Le cheval à bascule

Dernier volume avec Tuppence et Tommy Beresford comme “enquêteurs”. Ils se sont installés à la campagne dans la maison qu'ils ont achetée il y a peu et Tuppence découvre une phrase codée qui l'interpelle, dans un livre d'enfant qui était dans la maison depuis longtemps.

“Marie Jordan n'est pas décédée de mort naturelle. C'est un de nous qui l'a tuée. Je crois savoir qui.”

Cela suffit pour la lancer dans une enquête, bientôt accompagnée par son mari. Des histoires de traîtres pendant la Grande Guerre circulent dans le village et tout cela semble lié.

Je me suis vraiment ennuyée avec cette histoire d'espionnage à laquelle je n'ai pas compris grand-chose car tout est très embrouillé, plus faits sont répétés à l'envi et le dénouement de certaines énigmes passé à la trappe ! Même pour une fiction c'est très invraisemblable ! Heureusement que ça ne fut pas plus long.

Il fait partie des derniers romans d'Agatha Christie et clairement l'espionnage n'est pas son domaine le mieux maitrisé !

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Certainement l'un des romans policiers signés Agatha Christie les moins aboutis de la "Reine du crime". Dernier volet des enquêtes du couple Thomas et Prudence Beresford, "Le cheval à bascule" n'est pas convaincant pour un sou, ni sur le fond ni sur la forme. Sans même parler des innombrables coquilles et confusions dans les noms des personnages de mon édition originale "Le Masque" de 1973... qui va rejoindre beaucoup de ses congénères dans une boîte à livres publique.

Les Beresford viennent d'emménager dans une charmante demeure dans une ville de province, "Les Lauriers". En rangeant des livres laissés au grenier par les anciens propriétaires, Tuppence (Prudence) remarque des marques au feutre sur l'un d'eux et n'a aucune difficulté à décoder un message caché et sibyllin indiquant qu'une certaine Marie Jordan ne serait pas décédée de mort naturelle. Il en faudra moins pour éveiller la curiosité et le flair de la vieille dame.

En parlant de flair, le seul personnage crédible et attachant de ce roman est... un chien, Hannibal, qui va dénouer l'intrigue presque à lui tout seul.

Une intrigue qui manque singulièrement de sel et de cohérence. J'ai à peine compris ce qui se déroulait tellement les personnages secondaires sont volatiles, les pistes dispersées, les indices tombant d'eux-mêmes du ciel au moment le plus opportun, etc.

Bref, vraiment pas un opus inoubliable. D'ailleurs, je l'ai déjà oublié.


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La Reine du Crime ne m'aura pas convaincue avec ce titre qui est, si j'en crois la postface, le dernier qu'elle ait écrit. Il faut dire que, toujours d'après la postface, l'autrice elle-même, comme son entourage, n'étaient pas des plus convaincus. C'est simple, je me suis ennuyée du début à la fin. L'intrigue pour moi est un mêli-mêlo d'éléments sans liens, sans explications, nous offrant ainsi un résultat des plus confus. le dernier chapitre n'apporte même pas un brin d'explications. On a des éléments qui se retrouvent associés ensemble, on ne sait comment. Notre duo est lui-même pas vraiment au parfum jusqu'à la toute fin. Bref... elle a fait nettement mieux.
Le seul petit plus de cette intrigue est le personnage de Tuppence qui, bien que vieillissante, reste toujours une bouffée d'air frais.

Je conclue ainsi le cycle Beresford et je dois bien avouer qu'il me convainc nettement moins que les enquêtes de Marple ou de Poirot. le côté espionnage sied moins à la Reine du crime que l'excellence de ses huis-clos...

Ici on sent de surcroit la grande nostalgie de l'autrice, page après page. C'est une véritable madeleine de Proust. Aussi, je peux comprendre le besoin pour l'autrice qui prend de l'âge. Mais, il n'y aura certainement pas de relecture de ce titre pour moi. La grande question est : vais-je le garder dans ma bibliothèque?

Suite et fin des aventures des Beresford…

Tuppence et Tommy, la septantaine, ont acheté une maison dans un charmant patelin pas trop loin de Londres où Tommy fait de fréquents allers-retours en train.
Et bien sûr, s'agissant de nos espions-enquêteurs amateurs ils vont tomber sur un fait bizarre lié à cette maison ; ils vont creuser, surtout Tuppence qui va entraîner son cher et tendre dans ses recherches.

C'est intéressant de voir ce que devient le duo, mais ce dernier opus n'est pas à la hauteur des précédents. L'intrigue et les péripéties sont peu attractives et tout cela se déroule dans un cercle assez restreint de vieux, voire de très vieux ; la quête des souvenirs des uns et des autres traîne souvent en longueur.

L'autrice voulait probablement écrire un livre pour clore cette série mais, à mes yeux, elle manquait d'imagination.

N'étant ni une spécialiste d'Agatha Christie (mes dernières lectures doivent dater de mon adolescence et concernaient plutôt les exploits de Miss Marple ou Hercule Poirot), ni une véritable inconditionnelle du roman policier anglais traditionnel, cette lecture a été pour moi d'un ennui mortel.

