Le problème à trois corps

Une lecture assez déroutante qui se déroule lors de la révolution culturelle, c'est vraiment la partie du livre qui a de l'intérêt.
Pour le reste... de la hard SF passablement ennuyante à mainte reprises.
Successions de passages très lent suivi d'un peu d'action...trop peu.
La psychologie des personnages est inexistantes, même ma table basse me semble plus intéressante !!!
Et puis, surtout, cette indigestion de mots techniques et scientifiques qui s'empilent. J'ai rarement eu aussi mal à la tête avec un livre.
Je m'arrête avec ce premier tome.

430 pages à attendre qu'il se passe, enfin, quelque chose, 430 pages de hard SF obscure sans aucun intérêt, 430 pages à espérer que Wang Miao ne soit pas juste le témoin passif des évènements, les passages dans le jeu virtuel étant d'un ennui mortel.

430 pages d'un ennui profond. J'espérais beaucoup de ce roman, je suis bien content d'en avoir enfin vu le bout.

Lirai-je la suite, je ne sais vraiment pas.

J'ai lu le problème à trois corps (le premier tome de la saga, pas toute la saga du même nom) et… pffff c'est vraiment pas pour moi, j'ai trouvé ça très médiocre. La purge pour le finir !

La première partie, avec la révolution culturelle et surtout avec le jeu du problème à trois corps m'a intriguée, sans vraiment me passionner (pour que ça soit intéressant, faudrait que le style suive – là je sais pas si c'est la traduction ou le style de base mais c'est pas bon – et surtout faudrait qu'il y ait des personnages un tant soit peu crédibles – surtout pour la révolution culturelle : un bouleversement pareil, ça mérite d'en faire quelque chose d'autre que ces pauvres pages soporifiques sans un seul personnage avec des réactions non robotiques !). Bon mais bref, première partie, on n'avait pas les tenants et aboutissants et je me demandais quand même ce que le bouquin essayait de me raconter…

Puis arriva la seconde partie : et là vraiment c'est juste débile en fait. Pas un seul personnages n'a une réaction cohérente (déjà qu'ils sont plats et sans intérêt, en plus ils s'avèrent être neuneus…), y a des intrigues totalement capillotractées pour rien : un nombre conséquent de plans pourraient se résoudre en deux pages maximum et non on te fait un plan teubé sous couvert de « science » parce que « oooh regardez comme je fais bien de la hard science je balance des gros mots et des gros concepts »… (big up au « fil à couper le beurre » – indice cryptique, vous pigerez si vous avez lu je pense ^^ – je crois que j'ai rarement lu un truc aussi con !)

Bref, je suis passée complètement à côté.

Ca n'est pas tous les jours que je suis à ce point éloigné de l'opinion consensuelle.Donc, ce roman raconte une histoire assez confuse mettant en scène des scientifiques chinois, un jeu en réalité virtuel, le problème à trois corps qui donne son titre au roman et d'autres éléments.Encore aujourd'hui, je ne comprend pas la mode qui encense ce roman.En effet, je trouve que l'histoire s'y déploie avec une mollesse terrible : après cent premières pages d'exposition d'un personnage de femme scientifique malmenée par la révolution culturelle, on enchaîne avec un physicien qui se retrouve mêlé à une opération confidentielle, pour sauter à de sombres histoires de jeu ouvrant la porte à une société secrète, le tout pour conclure par des extra-terrestres "beaucoup trop forts". Franchement, la plupart des éléments m'ont paru mous.Et ce ne sont pas les personnages en carton pâte qui ont aidé. Je n'ai réussi à m'identifier à aucun d'eux, et la litanie de noms n'a pas aidé. La particularité, c'est que tous ces personnages sont d'un pessimisme incroyable. J'ai même cru qu'il s'agissait d'un roman français tellement ils étaient négatifs.Avant de terminer, je voudrais juste rappeler un point : le coup des extra-terrestres super méchants, c'est un poncif de la SF.Autrement dit, je n'ai pas aimé. du tout.

J'ai arrêté à 80 pages de la fin…j'en pouvais plus tellement il se passe rien. Les personnages sont vides et inintéressants. Les scènes dans le jeu vidéo sont inutiles et tiendraient en un paragraphe…et puis on en a rien à faire. C'est long. C'est ennuyeux. Bref.

En voyant de nouvelles critiques sur ce livre sur la page d'accueil de Babelio ce jour mercredi 17 janvier 2024 j'ai réalisé que je l'avais lu aussi et malheureusement détesté ! Moi qui ai été fan de SF dans ma jeunesse (années 80) j'ai voulu tenter de lire ce titre qui était présenté comme "extraordinaire" "hallucinant" etc...

Catastrophe, le début est affreux, j'ai encore la vision de cette pauvre martyre balancée du haut d'un rempart, ensuite ça patine des pages et des pages avec un scientifique poursuivit par ce qu'il pense être une hallucination dans le ciel avec le décompteur numérique géant qui se rapproche de zéro.

Non vraiment quel dommage cela aurait peu être plus intéressant en plus court et plus psychologique.

