AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,07

sur 2699 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Ce n'est pas forcément ma littérature favorite mais ça fait un moment que je vois passer des critiques sur ce titre, donc je tente (d'autant plus que je l'ai trouvé en audio). J'étais d'ailleurs persuadée que l'auteur était une femme…

Je ne savais pas trop à quoi m'attendre avec ce roman. le moins que l'on puisse dire est que c'est étrange et complexe. Je comprends mieux l'étiquette de hard science, le récit est atypique et pas du tout ce que j'écoute d'habitude. Pourtant, l'histoire a su m'intriguer même si j'étais perdue par les noms chinois et certains détails de physique. L'histoire commence pendant la révolution culturelle en Chine où on suit une jeune femme à différentes périodes de sa vie avant de basculer sur une autre personne, physicien comme elle. Ça nous permet ainsi de voir l'évolution de la Chine à travers ses différents personnages aussi bien niveau culturel, politique ou scientifique. À cause d'un problème de perte de l'audio, quand j'ai pu, j'ai eu du mal à m'y remettre car ayant changé de narrateur, je lui trouvais moins d'attrait qu'à la jeune femme. Par ailleurs, l'histoire bascule complètement en hard science avec très peu d'informations sur la Chine de Mao, la seule chose qui m'intéressait finalement. À partir du moment où on en vient au compte-à-rebours et aux histoires de photographie, mon cerveau a complètement décroché. Même si quelques éléments m'intriguaient, l'histoire devenait beaucoup trop ardue pour moi et se perdait dans des détails pour nous amener aux confins de la science et de l'univers. On passe de la physique à la photographie puis aux jeux vidéo sans pour autant que j'en comprenne la logique. C'est dommage pour moi, j'ai essayé de m'accrocher mais l'auteur a réussi à me perdre dans les méandres de la physique et de son cerveau.

Comme vous l'aurez compris, malgré un début intrigant et intéressant dans la Chine de Mao, j'ai fini par être submergée par un trop plein de détails de physique et j'ai abandonné la lutte au bout de 3h30 d'écoute. Je reconnais que l'auteur a dû mener de sacrées recherches pour aborder de tels sujets mais il a oublié de peaufiner son style et ses personnages. Si vous êtes physiciens confirmés ou amateurs de physique, je vous conseille de découvre cet opus (1er tome d'une trilogie) et son auteur chinois car même s'il se passe quelques évènements, c'est malheureusement noyé au milieu de la physique et de détails en tous genres…

Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
Commenter  J’apprécie          292
Ce billet est celui d'une non lectrice de science-fiction, d'une passionnée de sciences humaines sans aucun attrait particulier pour l'astrophysique ou la physique nucléaire. Vous aurez donc l'amabilité de pondérer mon propos de ces précautions.
Bien. Ceci posé, le Problème à trois corps m'a déçue. Pourtant, les personnages et le cadre historique m'ont tout de suite plu. La révolution culturelle chinoise, ses purges et ses abus, la manière dont le fanatisme politique et la terreur ont pu anéantir tant de vies et nier les principes élémentaires de la rationalité scientifique, tout cela m'a fort convaincue. Et puis la grandeur des paysages décimés par l'industrieuse humanité, les recherches top secrètes autour de technologies innovantes, tout ce mystère, ces péripéties possibles… C'est d'ailleurs ce qui m'a permis de franchir, laborieusement, les 200 premières pages. Prise par l'intrigue, je me suis même fait l'effet de ces randonneurs qui viennent de gravir une pente conséquente et qui minimisent l'effort fourni au motif qu'il est passé et que le paysage qui s'offre désormais à eux oblitère tous les souffrances passées. Mais cet état de grâce n'a pas duré. Surtout, il n'est pas revenu et j'ai terminé ma lecture sans aucun plaisir, en mode poussif.
Pour en comprendre les raisons, je me suis remémoré les quelques livres de SF que j'avais appréciés : le meilleur des mondes, la Ferme des animaux (ça compte en SF ?), mais surtout La servante écarlate et 1Q84. A chaque fois, ce qui m'aimante, ce n'est pas tant l'ingéniosité du dispositif fictif que les potentialités que recèle ce dernier en termes d'explorations psychologiques ou sociétales. Margaret Atwood explique bien, dans je ne sais plus laquelle de ses préfaces, qu'elle n'a utilisé, pour élaborer son monde de SF, aucun élément qui ne se soit déjà produit dans L Histoire. En somme, pour moi, un bon bouquin est celui qui construit un micro univers servant de bac à sable pour observer et provoquer des comportements éclairant la nature humaine. Je ne suis pas très regardante sur la vraisemblance de ses fondations fictives et j'accepte volontiers de suspendre mon incrédulité pour rentrer dans l'économie de ce microcosme. A condition que, à l'intérieur de cette bulle, ce dernier soit cohérent. A condition qu'il explore des enjeux qui me toucheront.
Toute la fascination que l'on peut éprouver pour le Problème à trois corps, repose, je crois, sur le caractère brillant de ses démonstrations et la vraisemblance apparente avec laquelle le livre nous fait rentrer dans un univers absolument éloigné de nos certitudes actuelles. Pour ce faire, je dirais que plus de la moitié du roman est consacrée à des explications scientifiques, des descriptions de grandes machines et de leurs réalisations. Or, pour ce qui me concerne, si vous avez besoin, par exemple, d'aliens dans votre histoire, vous n'aurez pas à me convaincre très longtemps, en deux phrases, je vous suis. Et si, pour les besoins de votre démonstration, ces aliens transforment les pingouins en choucroute, inutile de me bassiner avec le processus par lequel ils y parviennent, j'ai suspendu mon incrédulité et j'adhère. Dites-moi juste quelles sont les passionnantes conséquences de tout cela sur la société, les individus qui la composent et tout ira bien entre nous.
Sans doute aussi que les lecteurs plus versés que moi dans les questions de physique, d'astrophysique et de composition de la matière emportent avec eux une culture scientifique qui contient également une part de mystique, de fascination presque métaphysique pour les enjeux sidérants que contiennent la découverte de la fission de l'atome, la physique quantique ou que sais-je encore. Il y aurait un plaisir glaçant à mettre en scène l'énormité des enjeux de certaines théories contemporaines. Evidemment, pour qui y est totalement hermétique, ça tombe à plat. Complètement.
Pour trouver un peu d'oxygène dans ma lecture, j'ai donc reporté mon attention sur ce qui m'importe vraiment : le devenir des personnages, la vraisemblance de leur évolution. Et là, boum badaboum ! Notre ami Wang Mioa, qui nous sert de guide dans cette traversée des enfers, et qui m'est plutôt sympathique commence dans l'histoire avec une femme et un enfant. Mais, à mesure que nous sommes entrainés dans une structure narrative en mille feuilles jouant des temporalités et des espaces, toute référence à cette charmante dame et au bambin disparait complètement ! le seul élément de vraisemblance qui rattache encore Wang Mioa à la réalité tangible d'une existence quotidienne est la manière chronique avec laquelle il s'alcoolise. Un signal d'allégeance au principe de réalité trop faible pour moi. Les autres personnages suivent une trajectoire similaire : plus ou moins bien campés dans leur caractère, leur trajectoire et leurs sentiments au début de l'histoire, ils se dépouillent peu à peu de tous ces ressorts pour ne rester que des forces actantielles au service du dispositif scientifique inventé. Bah non là, on m'a bernée, moi je ne lis que pour les personnages et l'intrigue romanesque, y a tromperie !

C'est la critique enthousiaste d'ileauxtresors qui m'a conduite à cette lecture. Qu'elle en soit remerciée tout de même, je ne suis pas au point de la regretter car elle m'aura, malgré tout, bien fait cogiter 😊.
Commenter  J’apprécie          2623
Cette lecture à été laborieuse, très laborieuse même. 
Je ne pense pas qu'elle soit dénuée d'intérêt  car on perçoit bien dans ce récit la capacité de l'être humain à se projeter sur des actes insensés par désespoir profond.

