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3,66

sur 178 notes
James Patterson m'a souvent accompagné lors de mes déplacements en train ou en avion. Je trouve ses romans très efficaces avec des rebondissements constants et inattendus. de plus lorsque je suis en voyage, plus ou moins distraite par mon entourage, j'apprécie les chapitres très courts qui me permettent sans difficulté de renouer avec le fil de l'histoire si mon attention s'est quelque peu relâchée.
En découvrant que son dernier opus était coécrit par l'ancien président des Etats-Unis Bill Clinton j'étais très intriguée.

« le président a disparu » a été un très bon moment de lecture. Même si j'ai craint pendant quelques dizaines de pages de me perdre dans les arcanes de la politique américaine, l'histoire se met en place peu à peu pour devenir rapidement totalement addictive.
Bien sûr, j'ai cherché les similitudes entre ce président de roman et Bill Clinton, mais y en-a-t-il ? Pas si évident de répondre.
Certes, le président Duncan doit témoigner devant le Congrès dans le cadre d'une procédure de destitution, comme Bill Clinton y fut contraint suite à un scandale érotico-politique avec sa jolie secrétaire.
Je n'ai pas trouvé d'autre ressemblance.

Ici, nous avons affaire à une menace de cyber terrorisme. D'ici trois jours, un virus attaquera tous les serveurs informatiques névralgiques et mènera le pays au chaos. Entouré d'une équipe de proches collaborateurs et de spécialistes en informatique, le président doit trouver une solution, sinon c'est l'équilibre du monde qui est menacé.

Comme dans tout bon thriller, le suspense est distillé au compte-gouttes, il n'y a pas de temps morts, les pages se tournent rapidement et on arrive à la fin du roman avec la satisfaction d'avoir lu un excellent roman de détente.
Le président Clinton a probablement voulu mettre entre parenthèses une vie politique bien remplie pour rentrer dans la tête d'un président de fiction.
Le résultat est tout à fait convaincant, même si je reste persuadée que James Patterson aurait fait aussi bien sans son célébrissime co-auteur.

Je remercie NetGalley et les Editions JC Lattés pour cette découverte.
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Le président Duncan doit affronter une commission d'enquête qui veut le destituer, on l'accuse non pas d'une histoire de fesses, mais d'avoir trahi le pays en empêchant l'assassinat d'un terroriste turc. Il est contacté par des transfuges du groupe djihadiste qui lui révèlent l'imminence d'une cyberattaque contre les Etats Unis. le voici avec un terroriste repenti attaqué par des mercenaires. Il se réfugie sur une base secrète avec une escorte restreinte et des as de l'informatique. Un virus capable d'effacer tous les fichiers des ordinateurs américains est sur le point de se répandre. le Président invite ses alliés allemands et israéliens à le rejoindre dans son PC de crise, les Russes sont aussi conviés, mais plutôt pour les espionner car Duncan les soupçonne d'être derrière le complot qui vise à mettre les USA à genoux. Est-on à l'aube de la troisième guerre mondiale ? Les rebondissements se succèdent à la vitesse de l'éclair, le Président a enfilé son costume de superhéros, il doit aussi démasquer le traître qui fait partie de son cercle rapproché. Comme dans la série 24 heures chrono, il trouvera la solution à la dernière minute et évitera l'apocalypse pour l'Amérique.

On reconnaît bien la patte de Patterson, des chapitre courts, de l'action non stop, des rebondissements, un méchant qui se révèle tout à la fin. J'aime beaucoup cet auteur, ce n'est pas de la grande littérature, mais des thrillers efficaces et très distrayants, avec des contextes très divers selon la série. Ici Bill Clinton a donné de l'épaisseur et de la vraisemblance au président Duncan. le côté très américain est un peu agaçant, mais ce sont les destinataires premiers de ce roman et ils aiment voir leur nation flattée, ils pensent être le nombril du monde. le discours final de Duncan, plein de bons sentiments, est une pique claire contre Trump, champion des divisions, ici incarné par le méchant président de la chambre prêt à tout.

En dehors de son côté très agréable, ce thriller soulève un vrai problème, celui de notre dépendance totale à l'informatique et aux réseaux électriques que rien ne peut remplacer. Si une cyberattaque majeure survenait, un pays, voire tout le monde occidental serait mis à genoux pour longtemps, tous les systèmes s'effondreraient et nous ne sommes pas préparés à une telle catastrophe, ça donne un côté très flippant à ce roman, bien plus que les horreurs inventées par Stephen King.

