire. (Comme je l'ai si bien appris cet été en lisant mes livres pour les cours, lire en s'emmerdant, je vous promets que c'est dur de rester concentrer). J'exagère un peu, ce n'était pas aussi horrible que Proust ou Balzac. C'était vraiment très bof, mais ça se lisait quand même.

Le seul point positif c'est que le plot twist (que je n'attendais même pas) est vraiment sympa, je ne me suis pas tapé 600p pour un plot twist de merde, c'est déjà pas mal ! j'ai menti, j'ai un autre point positif, j'ai bien aimé tout le coté histoire de l'art et des symboles c'était intéressant et bien amené !

Par contre, j'ai vraiment ressenti que le livre avait été écrit il y a plus de 20 ans, outre le discours anti-avortement il y a un relent raciste vraiment dérangeant. le seul personnage arabe du livre est un tueur ET un violeur et l'on insiste énormément sur son « accent du Moyen-Orient » et sur le fait que ce n'est pas un homme blanc.

Tout ça pour dire, ne vous embêtez pas à lire 600p de bof à mauvais soupoudré de racisme.
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Comme d'habitude, mais précisons-le de nouveau, cette critique n'engage que moi. Les goûts et les couleurs de chacun se discutent mais se rejoignent très rarement. Je n'ai pas la prétention d'être ni un grand lecteur ni un critique littéraire. C'est bien dans cette optique que je me permets de faire, lorsque nécessaire, un avis incisif et libéré puisqu'encore une fois, ma légitimité ne s'arrête qu'à mon expérience de lecture. Cela n'est donc pas une critique de l'auteur, ni une critique de ses lecteurs, mais juste une critique de ma lecture en ce début de mois de juin.

Ces précautions déclarées, laissez-moi donc vous conter à quel point j'ai trouvé "Anges et démons" naze.

Alors replaçons un peu de contexte. Je pars en vacances au soleil une petite semaine, et je me dis: allez, chargeons la liseuse. Je vois passer dans les suggestions un bon Dan Brown, le livre étant en plus connu comme le loup blanc. N'ayant jamais lu le bougre, mais sentant le page-turner, je me suis dit: allez Waz, tente ta chance.
Argh, quelle erreur, quelle grossière erreur!

1) C'est écrit avec les pieds du voisin (et c'est pas Salma Hayek dans "Une nuit en Enfer", pour les fétichistes). Mais alors vraiment. La pseudo-fluidité ne vient que de l'absence totale de style. C'est écrit lapidairement dans ses phases descriptives, et juste raté dans ses dialogues. Revenons sur ces dialogues qui sont quand même pas piqués des hannetons: que ce soit pour délivrer une petite anecdote historico-complotiste ou pour dessiner une ébauche de relation, ils ne sont absolument pas réalistes. Très mauvais. Rajoutons à cela que dans ce genre de récit, censé "tenir en haleine", les dialogues ont normalement une place importante car moteurs de récit. Que nenni, Dan Brown ne sait pas faire discuter ses personnages qui deviennent alors des espèces de moules tentant de pousser la chansonnette (et je n'ai jamais entendu de reprise de Metallica en mangeant des moules-frites, s'entend). Alors soit tout est plat, soit tout est nul. Alors évidemment, ça se lit vite: il n'y a rien à décoder, même pas une malheureuse tournure de phrase sur laquelle on pourrait s'arrêter pensivement.

2) Les personnages sont esquissés aussi finement qu'une calligraphie d'un myope sans lunette. Je m'attendais à découvrir un joli personnage, Robert Langdon, puisqu'étant à l'origine de nombreux récits de Dan Brown. Pour info, le dernier cycle "à personnage" dans lequel je me suis plongé, c'était Robicheaux de James Lee Burke (le fait que Dan Brown ait du vendre en quelques livres l'équivalent de Burke en une carrière me fait régurgiter mes tripes, y en a au large sur le clavier). Bah non, Langdon assume pleinement son rôle de benêt du siècle. Oh oui, il a une connaissance encyclopédique mais alors quel trou de balle. Perpétuellement en retard sur tout (l'intrigue le remercie), il semble s'accommoder de tout et de rien sans trop de problème. Viens Robert, je vais te faire monter dans un jet privé du futur et te montrer un cadavre mais attention, ne sois pas méfiant et n'en parle pas à la police. Viens Robert, on va mener l'enquête dans le Vatican et découvrir toujours PLUS DE CADAVRES mais ne collabore pas trop non plus avec la police, on te fait confiance pour résoudre l'enquête. Viens Robert, on va aller rêvasser sur les statues de la Renaissance et résoudre des meurtres. Viens Robert, on va te faire sauter d'un avion en l'air ne t'inquiète pas. Et attention, Robert, c'est le plus qualifié. Ne parlons même pas de la demeurée en minishort qui se pavane sous les yeux médusés du Vatican en ne bitant rien, ou encore des différents méchants faisant échec sur échec car ils sont concentrés par ce qu'ils ont dans le falzar. Ridicule.