Cependant,  n'étant ni physicienne, ni astro-physicienne, j'ai buté sur un nombre important de termes et processus,  m'empêchant de me projeter totalement dans cette histoire, blocages exacerbés au demeurant par trop de lenteurs  dans la mise en place des personnages et de leur environnement historique et culturel. 

Je pense que l'auteur à fourni un  travail important de recherches afin de crédibiliser son  histoire, mais malheureusement,  je ne disposais pas de la clé de décodage  pour accéder à ces trop complexes descriptions.
Commenter  J’apprécie          160
Voilà un roman qui prend la poussière dans ma pile à lire depuis des années. Je ne suis pas spécialement amatrice de littérature asiatique, et encore moins de hard science-fiction. Autant dire que le mélange des deux me faisait craindre une lecture pour le moins laborieuse. C'est l'adaptation en série Netflix du Problème à trois corps qui m'a décidée à me lancer, et j'ai eu bien assez de temps pour le regretter. Car oui, autant annoncer la couleur tout de suite, je suis complètement passée à côté.

J'y vois plusieurs raisons et la première, c'est la complexité de l'intrigue. Si le quatrième de couverture m'avait intriguée, l'auteur met un temps infini à poser son décor, celui d'une Chine en pleine révolution culturelle. J'avais beau essayer de me dire que c'était quand même intéressant, ne serait-ce que pour ma culture personnelle, je n'ai pas réussi à m'immerger. Pas une seconde… Ensuite, il y a tous ces détails scientifiques liés à l'astrophysique ou à l'étude de la matière qui m'ont paru très hermétiques. C'est une lecture ardue, au cours de laquelle je me suis souvent surprise à devoir relire plusieurs fois un certain nombre de phrases pour les comprendre. Non seulement cela n'a rien de très agréable, mais surtout je ne me suis pas sentie concernée par les enjeux.

La seconde raison tient aux personnages. Quand je disais que je n'étais pas très amatrice de littérature asiatique, c'est parce que souvent, je trouve les personnages très froids, ils ne déclenchent absolument aucune empathie chez moi. Ye Wenjie et Wang Miao n'ont pas dérogé à la règle. Ils sont du genre passif, à subir les événements sans broncher. Alors c'est peut-être culturel, je ne saurais le dire, mais leur sort m'indifférait, en réalité. Sans parler du marasme ambiant dans lequel l'auteur semble se complaire et qui veut que l'Humanité est une espèce irrécupérable qu'il faut exterminer. Bonjour l'ambiance !

En général, je ne suis pas très à cheval sur la vraisemblance, j'accepte facilement de suspendre mon incrédulité pour peu que les évènements me touchent et m'emportent. Malheureusement ici, l'auteur a essayé de me faire intégrer par la force des choses dont je me fichais bien, au détriment de l'émotion qu'auraient pu, qu'auraient dû, déclencher ses personnages. Résultat des courses : je me suis ennuyée ferme sur plus de 80% du roman, je dirais. Je n'avais qu'une hâte, en finir, et s'il n'y avait pas eu la série, j'aurais probablement abandonné. J'en suis même à me demander si je vais la regarder tout compte fait, parce que très franchement, les Trisolariens, j'en ai soupé !