Cette trilogie est peut-être culte mais pour moi, le tome 1 est le roman de SF le plus ennuyeux que j'ai lu ! Je n'ai pas fait d'études scientifiques et je n'ai rien compris aux longs passages sur la physique, la topologie… L'auteur veut aborder trop de thèmes (la révolution culturelle chinoise, la noirceur de l'âme humaine…) et il m'a complètement perdu. J'aurais voulu plus de SF et moins de technologie et de philosophie nihiliste…

On m'avait vendu Liu Cixin comme un auteur de hard science qui renouvelait le genre.
Je n'ai pas vu ce qu'il y a de "hard" dans la science qui est développée dans ce livre. Un peu électromagnétisme à la rigueur mais au niveau lycée.
Pour le renouvellement je suis tout aussi déçu. Beaucoup de poncifs du genre et sans divulgâcher le retournement de situation des derniers chapitres est vraiment écrit pour nous faire acheter le deuxième tome. C'est vraiment dommage que le point de vue d'un auteur chinois n'apporte rien de particulier et se contente de copier les recettes des pages turner américain. Ah si! Il apporte un certain nationalisme, voir un nationalisme certain.
J'ai trouvé que ce livre est un produit de divertissement sur le thème de la science fiction et basée en Chine pas une oeuvre de science fiction capable de poser des questions.
Je ne ferais pas la critique du deuxième tome que je ne lirais pas et probablement pas d'autre livre de l'auteur.

Je remercie Babelio et les éditions Audiolib pour cet envoi. C'est en effet dans le cadre de la Masse Critique spéciale « Mauvais genre » que j'ai pu découvrir le Problème à trois corps de Liu Cixin. Malheureusement, il n'a pas été à la hauteur de mes attentes, et j'ai capitulé à la moitié du livre.
Le résumé m'avait pourtant l'air assez attirant. Entre le contexte politique de la Révolution Culturelle propice à une intrigue intense et le genre de la science-fiction dans lequel il s'inscrit, j'étais persuadée que ce roman me plairait. Et même si j'étais un peu sceptique quand j'ai vu que j'avais reçu un livre audio, n'ayant jamais lu sous cette forme, j'avais plutôt hâte de me plonger dans cette aventure. Mais j'ai rencontré beaucoup de difficultés plus ou moins imprévues, et n'ai de ce fait pas su aller jusqu'au bout du Problème à trois corps.
Déjà, comme je le craignais, j'ai eu beaucoup de mal avec la forme du livre audio. J'ai toujours eu du mal à m'impliquer dans un texte que j'entends si je ne l'ai pas aussi sous les yeux. Et cette fois n'a malheureusement pas fait exception. de plus, alors que je m'efforçais quand même de suivre comme je le pouvais, les interludes musicaux entre les chapitres et l'annonce de ces derniers cassaient un peu le rythme de la lecture et m'ont ainsi causé des difficultés supplémentaires.
Ç'aurait pu n'être qu'un moindre mal si l'intrigue elle-même n'avait pas été si compliquée. Alors que le résumé nous promet une histoire au temps de la Révolution Culturelle, le Problème à trois corps nous fait en fait faire de nombreux allers-retours entre deux époques d'une part, et entre la réalité et un jeu vidéo immersif d'autre part. de même, le roman compte beaucoup de personnages, dont certains qui font des passages-éclairs, que j'ai eu tendance à confondre.
De plus, j'ai trouvé que le récit souffrait de beaucoup trop de longueurs. En effet, malgré des premiers chapitres assez entraînants et qui ont su éveiller mon intérêt, ma lecture m'a semblé particulièrement longue. Je m'en étais rendue à peu près à la moitié du livre quand j'ai décidé de l'abandonner, et il ne s'était encore rien passé de véritablement trépidant, ou en tout cas rien qui ne donne irrésistiblement envie de continuer à lire.
Pour finir, il s'est avéré que le Problème à trois corps appartenait plus précisément à la hard science fiction, un sous-genre de la science-fiction. Ce dernier se définit par des intrigues fondées sur des théories scientifiques et des technologies soit déjà existantes, soit faisant l'objet de recherches à un état avancé. Dans son roman, Liu Cixin tend à remettre en question la science. Ainsi, il est amené à développer les théories et technologies sur lesquelles il fonde son intrigue. Mais ce faisant, cette dernière est devenue beaucoup trop technique pour moi et de nombreux passages me sont restés obscurs.
Le Problème à trois corps de Liu Cixin était donc un roman prometteur qui doit certainement convenir aux grands fans du genre. Mais il m'a finalement posé un trop grand nombre de difficultés, si bien que, chose rarissime, je ne suis pas parvenue à aller jusqu'au bout de ma lecture.

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Liu Cixin propose un livre à mi chemin entre la vulgarisation de concepts d'astrophysique et de la hard sf aux personnages fade et à la narration chaotique. Une vraie purge à lire qui n'a d'intérêt que pour son aspect historique qui met en lumière la révolution culturelle (et encore la narration n'aidant pas...). Loin d'être à la hauteur des grandes sagas de SF de K Dick, Asimov ou Herbert et pas aussi concis et précis qu'un bon ouvrage d'astrophysique, je ne comprend pas du tout l'engouement autour de ce livre et de cet auteur qui me semble beaucoup trop compliqué et prise de tête pour au final, ne pas raconter grand chose.