Origine

Un roman de Dan Brown, en général, cela se "tranche" en deux jours de lecture impatiente, mais cette fois...Va savoir ce qui se passe, mais depuis un certain temps j'ai l'impression d'enchaîner les lectures "quelconques" et "Origine" n'en fait pas l'exception. Est-ce que ça vient de moi ou vraiment du livre ?

Le thème, pourtant, est hyper-intéressant. D'où venons- nous ? Où allons-nous ? Le début du livre aussi - la description du Musée d'art moderne de Bilbao donne très envie de voir tout ça. L'annonce de la découverte "historique" d"Edmond Kirsch, les préparations de la conférence - oui, tout dans le plus pur style brownesque...puis le MEURTRE !
A partir du meurtre, je cale. Même, sacrilège suprême, je lis deux autres livres entre-temps. Mais Dan Brown n'est pas né de la dernière pluie, bien sûr qu'on continue de lire, pour connaître la "révélation ultime" !!
Alors, on est obligé de passer par la partie "jeu de piste", qui est, à mon avis, nettement moins aboutie que dans ses autres romans. Très peu d'énigmes à résoudre, trop de personnages superflus (la nouvelle Langdon-girl Ambra Vidal y comprise !). Et on devine assez vite l'ombre mystérieux qui plane derrière tout ça, dommage...

Un des livres lus au même temps que "Origine" était un recueil des poèmes de William Blake. Donc, ne me dites plus qu'il n'y a pas la providence divine, car je tombe sur lui juste après ici, pour le trouver un peu reformaté aux besoins de Dan Brown. Mais ça m'a redonné envie de finir.
Bon, l'antipape de l'église palmarienne, c'est intéressant; il fallait quand-même y fourrer un peu de darknet - c'est à la mode, l'intelligence artificielle et les super-ordinateurs - ça me donne des tournis. Mais j'ai bien aimé tout autour de l'expérience de Miller-Urey...on se pose un tas de questions.

Mais vient enfin la REVELATION FINALE ....tout ça pour ça ?! La fin des religions ?! Ni Copernic ni Darwin n'ont pas réussi de les détrôner complètement, alors une THEORIE (attribuable, d'ailleurs, plutôt à Jeremy England qu'à Kirch) ? Est-ce qu'une simulation d'un super-ordi constitue une PREUVE ?! On se doute bien où nous allons...certains conclusions me rappellent étrangement les visites des Témoins de Jéhovah... J'aimerais juste savoir quelle "bulle" va ensuite dévorer la "bulle noire" qui fusionne avec la "bulle bleue"...mais là, on tombe dans une vieille blague des deux amis qui discutent - "Dans deux milliards d'années la Terre disparaîtra ..."
- "Oh, purée, tu me rassures, j'ai cru que c'était dans deux millions !!"

J'ai adoré les précédents livres de Dan Brown. Ce livre parle à nouveaux du professeur Langdon et nous envoie dans l'univers de l'origine de l'humanité.
L'écriture de ce roman est toujours simple à lire, cela se lit facilement. L'intrigue est présente. On découvre Barcelone et l'univers de certains artistes
Mais cependant je le trouve moins bien. On découvre rapidement la finalité de l'histoire. Les 100 dernières pages ont été très longue à lire et même parfois difficile à comprendre et à suivre. Je trouve qu'il y a certains personnages et certaines histoires sur ceux-ci qui ne sont pas nécessaire pour le déroulement de l'enquête.

Cela fait quelques jours voire quelques semaines que j'ai terminé ce dernier Dan Brown et c'est avec grand plaisir que j'ai retrouvé le professeur Langdon dans cette nouvelle aventure.

Ce nouveau livre commence comme toujours sur des chapeaux de roue. La théorie de l'origine qui y est développée ainsi que la théorie de notre futur est très intéressante. Toutefois, j'ai trouvé ce dernier opus de la série beaucoup plus fade que les précédents. En effet, j'ai trouvé la trame de l'intrigue beaucoup trop linéaire à mon goût avec peu ou prou de rebondissements. Ce n'est donc pas le meilleur des Dan Brown selon moi bien que restant plaisant à lire !