Comme je le disais en introduction, je suis donc complètement passée à côté. C'est un avis qui n'engage en rien la qualité de cet ouvrage, c'est juste que ce n'était tout simplement pas une lecture pour moi. Je vais donc me hâter de l'oublier et passer allègrement à autre chose. Ouf !
Lien : https://etemporel.blogspot.c..
Commenter  J’apprécie          132
Je ne doute pas un seul instant que ce roman soit remarquable, et également parfaitement documenté sur l'astrophysique et autres sciences. Ceci étant, je pense qu'il s'agit ici d'émettre un avis personnel et vraiment, ce livre a été particulièrement éprouvant pour moi. Pas de sympathie pour les personnages, de longues, très longues pages sur des théories scientifiques censées je suppose accréditer la possibilité de l'histoire relatée... Je me suis forcée à lire jusqu'à la fin mais je le regrette. Ma PAL est si haute, et, quand je lis un livre qui me plait, ma joie de vivre et mon moral sont incomparables à ces périodes sombres où je traîne des pieds car j'imagine devoir finir un livre ...;-) Pourtant le sujet m'avait émoustillée...
Commenter  J’apprécie          130
Un mot pour résumé cette lecture ? Ardue. Oui ardue comme peut l'être un problème de mathématique lorsque vos connaissances s'arrêtent à comment écrire boobs avec la calculette casino de votre grand frère.

Pourtant je le présageais plus ou moins que cette lecture allait être exigeante. L'auteur, Liu Cixin, est réputé pour écrire des récits de hard science pointue mais l'engouement des réseaux sociaux et de l'annonce de la future adaptation en série par les showrunners de Game of throne m'avait fait grésiller les circuits.

On va tout de suite évacuer le problème de la quatrième de couverture, le fameux résumé de l'éditeur, car à la place d'un résumé succinct qui attise la curiosité du lecteur on a droit à un récapitulatif quasi complet de l'intrigue. Plus de la moitié de l'intrigue de ce premier volet est révélée en une quinzaine de lignes. Au-delà de l'aspect spoilant d'un tel résumé il induit le lecteur en erreur. En lisant ces quelques lignes on s'attend à passer les 400 pages du roman avec l'héroïne, Ye Wenjie, un certain horizon de lecture se détache clairement.

Croyez le ou non mais cette brave Ye Wenjie est presque un personnage secondaire dans ce premier tome de la trilogie. En vérité on va surtout suivre un chercheur nommé Wang Miao et très vite le problème du résumé dilvugacheur va se poser. En effet ce brave scientifique va passer les deux tiers du livre à se demander dans quel pétrin il s'est fourré mais le lecteur le sait déjà grâce à la délicatesse de l'éditeur qui a pris soin de lui révéler les tenants et les aboutissants de l'intrigue. Tous les passages où Wang Miao doit remettre en cause ses convictions scientifiques et se confronte à des questions sans réponses tombent donc à l'eau et gâche le plaisir de lecture lié à la découverte progressive de l'intrigue.

Au-delà de ce détail qui compte beaucoup pour moi je dois avouer que le style aride de l'auteur n'a pas trouvé d'échos en moi. Ye Wenjie possède une psychologie complexe mais le personnage reste cependant assez froid. Wang Miao, quant à lui, reste assez plat en matière de développement, il est surtout là pour servir de miroir au lecteur dans sa découverte des ramifications de cet univers complexe.

Car complexe la lecture l'est sans aucun doute possible. Notamment lors du dernier tiers qui exige de mobiliser tout son attention pour comprendre les enjeux terribles qui se mettent en place. Mais ce sous-genre de la science-fiction a besoin que ces éléments purement scientifiques soient emmenés par des personnages attachants, ce qui n'est malheureusement pas le cas ici.

Voilà donc une lecture à côté de laquelle je suis passé. Nul doute qu'une meilleure gestion de la quatrième de couverture m'aurait permis de m'immerger différemment et de passer outre l'exigence scientifique.

Résumé: plutôt que de vous faire l'affront de reproduire ici le résumé éditeur je vais vous écrire mon propre résumé, ce qui vous évitera peut-être la déconvenue que j'ai vécu.

En pleine révolution culturelle, la jeune scientifique Ye Wenjie se retrouve mis au ban de la société, catalogué comme dissidente elle se retrouve affectée à un base militaire secrète dont le véritable objectif lui restera dissimulé pendant des années.

