La Maison des voix

"Il en faut peu pour être heureux. Vraiment très peu pour être heureux" ça vous dit quelque chose ?

Et bien ici vous allez l'entendre à nouveau. 

Pietro, un hypnotiseur pour enfants, est appelé pour venir en aide à une femme. Une chose qui n'est pas du tout dans ses habitudes. Il va vite s'en rendre compte, car il s'embarque dans une histoire qui va le dépasser.

Bien que l'histoire soit originale, qu'il y ait une bonne intrigue et de bons rebondissements, certaines situations ne sont pas crédibles et les personnages ne sont pas très claires. Disons que c'est un peu tiré par les cheveux.

Ce livre ne m'a pas spécialement transporté et je n'ai pas été convaincue.

A la vue des bonnes notes obtenu par d'autres Babelios et Babeliottes, ce roman plaira probablement à d'autres.

« La maison des voix » de Donato Carrisi.


Je me suis incontestablement délecté de la lecture de ce thriller qui confirme, une fois encore, la valeur et les qualités de la littérature italienne contemporaine.


Une intrigue très travaillée et exceptionnellement maîtrisée - qui prend fin sur dénouement et une révélation inattendus et déconcertants- conduite au moyen d'un suspense formidable, caractérise la première des qualités de ce roman.


L'écriture et le style sont agréables et très convenables.


Mais, et ceci, par définition, reste très subjectif, le roman présente deux défauts d'importance différente.


Le roman « psycho-psychiatrique» est, d'une part, un genre très casse-gueule en ce sens que pour parvenir à réunir les qualités du thriller, il est inévitable de flirter avec la
« science-fiction» psychiatrique. L'écueil consiste alors à s'abandonner, trop souvent, dans une absolue irréalité. le lecteur connais, bien entendu, la signification du mot « roman », mais il éprouve le besoin de d'appréhender le fait qu'un récit – hors les cas de la science fiction ou de la fantasy – n'est ni chimérique ni utopique, que les évènements sont plausibles.


Or, « la maison des voix » tombe trop souvent dans ce travers - comme de nombreux romans psycho-psychiatriques en vogue aujourd'hui, dont l'écriture est sûrement favorisée par les circonstances des temps ...


En second lieu, l'intrigue laisse parfois certaines points obscurs ou non expliqués.


Nonobstant, la « Maison des voix » est un bon roman que je recommande bien vivement.


Bonne lecture.

Michel.




Lien : https://fureur-de-lire.blogs..

Globalement, j'apprécie cet auteur même si certains de ses livres n'ont pas convaincue. Celui-ci en fait partie, malheureusement.
Le Dr Gerber se voit assigné une patiente adulte perturbée à cause de choses survenues durant sa tendre enfance : elle est notamment persuadée d'avoir tué son jeune frère. le psychologue va alors user de ses dons d'hypnotiseur afin de démêler le vrai du faux et soulager cette patiente de ses tourments.
Mais très vite, cette dernière s'avère étrange voire dangereuse, et s'immisce dans la vie de l'hypnotiseur...
Une histoire complètement tirée par les cheveux dans laquelle je ne suis pas rentrée. Même si j'adore les twists originaux, l'auteur en a fait beaucoup trop et j'ai même trouvé les événements risibles tant ils étaient capilloctractés.
Bref, je n'ai pas accroché à ce nouvel opus de Carrisi.

Fan des thrillers psychologiques, je me suis lancée dans La Maison des voix de Donato Carrisi après en avoir entendu beaucoup de bien. Et j'ai bien fait. Je sais que l'auteur est connu pour sa série "Le chuchoteur", mais c'est grâce à La Maison des voix que je l'ai découvert.

Ce roman mêle psychologie et hypnose. Deux personnages, un psychiatre et une patiente, voient leur destin s'entremêler pour ne plus se dissocier. Hanna Hall est persuadée d'avoir tué son frère pendant son enfance. Grâce à l'hypnose, le psychiatre Pietro Gerber va l'aider à plonger dans ses souvenirs.