Au final, un moment agréable de lecture qui ne me laissera toutefois pas un souvenir impérissable.

Ne lit-on pas le dernier Dan Brown comme on parcourt son horoscope, on sait qu'on n'y trouvera rien de nouveau mais on ne peut s'empêcher d'y chercher une révélation, un semblant de vérité.

Les débats sur la création divine de l'univers, la fin des régimes monarchiques, l'acceptation de l'homosexualité et la prise de pouvoir des machines sur les hommes constituent la trame de ce dernier opus mais l'intrigue comme toujours rapidement ficelée, l'appauvrissement sévère du substrat symbologique et la surexploitation des thèmes à la mode me font craindre que le "deception point" ne soit atteint.

Je vous laisse juger par vous-même.

PS: Avez-vous remarqué avec quelle énergie Dan Brown s'évertue à affirmer que tout dans ses romans est vrai... ce que nous croyons aisément, vrai ou... du moins déjà lu!

Origine démontre une nouvelle fois que Dan Brown sait composer de bon thriller, des romans divertissants qui nous tiennent en haleine du début à la fin.

Nous retrouvons ici le professeur Robert Langdon, assisté – comme de coutume – par une charmante créature (qui n'est autre que la future reine d'Espagne). Il va devoir retrouver un code dans une intrigue qui appartient clairement au genre de la courte poursuite. Bien évidemment, il va être question de religion, de fanatique et d'un méchant bien décidé à jouer le trouble-fête.

Dan Brown utilise ici les ingrédients qui ont fait son succès. Des nouveautés doivent toutefois être décelées : l'intrigue doit beaucoup à l'informatique, à la science, aux questionnements relatifs à la place de l'homme dans le monde et à l'art moderne. C'est cette fois-ci, c'est l'Espagne qui servira de cadre au roman et plus précisément les villes de Bilbao, de Madrid et de Barcelone avec des passages remarqués à la Pedrera et à la Sagrada Familia.

Les nouveautés ne parviennent pas à occulter ce qui saute ici aux yeux : le thriller doit beaucoup à l'écriture. C'est le style de l'auteur qui fait le charme du roman. Sa pratique, érigée ici en habitude, de reporter les révélations pour finalement insérer des rebondissements aura pour conséquence direct de ferrer le lecteur retenu dans le piège d'une écriture fluide et agréable. Si le démarrage donne l'impression d'être poussif (surtout après avoir lu la quatrième de couverture), le piège est bel et bien tendu. Les traducteurs ont ici fait un travail de grande qualité pour restituer tout cela dans notre langue.

L'intrigue en elle-même est assez simple et, il faut bien le reconnaître, prévisible. Plusieurs personnages semblent ici comme de pâles copies des avatars des romans précédents. Seul Edmond Kirsch et Winston font exception à la règle. C'est un peu désolant de faire ce constat, mais il est évident que le plus important est ailleurs : dans le plaisir d'être embarqué dans une lecture agréable qui joue avec nos nerfs.

Le roman reste malgré tout inspiré. L'intrigue utilise en effet de nombreuses thématiques qui évitent l'ennui et dénotent une capacité à créer et à faire du lien entre des thèmes aussi divers que la science, la religion, l'art moderne, le passé et le devenir de la monarchie espagnole…

Origine peut être lu de manière isolée, aucune révélation concernant les romans précédents n'est faite ici. Il s'agit d'un bon thriller qui ravira les adeptes de l'auteur. Il accompagnera idéalement en voyage en Espagne et surtout une escale à Barcelone.

Devinette : quel auteur mélange technologie, futurologie et religion dans un thriller en 2017 ?
Réponse : Brown... Dan Brown.
Bon, c'est vrai on aurait pu changer la date en 2000, 2003, 2009 ou 2013, le résultat aurait été identique.
Rien de bien neuf pour le Dan Brown version 2017 : Origine.
Mais il faut reconnaître à Brown un certain talent pour entraîner le lecteur dans une lecture hâtive. le gars sait écrire un thriller.

