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Un second tome à la hauteur du premier, cela confirme les promesses du premier tome.

Trahisons, vengeances, batailles sanglantes, complots, amour tout cela s'entrecroisent avec harmonie. Un très bon scénario et un parti prix pour le dessin (celui du mouvement), la chaleur de la Sicile, les batailles ultras violentes dessinées sous plusieurs angles en même temps donnent une formidable impression.

Ce premier cycle s'achève donc mais cette série ne fait que commencer...et c'est tant mieux!!!
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Même frustration que lors du premier tome hélas : si certaines de mes interrogations ont vu enfin un éclaircissement, je n'ai toujours pas le réponse à toutes mes questions mais cela reste néanmoins un très bon second tome égal au premier, toujours au point de vue de l'intrigue que du point de vue graphisme qui est toujours aussi bien travaillé !

Ici, nous somme toujours en Sicile en l'an de grâce 1040 et le seigneur Harald, qui s'est attribué les bonnes grâces de Pancrède ou Robert (histoire qui a vu un début d'éclaircissement mais le lecteur ignore encore une partie de l'histoire, il ne peut que la supposer) s'engagent dans une guerre qui s'avérera sanglante sur tous les fronts. Guillaume, que l'on supposait s'être allié avec Robert dans le premier tome, décidera quant à lui de servir ses propres intérêts et ceux de ses hommes en essayant d'assoiffer sa soif d'or ! Pour cela, il s'alliera cette fois-ci avec le petit protégé De Robert, l'homme d'église Etienne. Qui trahit qui exactement dans cette histoire ? Un peu tout le monde en fait et c'est cela qui m'a fait un peu perdre le fil et je le déplore, tout comme mon manque de connaissance de cette période historique, qui, je dois l'admettre, l'aurait été d'une aide précieuse pour m'aider à me retrouver dans cette bataille entre Normands et...bref, tous les autres !

Une fin de premier cycle qui, je l'avoue m'a laissé un peu sur ma faim mais que je ne peux néanmoins que vous recommander ! Peut-être m'apporterez vous enfin l'explication à ce que je tente désespéramment de savoir : qui était réellement le duc Robert et a-t-il été déchu à juste titre de son nom et de ses terres ? Mystère...
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Automne 1040, Bataille de Troina : les pions sont en place et la partie peut s'engager entre le Strategos Maniakes et l'Émir de Syracuse !
Les auteurs nous livrent la guerre en noir et sang, avec un chouette détournement du légendaire Deathdealer de Frank Frazetta, mais dans une structure en analepse qui l'entrecoupe très largement avec des passages consacrés aux préparatifs de la bataille faisant la part belle à un relationship drama assez pour ne pas dire très compliqué. L'idée, dans la lignée de R.E. Howard puis de G.R.R. Martin, c'est que tout le monde complote et intrigue contre tout le monde et que tout le monde trahit tout le monde dans le but d'établir sa dominance donc sa domination... Nous sommes dans le monde tout pourri des games of thrones à la con, mais les auteurs montrent au lieu d'expliquer en suivant la règle d'or « show, don't tell » sauf qu'en multipliant les non-dits il finit par manquer un truc pour comprendre le pourquoi du comment ! Alors on a Tancrède alias Robert qui a capturé le diacre Étienne et qui ne sait pas s'il doit s'en servir comme défouloir, comme réponses à ses questions ou comme exutoire à sa soif de vengeance envers le légat Eloi. Ce tome 2 est plus ou moins centré sur Etienne qui en est peu ou prou le narrateur, et qui de sa cage agit en trickster en susurrant tous les mensonges et toutes les vérités du monde pour en sortir : les raisons pour lesquelles Guillaume de Hauteville s'éloigne de Tancrède / Robert m'ont paru tout aussi légères que les raisons pour lesquelles Harald l'Impitoyable se rapproche de Tancrède / Robert (tout en lui faisant des cachotteries dans don dos ^^). La vamp Eudoxie travaille-t-elle pour son frère ou pour son amant ? Marie est-elle le pion d'Étienne ou le pion d'Eudoxie ? Otli, Bjnak et Ashkan gravitent autour de Tancrède / Robert, s'en rapprochant ou s'en éloignant tout en gardant tous leurs mystères. Quant au Strategos Maniakes, ce n'est qu'un putain de pervers narcissique cruel et violent et maniaque du contrôle persuadé que le monde lui appartient que tout le monde doit lui obéir... Ils sont tous au sommet mais sont tous prêts à tout et au reste pour gravir un échelon de plus et toiser de haut qui sont restés à l'échelon du dessous !
On retrouve bien les auteurs du "Roy des Ribauds", et encore une fois je vais regretter les faiblesses du charadesign pour souligner que le découpage possède un véritable souffle ! Donc j'ai donc hâte de lire la suite la série avec Tancrède / Robert et Harald l'Impitoyable unis à la vie à la mort contre un Maniakes horrifié par la révolte de ses pions, et le diacre Etienne emporté malgré lui en Italie par Guillaume de Hauteville dans une chasse au trésor qui non seulement n'existe pas mais qu'en plus il a lui même initiée ^^

