Lors du dernier salon du livre de poche Saint-Maur En Poche en juin 2017, le libraire Gérard Collard recevait sur la scène des déblogueurs Nadine Monfils et
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La petite fêlée aux allumettes de Nadine Monfils aux éditions Pocket
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La vieille qui voulait tuer le bon dieu de Nadine Monfils aux éditions Pocket
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L'incorrigible Monsieur William de Hugo Buan aux éditions du Palémon
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Hugo BuanEnquête du commissaire Workan tome 3 sur 12
/5 14 notes
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Résumé :
Cinq oeuvres majeures du peintre Georges de la Tour, doivent être exposées dans l'ancien couvent des Jacobins à Rennes. La sécurité déployée est à la hauteur de l'événement, munie de toutes les nouvelles technologies, inviolable, dixit le responsable de la surveillance... Le couvent se transforme alors en fort Chabrol. Malheureusement, un certain Fletcher et sa bande de malfrats parisiens ne voient pas les choses de cette manière. Génie de l'embrouille, Fletcher éla... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (6)
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5 étoiles pour moi !
"La nuit du tricheur" de Hugo Buan se déroule à Rennes.
Cinq oeuvres du peintre Georges de la Tour vont être exposés dans l'ancien couvent des Jacobins à Rennes. Tout est fait pour assurer la sécurité autour de l'exposition et tout semble sous contrôle...
Mais si on retrouve dans cette histoire le commissaire Workan et son équipe... c'est bien parce que tout ne va pas se passer comme prévu... Les malfrats rôdent !! Fletcher et sa bande.
Passionnant, drôle, un très bon moment de lecture.
"La nuit du tricheur" de Hugo Buan se déroule à Rennes.
Cinq oeuvres du peintre Georges de la Tour vont être exposés dans l'ancien couvent des Jacobins à Rennes. Tout est fait pour assurer la sécurité autour de l'exposition et tout semble sous contrôle...
Mais si on retrouve dans cette histoire le commissaire Workan et son équipe... c'est bien parce que tout ne va pas se passer comme prévu... Les malfrats rôdent !! Fletcher et sa bande.
Passionnant, drôle, un très bon moment de lecture.
On retrouve le commissaire Workan avec ce même caractère individualiste et pourtant proche, à sa façon, de ses équipiers. Sa mauvaise foi, parfois, sa façon très particulière de mener une enquête, souvent, son opposition à la hiérarchie, presque toujours, constituent l'âme de ce roman, à l'image des deux précédents. Un personnage détesté par le système qui doit, malgré lui, reconnaître l'efficacité de ce commissaire hors normes. Un personnage dans lequel le lecteur se projette à certains moments, variables selon les personnalités. Workan fait toujours preuve d'un humour un peu décalé toujours dans la veine de Audiard, Dard et Nestor Burma. Un subtile mélange dont les amateurs se régalent et auquel ceux qui ne connaissent pas devraient goûter.
Cette fois, son enquête est biaisée de par le présence d'un cousin dans la liste des suspects plus que potentiels. Ce cousin avait été un peu la tête de Turc de Workan lorqu'ils étaient enfants. Flectch, ce cousin, a suivi un cursus artistique mais il a bifurqué ensuite vers la petite délinquance. Workan, a en charge la supervision générale d'une exposition de Quentin de la Tour et ceux d'un certain "Ducon la joie". Il suspecte son cousin Fletch de projeter le vol de ces tableaux.
L'intrigue ne porte pas tant sur l'identification de l'auteur d'un meurtre et du vol que sur le devenir des toiles. Seront-elles volées ou pas et, si elles sont volées, comment seraient-elles récupérées.
Les astuces techniques utilisées constituent également un centre d'intérêt dans la lecture.
Une nouvelle enquête à la hauteur des précédentes, respectant l'esprit de son créateur. Un véritable délice que l'on savoure tranquillement page après page, pour qui apprécie ce style.
Cette fois, son enquête est biaisée de par le présence d'un cousin dans la liste des suspects plus que potentiels. Ce cousin avait été un peu la tête de Turc de Workan lorqu'ils étaient enfants. Flectch, ce cousin, a suivi un cursus artistique mais il a bifurqué ensuite vers la petite délinquance. Workan, a en charge la supervision générale d'une exposition de Quentin de la Tour et ceux d'un certain "Ducon la joie". Il suspecte son cousin Fletch de projeter le vol de ces tableaux.
