Cabaud décrit trois moments qui mènent de la confusion à «l’ataraxie». Ou plutôt, il les dessine. Car son texte, construit d’abord en un bloc gris, sans paragraphe ni ponctuation, qui joue sur le bégaiement, s’éclaire peu à peu, gagne des mises à la ligne, des virgules, des pauses, des blancs dans la page.
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