PS: présenter le dramatis personae sous forme de vitrail médiéval c'était génial
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Nous revoici enfin en Sicile, toujours en 1040… Enfin, je n'aurais guère aimé vivre cette époque-là où Byzantins, Normands, Varègues (guerriers danois et norvégiens) ne cessent de s'étriper pour s'attribuer un territoire administré comme un émirat par les Arabes dont les forces s'amenuisent.

Pour IRA DEI, c'est le tome 2 (La part du diable) qui clôture le premier cycle et que j'ai pu lire grâce à Vincent. Au fil des pages, c'est la terrible bataille de Troina qui sert de fil rouge, couleur bien choisie car les pages qui y sont consacrées sont pourpres comme le sang qui coule et la violence qui déferle.
En alternance avec les scènes de guerre, Vincent Brugeas et Ronan Toulhoat reviennent quatre mois en arrière et cela reconnecte avec la fin du premier tome (L'or des caïds) où Robert, dit Tancrède, avait enfermé le diacre Étienne, envoyé par le pape, dans une cage pour l'empêcher de nuire. Robert et ses hommes se sont installés dans une ferme fortifiée, sur les pentes de l'Etna, après en avoir chassé les pauvres habitants.
Ce tome 2 nous en apprend un peu plus sur Robert, duc déchu, grâce à Étienne qui rumine sa vengeance. Ce ne sont que jalousies, coups bas par appât du gain, ce qui n'a guère changé au fil des siècles dans notre espèce dite humaine…
Je note avec plaisir un peu de douceur dans des ruines romaines mais ça se gâte très vite lorsque des mines patibulaires arrivent, avec une mise en page réussie…
Enfin, on revient toujours à Troina où le sang coule. Les hommes sont épuisés, blessés, tués au cours de ce terrible affrontement dont Robert sort considérablement affaibli.

Un deuxième cycle permettra sûrement de savourer encore un très bel album comme celui-ci avec des couleurs attrayantes, bien adaptées et des dessins d'un réalisme impressionnant.


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Avec l'aide retorse de Tancrède, Harald a pris Taormine. Ils retrouve Maniakès pour livrer ensemble la bataille de Troina. Entre ses 3 hommes se nouent des liens d'amitié et de rivalités sur le territoire de la Sicile.

La bataille pour la Sicile semble se terminer avec la fin de ce premier diptyque. Les auteurs nous dressent le portrait de personnalités fortes, pas forcement sympathiques mais qui permettent une vraie présence dans l'histoire. Dans ce tome, Tancrède/Robert est un peu plus en retrait. C'est le diacre Etienne qui est en avant plan. Bien qu'il passe la plupart du récit dans une cage, il reste actif et n'hésite pas à concocter quelques plans machiavéliques. Les deux femmes du récit ont aussi une importance et leur rôle n'est pas oublié.
En plus de personnages forts, nous avons une chouette bataille finale. le découpage est vraiment très bien réalisé. C'est dynamique et fluide.
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Suite de ce premier cycle de cette série BD historique, vive et sanglante qui narre la reconquête de la Sicile musulmane au XI éme siècle par les forces de l'empire byzantin. L'armée byzantine est alors un agrégat de mercenaires intéressés par le butin avant tout.

Parmi eux figure Tancrède, seigneur normand au lourd passé, son allié Guillaume, normand lui aussi, et le puissant prince varègue Harald. Un trio, obligé de suivre les instructions du strategos byzantin, et qui piaffe d'impatience, attendant une nouvelle bataille.
Tancrède, lui, s'est débarrassé de Étienne, l'encombrant légat du pape qui l'a poussé à venir en Sicile, en le mettant en cage. Mais son prisonnier a de la ressource. Les oppositions entre nationalités et les querelles de préséance vont compliquer la suite de la campagne militaire.