L'intrigue ne porte pas tant sur l'identification de l'auteur d'un meurtre et du vol que sur le devenir des toiles. Seront-elles volées ou pas et, si elles sont volées, comment seraient-elles récupérées.
Les astuces techniques utilisées constituent également un centre d'intérêt dans la lecture.
Une nouvelle enquête à la hauteur des précédentes, respectant l'esprit de son créateur. Un véritable délice que l'on savoure tranquillement page après page, pour qui apprécie ce style.
Cinq toiles de Georges de la Tour vont être exposées dans l'ancien couvent des Jacobins de Rennes. Exposition exceptionnelle qui demande des moyens exceptionnels. C'est donc le commissaire Lucien Workan qui est chargé de contrôler la sécurité des lieux et des toiles.
Mais Fletch Nowski, redoutable amateur d'art et surtout cambrioleur est à Rennes en ce moment, bien décidé à faire main basse sur les cinq tableaux et à se venger de son lointain cousin, Lucien Workan.
Et maintenant, pour ce troisième tome, voici le commissaire Workan confronté à une partie de sa famille. Cela permet à Hugo Buan de nous montrer une partie de l'arbre généalogique de son héros, et donc de le connaître un peu mieux.
Ce n'est pas le tome le plus drôle de la série, même si les dialogues sont toujours aussi savoureux, cette fois-ci surtout entre Workan et la procureure et entre Workan et son adjoint, le capitaine Lerouyer. Hugo Buan montre une autre facette de Workan, plus intime, moins grand con rustique. On n'est pas non plus dans un polar à contexte qui nous apprendrait plein de trucs sur un fait historique, un lieu, etc. C'est un polar à confrontation familiale, à intrigue et questionnement, car, le couvent des Jacobins étant une véritable forteresse, on se demande bien comment Fletch Workan et son équipe -et là, permettez-moi de faire une longue parenthèse, car le recrutement de bras cassés, de collègues atypiques (c'est pour être gentil), de branquignols, doit être génétique lorsqu'on étudie l'entourage des deux cousins-, je disais donc qu'on se demande si et comment Fletch va réussir son coup, cinq toiles ce n'est pas rien !
Encore une fois fort bien fait, un troisième tome qui change des autres, et c'est tant mieux, rien de plus terrible que de lire toujours la même chose. Une série qui ne promet plus, elle comble.
Néanmoins, pour cause de rupture de stock (j'ai acheté les deux premiers tomes et ai emprunté ce troisième à la bibliothèque), je vais être obligé de faire une pause dans ma remontada de la série.
Lien : http://www.lyvres.fr/
Mais Fletch Nowski, redoutable amateur d'art et surtout cambrioleur est à Rennes en ce moment, bien décidé à faire main basse sur les cinq tableaux et à se venger de son lointain cousin, Lucien Workan.
Et maintenant, pour ce troisième tome, voici le commissaire Workan confronté à une partie de sa famille. Cela permet à Hugo Buan de nous montrer une partie de l'arbre généalogique de son héros, et donc de le connaître un peu mieux.
Ce n'est pas le tome le plus drôle de la série, même si les dialogues sont toujours aussi savoureux, cette fois-ci surtout entre Workan et la procureure et entre Workan et son adjoint, le capitaine Lerouyer. Hugo Buan montre une autre facette de Workan, plus intime, moins grand con rustique. On n'est pas non plus dans un polar à contexte qui nous apprendrait plein de trucs sur un fait historique, un lieu, etc. C'est un polar à confrontation familiale, à intrigue et questionnement, car, le couvent des Jacobins étant une véritable forteresse, on se demande bien comment Fletch Workan et son équipe -et là, permettez-moi de faire une longue parenthèse, car le recrutement de bras cassés, de collègues atypiques (c'est pour être gentil), de branquignols, doit être génétique lorsqu'on étudie l'entourage des deux cousins-, je disais donc qu'on se demande si et comment Fletch va réussir son coup, cinq toiles ce n'est pas rien !
Encore une fois fort bien fait, un troisième tome qui change des autres, et c'est tant mieux, rien de plus terrible que de lire toujours la même chose. Une série qui ne promet plus, elle comble.
Néanmoins, pour cause de rupture de stock (j'ai acheté les deux premiers tomes et ai emprunté ce troisième à la bibliothèque), je vais être obligé de faire une pause dans ma remontada de la série.
