Nous retrouvons Eve dans une partie fine. A peine celle-ci terminée, elle est invitée avec son mari à participer à une nouvelle séance dans un théâtre parisien. Puis elle nous conduit en Italie, ...
Pour ce quatrième opus, Eve continue de nous promener au gré de ses aventures. Ce quatrième tome décolle un peu plus que les précédents. Bien que l'auteure tombe toujours dans ses travers, à savoir que chaque action semble être une symphonie inachevée ou qu'elle écourte toujours ses courts chapitres comme si elle était pressée de nous conduire au suivant. Dans ce quatrième volet, elle partage pour la première fois ses sentiments et désirs qu'elle éprouve pour d'autres femmes, ce qui pimente un peu son récit. le style est fidèle à lui-même, sans ambages, simple et fluide. Je sais que cette autobiographie a aussi été publiée en un tome, mais je pense que la lire d'une traite doit être profondément lassant et c'est grâce à de courts tomes que je lis en les espaçant que je peux arriver à continuer cette histoire sans trop de lassitude.
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En Italie, le terme de libertin se traduit par « transgressivo » qui, au vingt et unième siècle, me semblait tout à fait explicite, car il est autant affaire de transgression des règles socialement établies que de conquête de sa propre liberté.