Cette série joue avec les réalités historiques en exacerbant la violence de l'époque. Les dessins de Ronan Toulhoat sont impressionnants. Les combats sont âpres ; le rouge prédomine lors de la bataille de Troina en 1040. Les trahisons se succèdent. Mais la Sicile est en passe de redevenir chrétienne…
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Des combats et des jeux de pouvoir… Ça sent "Game Of Thrones", dragons et Marcheurs Blancs en moins… Et sans les bons mots de Tyrion !

Mais niveau stratégie pour niquer les autres et devenir calife à la place du calife, c'est du pur bonheur tant tout le monde complote contre tout le monde.

Mon bémol ? le même que pour le premier tome (L'or des Caïds) : les traits assez grossiers des dessins.

Un peu de ligne claire aurait profité à l'ensemble et rendu certaines cases moins brouillonnes et plus jolies à admirer.

Terminé pour les bémols car je n'ai rien à dire d'autre et malgré les traits parfois un peu épais, je n'ai pas eu les yeux qui ont pleuré comme ce fut parfois le cas avec certaines bédés (mais faut pas le dire, sinon, on a l'auteur ou son fils, son neveu, son chien, l'ombre de son chien qui vous saute dessus toutes griffes dehors).

Les décors ? Purée, ils rendent justice à la Sicile, donne le ton pour l'atmosphère et les couleurs chatoyantes pourraient même nous faire prendre de jolie couleur de bronzage rien qu'en les regardant. C'est joli, bucolique, on sent le soleil qui chauffe notre peau.

A contrario, lorsque nous sommes sur les champs de batailles, les teintes rouges rougeoient et pas besoin d'avoir fait Master BD pour comprendre que le bucolique est foutu le camp et qu'il ne reviendra pas !

Les scènes de batailles foisonnent de détails et sont très réalistes. Ah, ces charges de cavalerie ! Et ces guerriers qui lèvent les boucliers pour tenir le mur ! Magnifique ! Ok, les cadavres ensuite, c'est moins génial.

Les personnages ont pris de l'épaisseur, on en apprend un peu plus sur Tancrède et le jeu des magouilles et compagnie va nous dévoiler le visage de certains personnages que l'on n'attendait pas là.

Une intrigue étoffée, du suspense, des retournements de situations, des magouilles, des jeux de pouvoir, bref, tous les ingrédients sont réunis pour nous faire une bonne soupe bien nourrissante !

On termine un premier cycle et j'ai hâte de lire les suivants.

PS : j'ai trouvé ça bien trouvé de nous placer en début d'album les personnages importants dans un vitrail !

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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L'illustration de couverture est très réussie, plus pertinente que celle du premier volume), reprenant à la fois le thème et la colorimétrie de la série (j'aime toujours quand il y a une homogénéité dans une série) mais surtout proposant un sujet énigmatique et très révélateur de l'album. Un vitrail dessiné très élégant en début d'album rappelle les protagonistes. Ce tome clôt officiellement un premier cycle d'une série prévue en quatre cycles minimum.

Après avoir conquis Taormine en Sicile, Tancrède est intégré à l'armée du Strategos Maniakès. Poursuivant sa propre vengeance en enfermant le moine dans une cage, il voit les alliances se faire et se défaire, chacun jouant sa propre partition au sein de ce théâtre de reconquête militaire.

Le duo Brugeas/Toulhoat est décidément impressionnant. Non content d'une productivité hors norme (on est à une moyenne de 2 albums par an), ils parviennent à produire des BD grand public sur des sujets et traitement pour le moins risqués... Paradoxalement si leur BD la plus mainstream (Chaos Team: des barbouzes dans un contexte post-apo après l'arrivée des extra-terrestres) est leur seul semi-échec commercial, ils choisissent ensuite un polar médiéval très sombre et une épopée diplomatico-stratégique dans la méditerranée Byzantine de l'an Mille!

Le premier tome d'Ira Dei était une vraie réussite, inattendue pour ma part et qui reprenait pas mal de tics graphiques et scénaristiques du couple d'auteurs. La part du diable parvient à rehausser encore le niveau en complexifiant une intrigue déjà touffue, notamment via le ressort des aller-retour: l'album débute sur la grande bataille de Syracuse et nous montre par morceaux quelles inimitiés, quels retournements d'alliances, quels machiavélismes ont mené à ce morceau de bravoure épique qui renverrait presque le Conan des deux compères sorti au printemps au rang de bleuette Nouvelle vague... La lecture de l'album demande de la concentration même si le dessin, toujours aussi clair et précis facilite le parcours oculaire. La grande force de ce volume et le véritable changement par rapport à leurs productions précédentes est l'absence de héros et une impossibilité pour le lecteur de définir le centre de l'intrigue. La multitude de personnages secondaires, bien plus charismatiques et éclairés que les deux centres antagonistes que sont Tancrède et Etienne, crée une toile renforcée par une chute inattendue qui ressemble plus à un to be continued qu'à une fin de cycle. La série sera en effet construite sur des cycles "géographiques" changeant de théâtre des opérations à chaque diptyques, dans une trame néanmoins suivie.