Lien : http://www.lyvres.fr/
Cinq oeuvres majeures du peintre Georges de la Tour, doivent être exposées dans l'ancien couvent des Jacobins à Rennes. La sécurité déployée est à la hauteur de l'événement, munie de toutes les nouvelles technologies, inviolable, dixit le responsable de la surveillance... le couvent se transforme alors en fort Chabrol.
Malheureusement, un certain Fletcher et sa bande de malfrats parisiens ne voient pas les choses de cette manière. Génie de l'embrouille, Fletcher élabore un plan divinement machiavélique pour s'emparer des tableaux.
C'est sans compter sur le commissaire Workan, charger de superviser l'exposition. Car bien sûr, quand Workan s'en mèle, ce qui ne devait être qu'un travail de routine se transforme en enquête compliquée impliquant des membres de la famille.
Mon avis :
J'ai été ravie de retrouver le commissaire Workan dans de nouvelles aventures dans sa ville de Rennes (bien que je dois avouer que la précision du nom des rues ne m'ait pas été d'une grande utilité pendant ma lecture, malgré ma visite de la ville il y a quelques années. Mais pour les autochtones, cela doit être intéressnat de situer l'action dans la ville).
Toujours autant de gouaille, ce commissaire, du San-A revisité à la sauce moderne, qui ferait presque tourner son chef en bourrique, sans oublier ses acolytes qui ne cessent de se chamailler.
L'arnaque au musée est très bien ficellée, ainsi que le dénouement final.
Et puis on en apprend un peu plus sur la famille du commissaire.
Bref, j'ai adoré ce troisième opus.
L'image que je retiendrai :
celle des collaborateurs dépités par les jeux de mots et d'esprit de Workan.
Lien : http://motamots.canalblog.co..
Malheureusement, un certain Fletcher et sa bande de malfrats parisiens ne voient pas les choses de cette manière. Génie de l'embrouille, Fletcher élabore un plan divinement machiavélique pour s'emparer des tableaux.
C'est sans compter sur le commissaire Workan, charger de superviser l'exposition. Car bien sûr, quand Workan s'en mèle, ce qui ne devait être qu'un travail de routine se transforme en enquête compliquée impliquant des membres de la famille.
Mon avis :
J'ai été ravie de retrouver le commissaire Workan dans de nouvelles aventures dans sa ville de Rennes (bien que je dois avouer que la précision du nom des rues ne m'ait pas été d'une grande utilité pendant ma lecture, malgré ma visite de la ville il y a quelques années. Mais pour les autochtones, cela doit être intéressnat de situer l'action dans la ville).
Toujours autant de gouaille, ce commissaire, du San-A revisité à la sauce moderne, qui ferait presque tourner son chef en bourrique, sans oublier ses acolytes qui ne cessent de se chamailler.
L'arnaque au musée est très bien ficellée, ainsi que le dénouement final.
Et puis on en apprend un peu plus sur la famille du commissaire.
Bref, j'ai adoré ce troisième opus.
L'image que je retiendrai :
celle des collaborateurs dépités par les jeux de mots et d'esprit de Workan.
Lien : http://motamots.canalblog.co..
De très bonnes choses dans ce roman. Une bande de truands sympathique, un commissaire haut en couleurs, des lieutenants pittoresques, un artiste de génie... Je l'ai lu d'une traite mais des petites choses m'ont gêné tout de même : des situations tirées parfois par les cheveux, quelques longueurs, un commissaire peut-être trop haut en couleurs, et un truand pas assez truand.. Et une révélation qui arrive trop tôt à mon goût. Bref, une bonne lecture mais avec un petit sentiment d'insatisfaction...
Citations et extraits (8)
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Ce qui rendait malade le grand commissaire, c'était la possibilité qu'un tableau du maître lorrain puisse valoir moins cher qu'un footballeur de Chelsea, du Real ou de Manchester.
La chance les fuyait : les quatre gangsters étaient tombés sur le paysan le plus chiant de Bretagne, et sûrement de France.
Il faut bien reconnaître que les morts ont tendance à s'accumuler autour de vous. Vous êtes comme un papier-tu-mouches.
J'ai l' impression d'être l'Armée du Salut, les Restos du Coeur et le Secours Catholique avec vous trois!
- Workan contre Nowski. La plus belle partie d'échecs qui soit.
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