Le roman est très bien rythmé et on ne s'ennuie pas une seconde. Dès le début, le ton est posé et on veut tout de suite en savoir plus. Les chapitres défilent et le mystère ne fait que s'épaissir pour aboutir à un dénouement que j'ai beaucoup aimé ! En bref, un thriller psychologique qui se lit tout seul, parfait pour les fans du genre.
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L'histoire dans le milieu de la pédo-psychiatrie commence quand un collègue australienne demande à Pietro Gerber de suivre une patiente qui est persuadée d'avoir tué son frère. le début est assez alléchant, Mais malheureusement, j'ai eu bien du mal à entrer dans le sujet. Je l'ai lu jusqu'à la fin quand même. Je trouve l'enchainement des séances d'hypnoses et les révélations un peu convenues et sans surprises.
C'est pour cela que je n'ai donné que 3 étoiles.

Je viens juste de terminer le dernier DONATO CARRISI dont le 4e de couverture m'avait emballé.
Malheureusement ce ne fut pas le cas lors de ma lecture.

Je ne suis pas parvenue à m'attacher aux personnages, même si l'intrigue était intéressante, surtout la fin..

On y retrouve bien l'esprit tortueux de DONATO CARRISI.

Mais je n'ai pas retrouvé le plaisir que j'avais éprouvé en lisant "la fille dans le brouillard" avec lequel j'avais découvert cet auteur.

tant pis !

L'histoire est originale, et on retrouve le climat angoissant cher à l'auteur. Je reste malgré tout assez critique pour cette oeuvre, de bien moins bonne facture que ses livres précédents. Il manque un lien, les rebondissements sont peu crédibles, et les dialogues assez médiocres.

Je finis le dernier roman de Donato C., qu'on ne présente plus, avec une certaine amertume.

Comme toujours, je n'ai pas été déçu par le roman en lui-même. L'intrigue est merveilleusement bien menée, le suspense tien en haleine et l'envie irrésistible de savoir la fin en font un page turner indéniable. Enfin, la plume de l'auteur est au rendez-vous, ce qui ne manquera pas de ravir les irréductibles de l'auteur (dont je fais partis).

MAIS, il n'en reste pas moins que si ce titre est un one shot, on ne peut que regretter le manque de substance concernant les personnages secondaire... Mais où sont passés la femme et le fils de ce bon psychologue ? N'ont ils aucun rôle à jouer dans cette histoire ? Cela paraît peu probable. le manque est tellement gros qu'il est comme une tache qui perturbe la lecture et qui non content d'être en plein centre, grossit au fur et à mesure des pages. Ce manque de substance entache très largement le roman dans son ensemble (à mon humble avis) et c'est fort dommage.

Et enfin que dire de cette fin... Abrupte, elle nous laisse sur notre faim. Ce roman qui s'attelle si volontiers à la psyché humaine, ne nous donne aucun détail sur l'impacte de l'histoire sur les personnages. Comme un mauvais film, la fin en suspens, laisse un sentiment de fin inachevé.

La phrase qui me vient à l'esprit à cet instant est: tout ce travail, tout ce cheminement dans l'intrigue pour ça ??? Quel dommage !

Un thriller psychologique qui a toutes les qualités requises pour le genre, je l'ai apprécié mais sans plus, je n'ai pas réussi à vraiment rentrer dans l'histoire et à être happée par l'histoire. Une lecture qui n'est probablement pas arrivée au bon moment et qui ne remet en rien en cause les qualités de l'auteur.

Terminé il y a déjà quelques jours mais malheureusement il ne me laissera pas un grand souvenir.
Je n'ai pas été aussi touchée que par les autres bouquins qu'il à pu faire avant à mon grand regret. Je suis d'ordinaire très friande des livres de Donato Carrisi, mais là ça ne l'a pas autant fait que ce que j'espérais.

J'ai moins été prise par l'intrigue, même parfois un peu mal à l'aise à certains moments.
Je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages.
L'intrigue reste sympa, le fait qu'on aborde l'hypnose, la famille, les maladies mentales était chouette mais pas assez pour vraiment m'embarquer !