38 ans plus tard le scientifique Wang Miao, spécialiste en nanomatériaux, est approché par les services de renseignements chinois pour enquêter sur une vague de suicide qui touche la communauté scientifique. Tous avaient été approchés par une association scientifique qui sélectionne ses membres sur des critères strictes. Très vite Wang Miao voit sa propre vie menacée et va devoir remettre en cause toutes ses convictions scientifiques pour espérer s'en sortir vivant.
Lien : https://culturevsnews.com/
Commenter  J’apprécie          72
Mon billet va proposer une note dissonante dans ce concert d'éloges.
En un mot comme en cent : j'ai trouvé ce roman horriblement ennuyeux. Je me suis pourtant accroché jusqu'à la page 400, espérant un sursaut, un éveil, une humanité qui n'est jamais venue. Je me disais qu'il avait enthousiasmé tant de lecteurs qu'il ne pouvait que se révéler au moment le plus inattendu. En vain.

"Le problème à trois corps", pour moi c'est juste un roman froid, technique, opaque et plombant.
Les personnages sont désincarnés, l'intrigue alambiquée au possible; à se demander si l'auteur a conscience des leçons élémentaires de l'art du récit. Je me suis surpris à me demander s'il ne faisait pas exprès de vouloir à tous prix me perdre en route, avec ses tartines d'explications qui ne mènent à rien d'excitant. Où est la littérature là-dedans ? Où est l'émotion ? Où est la vibration ? Je n'en ai vu trace ici.

Le succès phénoménal de ce livre restera donc à mes yeux aussi impénétrable que son récit.
Commenter  J’apprécie          60
A t-on le droit de ne pas avoir accroché à ce "classique" de la SF ? J'ai pourtant essayé, et par deux tentatives. Mais non, rien n'y fait, les passages dans le jeu de réalité virtuelle "des trois corps" m'ennuient profondément. J'ai, encore une fois, abandonné la lecture après 200 pages.
Commenter  J’apprécie          62
Au premier abord, j'ai adoré le concept qui me semblait très énigmatique. Toutefois, le rythme de ce roman est tellement lent qu'il est franchement difficile de rentrer dans les détails scientifiques (et pourtant si riches!) que nous offre l'auteur.
Le traitement des personnages est aussi à déplorer, ce qui est dommage lorsqu'on se lance dans une lecture plutôt longue.
Au final, ce livre de ''science'' plus que de ''fiction'' m'a perdu. Je ne lirai pas la suite de la trilogie.
Commenter  J’apprécie          61
J'étais au départ emballée par ce livre. Sinisante et habituée de la littérature chinoise, je n'avais lu jusqu'ici que des récits relatant la vie quotidienne de personnes, souvent au temps de la révolution culturelle, ou bien en tout les cas, des ouvrages n'ayant rien de surnaturel (quoique Yu Hua et le septième jour le soit un peu).
J'étais donc excitée de lire de la science fiction chinoise. J'ai bien aimé les 100 premières pages car c'était nouveau. J'avais l'attrait pour la culture et la langue comme d'habitude mais dans un cadre que j'aime qu'est la science fiction. Pour autant, on se perd un peu dans les personnage au départ, même quand on parle chinois et qu'on est habitué à ces sonorités.
Mais alors à partir du moment où le narrateur découvre le jeu de réalité virtuelle... j'ai trouvé cette bulle de VR totalement inintéressante et loufoque, et surtout on ne comprend pas où ça mène... mais même chose pour l'intrigue principal. Ça tire en longueur, j'ai fini par lire en diagonale parce que quand même j'avais bien aimé au départ, mais non. Au bout de 270pages je me suis résolue à abandonner, lassée d'attendre d'en savoir plus.
Pourtant avec les anomalies remarquées par l'auteur on est un peu tenu en haleine, mais ce n'est pas suffisamment fréquent pour maintenir la flamme, alors pour ma part j'ai abandonné.
Commenter  J’apprécie          51




Lecteurs (6557) Voir plus



Quiz Voir plus

Les plus grands classiques de la science-fiction

Qui a écrit 1984

George Orwell
Aldous Huxley
H.G. Wells
Pierre Boulle

10 questions
4878 lecteurs ont répondu
Thèmes : science-fictionCréer un quiz sur ce livre

{* *}