3) Et maintenant l'intrigue. Je n'y connais rien en théologie, ou du moins que les quelques bases permettant de comprendre les grandes figures de chaque oeuvre actuelle. Mais là n'est pas le problème finalement, car là où le roman pêche, c'est bien dans sa narration policière. Enchaînant révélations en carton et deus ex machina tous plus désagréables les uns que les autres, absolument rien ne colle dans ce roman. Allant en plus flirter du côté du complotisme, ce qui me démange toujours un peu après l'ère COVID (chacun ses ESPT), je n'y ai vu qu'une suite de péripéties faisant l'effet d'un laxatif dans le cassoulet de la cantoche.

En conclusion: jetez-vous sur cet "Anges et démons". Récit de haute voltige, associant actions spectaculaires et personnages robustes sur font d'illuminati pas gentils, il n'a clairement pas volé sa réputétion.

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A fuir
Passant dans la rue devant un rayon de livre à donner, j'ai aperçu la couverture de ce livre lu il y a quelques années. Et je me suis dit que je pouvais peut-être rendre un service à quelqu'un qui ne l'aurait pas lu mais qui hésiterait...
Ecrit avec les pieds, une intrigue abracadabrantesque...Un page-turner en théorie, mais dont le seul plaisir qu'il peut apporter est , lorsqu'une fois fini, on peut enfin libérer de la place dans sa bibliothèque et le donner à son meilleur ennemi...
En revanche le livre est très utile comme maitre-étalon, servant ainsi à valoriser toutes ses autres lectures.
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Il s'agit du premier livre de Dan Brown que j'ai lu. Je l'ai lu en VO mon prof d'anglais m'aillant recommandé de lire des romans contemporains plutôt que des classiques dont les tournures désuètes peuvent rebuter. Je me suis forcer à le terminer ce que je n'ai pas fait avec Da Vinci Code que j'ai laissé tomber.
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Aucun intéret. Beaucoup d'approximation et pas vraiment de science. L'enquête est décousue, dans une ambiance de théorie du complot mauvais genre.
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et bien sa la pas fais avec moi j'ai
abandonner ce roman :O/
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Un scientifique du CERN crée de l'antimatière. Celui-ci est tué et une grande quantité de cette antimatière est dérobée. Quelques heures plus tard, on la retrouve au Vatican, prête à ravager la Cité, en plein conclave !

Pour découvrir l'auteur de ce vol et de cette menace terroriste, le directeur du CERN fait appel à l'éminent professeur d'Harvard, Michael Langdon, spécialiste en symbole. Pourquoi ? Parce que le mot Illuminati, comme cette société secrète censée avoir disparu depuis des décennies, recouvre le torse du scientifique assassiné. Or ce professeur a justement écrit un livre sur le sujet.

C'est alors le début d'une course contre la montre au sein de la Cité du Vatican. Pourquoi ? Parce qu'à minuit, l'antimatière, des dizaines de fois plus puissantes qu'une tête nucléaire explosera.

J'ai adoré Da Vinci Code que j'ai lu d'une traite, pour toutes les références artistiques et religieuses, et le génie pour nous faire regarder les oeuvres d'un oeil nouveau. J'ai détesté Anges & Démons que j'ai trouvé ridicule dès les premières pages. Un avion qui relie les États-Unis et Genève en moins d'une heure. Une bombe à antimatière.

J'ai trouvé le roman poussif et mal écrit. Je me suis forcé à lire les dernières pages, mais ça allait de mal en pis.

Ce livre marque donc la lecture de mon deuxième et dernier Dan Brown. Dommage.

Je ne le recommande pas.
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lu en 2007Je ne vais pas dire que j'ai été déçue parce que le Da Vinci Code ne m'avait déjà pas vraiment convaincue. En plus des codes et symboles qui oblige le lecteur à croire l'auteur sur parole, j'ai eu une forte impression de réchauffé car Dan Brown reprend à peu près les mêmes ingrédients pour la même recette, ou presque...
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Après avoir lu avec beaucoup d'engouement le "Da Vinci Code", je me suis précipitée sur "Anges et Démons" et ... je n'ai pas réussi à entrer dedans. Je pense que j'ai été réfractaire aux descriptions de l'antimatière: ça m'a vraiment gonflée (je n'ai pas du tout l'esprit scientifique et quand je ne comprends pas quelque chose ça m'énerve). Pourtant j'aurai vraiment aimé aller au bout de cette lecture car la société des Illuminati m'intriguait. Mais non, sans moi.
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