Dans "Le cheval à bascule", je découvre donc tardivement Tommy et Tuppence Beresford, autres héros récurrents de la célèbre romancière. Je dis "tardivement" puisque ces deux anciens détectives, mari et femme, viennent de prendre une retraite apparemment bien méritée et emménagent dans une nouvelle demeure en pleine campagne anglaise. Quelques mots soulignés dans un vieux livre d'enfant vont attiser la curiosité de Tuppence qui ne demande qu'à reprendre du service. Nos deux retraités vont découvrir que leur maison a été le théâtre de magouilles politiques et un nid d'espions.

Déjà, le roman date un peu (1973) ; les héros ne sont plus très jeunes et passent beaucoup de temps à discuter autour d'un thé en compagnie de gens tout aussi âgés ; les évènements auxquels ils font référence se sont passés il y a plus de 50 ans. Tout cela donne une histoire désuète qui sent la naphtaline. Je reconnais que j'ai lu ce livre un peu en diagonale, mais avec tous ces personnages qui ne parlent que de secrets d'état et un dénouement complétement tiré par les cheveux, j'ai l'impression de ne rien avoir compris à l'histoire.
J'accorde quand même un 5/20, uniquement pour la prestation d'Hannibal le chien. Ses réflexions et son excellent jugement m'ont amusée...

Pour profiter de leur retraite, les Beresford achète une ancienne maison à la campagne. En pleine période d'installation et de travaux, Tuppence découvre de vieux livres d'enfants dont l'un deux renferme un message surprenant qui pique sa curiosité. Avec Tommy, elle va se lancer dans une enquête sur des évènements passés depuis des dizaines d'années. Mais fouiller dans le passé n'est jamais exempt de dangers !

J'aime les jeux de pistes par livres interposés et les romans d'Agatha Christie, donc ce livre avait tout pour me plaire ! Mais malheureusement cela s'arrête là . L'intrigue est assez plate et un peu longuette, les évènements s'enchainent de manière assez capillotractée et finalement on est un peu déçu à la fin : "tout ça pour ça"!
Néanmoins cela fait toujours plaisir de revoir les Beresford encore une fois entrainés dans une aventure et de retrouver l'ambiance des romans de la reine du crime : une ambiance très british, pleine d'humour et légèrement surannée !

En bref, on passe quand même un moment agréable et c'est intéressant de lire le tout dernier roman écrit par Agatha Christie. Mais c'est loin d'être une merveille de la littérature policière !

Bien décidés à prendre une retraite bien méritée, Tommy et Tupperence Berresford font l'acquisition d'une petite maison au fin fond de la campagne anglaise. Mais en triant les livres de la maison, Tupperence tombe sur un mystérieux message. Et voilà le couple embarqué dans une sombre histoire d'espionnage et de meurtres. A eux de démêler cette histoire.

Aie aie aie, sans doute un des plus mauvais Agatha Christie que j'aie jamais lu. L'histoire est totalement improbable et sans queue ni tête. La palme revient sans doute au chien qui parle. On se demande où l'auteure est allée chercher une histoire pareille. Une grosse déception pour moi.

C'était un plaisir de retrouver Tommy et Tuppence Beresford dans ce roman que je n'avais jamais lu. On est accroché à l'histoire dès les premières pages… Malheureusement, j'ai vite décroché…

Ce livre a beaucoup de pages pour un Agatha Christie et toutes ne sont pas utiles. Cela empêche une lecture fluide. J'ai eu un élément d'explication dans la postface : il s'agit du dernier livre écrit par l'autrice. Et vu toute son oeuvre et l'âge qu'elle avait au moment de l'écriture, on ne peut être qu'indulgent.
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Je sais que je l'avais déjà lu mais je n'en avais aucun souvenir. Et hélas, maintenant je vois bien pourquoi il ne m'avait pas marqué.

Qu'il est difficile de voir ses héros prendre un coup de vieux !
Il est loin le temps des jeunes aventuriers qui damnaient le pion au diabolique Mr Brown et à toute une cohorte d'espions. Tommy et Tuppence ont désormais les cheveux grisonnants, des trous de mémoire et des rhumatismes. Mais ils n'ont pas perdu leur humour et leur impeccable flegme devant leurs ennemis.

Même si je les ai retrouvés avec une certaine tendresse, je ne peux pas dire que j'ai beaucoup aimé ce roman. Il y a beaucoup de bavardages, et l'intrigue m'a laissé une impression de confusion.

A lire pour dire un au revoir sympathique aux deux héros, mais vous vous régalerez sûrement plus avec leurs autres aventures.

Les Beresford ont déménagés. Les cartons de leurs livres en plus de ceux de l'ancien propriétaire envahissent la maison. En les rangeant, Tuppence tombe sur une énigme qu'elle s'empresse de vouloir résoudre.
Je ne m'attendais pas à ce que ce soit aussi ennuyeux. J'ai lu quelques « Hercule Poirot » et comme j'avais vu les films qui mettaient en scène « les Beresford » que j'avais bien apprécié, je m'attendais à un peu plus d'action. Hors, l'histoire se traîne en longueur, on va de répétitions en répétitions, des traits qui se veulent humoristiques ne m'ont pas fait rire, ni même sourire. Grosse déception pour moi.