Un chercheur / inventeur / milliardaire, athéiste convaincu, est assassiné au musée Guggenheim de Bilbao, alors qu'il allait révéler le fruit de ses recherches sur l'origine de l'humanité et son devenir. Et ce sous les yeux de Robert Langdon, ami de longue date du chercheur. le voilà entraîné dans une quête avec Ambra Vidal, la conservatrice du musée, amie du défunt et accessoirement future Reine d'Espagne, pour déterminer quel était cette fameuse découverte, que quelqu'un a manifestement cherché à cacher à tout jamais. le crime est-il lié aux catholiques traditionalistes, à une secte quelconque, voire à la cour d'Espagne, à qui la proximité de Ambra Vidal avec un tel athéiste ne peut que déplaire ?

Sur cette base, Brown va développer tout un tas de théories sur le big bang, l'évolution des espèces, la place de l'homme dans l'évolution, le rôle des religions, l'art moderne, les ordinateurs quantiques et l'intelligence artificielle… Un fourre tout typique de l'auteur.
Les lieux comptent aussi beaucoup avec Brown. Ici, l'Espagne est à l'honneur. Toute personne qui connaît le Guggenheim ou la Sagrada Familia n'appendra rien sur ces monuments (non, non, ne râlez pas, je ne déflore pas le sujet : regardez la couverture). On reste au niveau d'un prospectus publicitaire amélioré, mais la visite est toujours plaisante.

Il faut quand même ne pas être trop regardant sur le contenu du livre pour apprécier le moment de détente que constitue la lecture de ce cinquième tome des aventures du professeur Langdon.
Par exemple, la monarchie espagnole en prend un coup et sa version, sous la plume de Brown, est fort éloignée de toute réalité connue. Mais, pour son public américain, la monarchie parlementaire espagnole doit tenir du trône d'Ottokar en Syldavie...
A l'arrivée, Origine n'est ni bon, ni mauvais, juste un thriller un peu gonflé.

Alors j'avoue que je retrouve le Professeur Langdon avec un grand plaisir car je me suis beaucoup attachée à ce personnage. Mais malheureusement, ça s'arrête là.

Finalement, c'est toujours pareil. Dan Brown a une recette pour écrire ses bouquins et du coup, on retrouve toujours les mêmes ingrédients et le même déroulement.
Et en plus, j'ai ressenti un certain essoufflement dans ce livre là : nous tenir en haleine pendant 500 pages pour une grande révélation qui finit comme un ballon qui se dégonfle. Quelle déception...

Bref, j'ai adoré "Anges et Démons", beaucoup aimé "Da Vinci Code", et au fil du temps, la qualité se dégrade et le plaisir s'émousse.

C'est avec beaucoup de plaisir que j'ai ouvert le dernier livre de Dan Brown que je n'avais pas encore lu, j'ai quasiment dévoré tous ses livres et surtout ceux mettant en scène Robert Landgon.
Robert Landgon est invité en Espagne par un de ses anciens élèves à participer à une représentation qui va ébranler la Terre entière et surtout toutes les religions. En effet, Edmond Kirsh dit avoir découvert comment est arrivé l'humanité sur Terre et surtout que va-t-elle devenir, en rejetant bien évidemment l'aide d'un Dieu.
Lors de sa représentation, alors qu'il est suivi par des millions de personnes, et que le film dévoilant la vérité est sur le point d'être diffusé, Edmond Kirsh est assassiné, qui l'a tué ? Pourquoi ?
Commence une enquête menée par Robert Langdon, plus connu pour sa passion des symboles, qui va le faire traverser l'Espagne en compagnie d'Ambra Vidal, la directrice du musée où le colloque avait lieu.
Dan Brown n'a pas beaucoup mis en avant les talents de Robert Langdon sur sa capacité à décrypter des énigmes et a plus misé sur les technologies nouvelles, avec l'intelligence artificielle, le modernisme, et j'ai du coup été un peu déçue par cette nouvelle approche, même si celle-ci a une explication à la fin du livre.
Ayant lu tous les livres de Dan Brown, je n'hésiterai pas à acheter son prochain ouvrage si il continue l'écriture car j'ai le sentiment de ne plus trop en entendre parler depuis Origine.