Le personnage de Tancrède est un peu en retrait dans ce volume, en laissant la part belle (comme souvent chez Brugeas&Toulhoat) aux femmes, manipulatrices, belles, intelligentes, face à une brochette de mâles violents et tous plus retors les uns que les autres qui font chercher en vain quelque chose qui se rapprocherait le plus d'un héros. Dans cet univers machiavélique où chaque acteur semble être le précepteur de Sun Tzu, très peu de manichéisme, ce qui est rare dans ce genre de BD et très agréable.

Graphiquement Ronan Toulhoat n'en finit plus à chaque album de nous régaler. Si vous lisez régulièrement ce blog vous savez que je suis adepte des encrages forts et ce que j'aime chez ce dessinateur c'est son trait très instinctif allié à une utilisation discrète du numérique, dans la colorisation notamment et dans la réalisation d'arrière-plans jamais délaissés: il y a une telle vie dans chacune des cases que l'on prolonge la lecture pour scruter chaque détail. L'autre grande force du dessinateur est son sens du mouvement, à la fois par des effets graphiques très maîtrisés (eyfish, lignes de vitesse) et par un découpage en travelings qui crée une vraie immersion.

La part du diable est peut-être l'album le plus abouti du duo (je sais, je dis ça à chacun de leurs albums...), à la fois exigeant, complexe, visuellement renversant de détails et de précision, proposant à la fois de sombres débats stratégico-conspirationistes et des scènes de bataille grandioses... On ne sais plus s'il faut souhaiter des changements d'horizons pour ces auteurs tant ils nous régalent en proposant à chaque album des créations qui respirent la passion. Personnellement je suis leurs aventures les yeux fermés et pour l'instant je n'ai jamais été déçu.
Lien : https://etagereimaginaire.wo..
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Avec ce deuxième tome, on arrive à la fin du premier cycle.
On voyage dans une Sicile de 1040, ravagée par la guerre. Au delà des batailles, des complots et des stratagèmes, on assiste à des combats acharnés entre des personnages. Chacun à son but, sa revanche. D'ailleurs il faut parfois suivre toutes les turpitudes de tous car les histoires ne sont toutes simples avec de nombreux rebondissements.
Une lecture très prenante et complète. Qui aborde la guerre, les relations avec les autres, les faux-semblants... On se demande ce que va nous réserver le deuxième cycle.
Les dessins sont particuliers, reconnaissables, très agréables, avec de belles compositions de cases. Et des couleurs lumineuses.
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Deuxième acte du premier cycle de la nouvelle série phare du Dynamic Duo et c'est toujours aussi cool !
On retrouve nos personnages quelques mois après la fin du premier tome. Cette fois Tancrède s'efface un peu pour laisser sa place au diacre Etienne qui se retrouve au centre de cet album.

Taormine est tombée mais la guerre n'est pas encore terminée. L'émir de Syracuse dispose encore de forces conséquentes et nos héros: Tancrède, Harald et Guillaume ne pourront le vaincre à eux seuls. C'est ainsi qu'entre en scène le Strategos George Maniakès. Manipulateur et violent on apprend vite à connaître le personnage qui se révèle être une sérieuse épine dans le pied de Harald et Tancrède désormais amis et frères d'armes, ce qui irrite profondément Guillaume, tandis que dans l'ombre la soeur d'Etienne fait tout pour lui rendre sa liberté.
Les loyautés de chacun seront mises à l'épreuve et il n'est pas sur que tous choisissent le bon camp, ou que le véritable ennemi soit celui que l'on affronte sur le champ de bataille.

L'album s'articule autour d'une grande bataille entre forces byzantines et maures. On sent bien que Conan: le Colosse Noir est passé par la car on retrouve la même palette de couleurs. Et pour être honnête je suis pas mécontent que ce soit le cas, a présent le Duo est capable de délivrer aussi bien des affrontements à petite échelle que des batailles épiques comme c'est le cas içi avec de splendides doubles pages. On creuse encore la personnalité de nos personnages en tissant entre chacun d'eux des relations amicales ou rivales et leur vraie nature se révèle au fil des pages, et elle n'est pas forcément agréable.
Du tout bon.
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