Éternel débat, éternelle interrogation. Science contre religion pour déterminer quelle est l'origine de l'homme et quel est le destin de l'humanité...c'est à ces deux questions fondamentales qui opposent le coeur à la raison, la connaissance à l'intuition, la preuve irréfutable à la foi inébranlable que tente de répondre Dan Brown au fil de ce pavé de 600 pages ...
Je l'avoue sans honte : c'est la première fois que je lis cet auteur et après un démarrage difficile tant son style échappe à mes lectures habituelles, je me suis laissée embarquer par l'histoire.
Edmond Kirsch, éminent futurologue, ex élève du Pr Langdon, gourou et petit génie de l'informatique et des nouvelles technologies, s'apprête à faire une révélation fracassante susceptible de bouleverser, voire désavouer toutes les religions, monothéiste ou polythéiste. Voilà de quoi affoler prélat, imam ou autre rabbin mis dans la confidence avant que médias et réseaux sociaux ne s'emparent goulûment de l'affaire du siècle.
C est effectivement le scénario d'un bon film d'action qui balade le lecteur à travers l'Espagne, de Bilbao à Madrid en passant par Barcelone, avec un petit détour par Budapest et le désert saoudien.
Dan Brown sait ménager ses effets par de courts chapitres, telles des séquences simultanées dans un instant T, entraînant son petit monde sur de fausses pistes, entretenant le suspens par des réflexions en italique censées refléter l'état d'esprit des personnages, le tout émaillé de descriptions touristiques et artistiques (musée Guggenheim à Bilbao, parc Güell, Sagrada Familia ou Villa Gaudi à Barcelone, palais de l'Escorial à Madrid ou mausolée d'El Valle de Los Caïdos), bref, on ne s'ennuie pas tout en s'instruisant...youpi.
Je doute cependant que nos voisins hispaniques apprécient la vision traditionaliste et la critique déguisée du système politique espagnol, « dernier bastion européen de la monarchie parlementaire » d'un auteur qui en définitive se fait sans l'avouer le chantre de la démocratie à l'américaine (on a vu récemment ce que ça donne quand les oies désertent le Capitole !).
Mais après tout, c est un roman et on est libre d'écrire ce qu'on veut !
Edmond Kirsch, qui prêche pour sa paroisse ( kirche signifie « église » en allemand ! Ça ne s'invente pas ) et à qui on ne la fait pas, a évidemment tout prévu, question mot de passe, coffres blindés, caches secrètes et cerise sur le gâteau un ordinateur, guide et protecteur surnommé Winston (comme Churchill) capable de répondre du tac au tac, de trouver des solutions à tous les problèmes et de pouffer de rire....on peut prédire un bel avenir à L'intelligence artificielle car ce Winston a une classe folle ! (L'accent anglais sans doute !)
Non, sincèrement, de l'action, du tourisme, des morts à la pelle, du suspens, de l'amour, de l'humour, de solides théories scientifiques sur l'entropie et les mathématiques quantiques mâtinées d'un soupçon de philosophie, tout y est et on ne s'ennuie pas un brin.
Voilà une recette pour un bon film (à condition de remplacer Audrey Tautou et Tom hanks pour les cascades !)

Nous sommes repartis dans une aventure trépidante où plane le mystère.
Dan Brown utilise les ficelles habituelles mais qui fonctionnent moins bien pour moi cette fois ci.
J'avais adoré Da Vinci Code et Inferno.
Nous avons de longues réflexions sur la technologie, les humains, les religions, l'art etc... L'ennui s'est installé.
Mais si vous êtes fans surtout ne boudez pas votre plaisir.