Une excellente lecture, je ne manquerai pas de lire la suite, parue cette année
Lien : https://patpolar48361071.wor..
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J'ai beaucoup entendu parler de ce livre à sa sortie et je n'avais jamais lu de roman de James Patterson. Deux bonnes raisons pour me lancer dans cette lecture.
Au final, rien de réellement transcendant, mais un excellent divertissement, 600 pages qu'on ne voit pas passer. J'ai plongé dans l'intrigue sans réfléchir et j'ai laissé défiler les chapitres jusqu'à la fin.
Je dis rien de transcendant, car en dehors du co-auteur ex-POTUS, je n'y ai pas vu une grande originalité dans l'histoire. Une attaque terroriste qui veut s'en prendre à internet, c'est du déjà vu. Mais c'est bien mené. Et ça a le mérite de faire réfléchir ou tout du moins nous faire flipper, sur notre dépendance à internet dans notre vie au quotidien. Pour le côté détails réalistes par rapport à la fonction de président, je n'ai pas vraiment les capacités de faire la différence entre ce qui peut être réaliste et ce qui relève totalement de la fiction. Mais il n'y a pas besoin d'avoir beaucoup de connaissances pour se rendre compte que n'importe quel dirigeant a une famille et une santé potentiellement défaillante, qu'il doit allier avec le paraître qui colle à sa charge.
C'est donc une bonne lecture, le genre à se lire d'une traite, une lecture détente et je pense que je lirai également l'autre livre de ce duo d'auteurs.
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Un ancien président des USA et le romancier le plus vendu aux States associés pour un thriller mêlant espionnage, informatique et trahison : quelle affiche.
Pourtant, inutile de lire l'intégralité du livre pour comprendre que la trame, le montage, l'art du suspense et des fins de chapitre qui incitent à poursuivre la lecture, sont l'oeuvre du romancier professionnel. L'apport du président se retrouve, lui, dans quelques réflexions sur des sujets de société et de la vie politique américaine. Pas vraiment de scoops sur d'éventuels secrets cachés de la Maison Blanche, ou sur le fonctionnement du Secret Service. Ce qu'il y a d'écrit ici, figure déjà dans d'autres livres ou films.

L'intrigue tourne autour d'un mystérieux virus informatique surpuissant qui pourrait ramener les États-Unis au Moyen-âge. Quand on y réfléchit, notre monde au vingt et unième siècle repose totalement sur internet et l'informatique. Nos comptes bancaires et nos placements financiers ne sont que des écritures informatiques. La moindre fiche de paye est liée à des codes de Sécurité sociale et génère des paiements en cascade. Les requêtes internet passent de serveur en serveur et peuvent parfois faire le tour de la terre en quelques micro-secondes, à peine le temps de placer cette critique en ligne. Quant à nos centrales électriques, usines de traitement de l'eau et autres équipement publics indispensables, ils interagissent avec notre vie quotidienne par le biais d'internet. Les virus informatiques s'attaquent au tendon d'Achille de nos sociétés.

Le livre est plutôt réussi par sa tension constante et la façon de distiller les pans de l'intrigue. Pas novateur pour autant, mais bien maîtrisé. A plusieurs moments, je me suis mis à penser à Tom Clancy, qui avait fait évoluer au fil de ses thrillers son héros fétiche d'agent secret à président des États-Unis. Ici, à l'inverse, le président tient les affaires du monde comme l'ancien ranger qu'il est sensé être. le récit est narré à la première personne du singulier, le lecteur est donc dans la tête du président durant toute cette aventure. Heureusement d'ailleurs, car celui-ci se fait expliquer l'informatique de façon simple, ce qui permet aux béotiens de suivre.

Pour l'anecdote, on remarque que pour Clinton les deux meilleurs alliés des États-Unis, ceux vers qui son président de fiction se tourne, sont Israël et l'Allemagne. Exit le Royaume-Uni ou la France.
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Ce thriller d'action est composé de courts chapitres efficaces. le personnage principal n'est autre que POTUS, un président charismatique, ancien de la guerre en Irak, prêt à tout pour sauver son pays menacé par une
cyberattaque qui entrainerait le monde vers un retour aux Dark Ages. Quelques considérations sur le milieu politique américain et international ainsi que sur le rôle ambigu de la Russie sur le plan international agrémentent le récit qui se lit avec plaisir, sans le prendre au sérieux !
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Non, je ne suis pas naïve, associer le maître de la plus grande machinerie livresque commerciale US et un ancien président américain ne peut que créer du buzz.
Je ne nie pas que le bonhomme, James Patterson, a du talent, j'adore ses romans mais je suis consciente que son succès tient aussi à des collaborations avec des auteurs de talent, tel David Ellis, par exemple.
Et non, je ne voue aucune admiration pour Bill Clinton, que ce soit le politicien, et encore moins l'homme.
Alors pourquoi cette lecture?
Par curiosité pour le résultat d'une alliance entre l'expertise d'un ancien président des États-Unis et l'imagination d'un auteur tel que James Patterson.

Alors!?! Deçue!?!
Absolument pas! 
C'est un roman de politique fiction et un techno-thriller de très bonne facture! 

Le bémol principal et que l'on retrouve dans bon nombre de productions US, que ce soit au niveau des romans, des séries TV ou des films, est l'éloge de l'impérialisme américain qui est ici très présent.
Ok, ils sont les plus forts, les plus beaux, les plus intelligents... (sic!) blablabla...
Mais ne jouons pas les vierges effarouchées, cet éloge est très commun et il faut juste être lucide: le patriotisme plaît et faire vendre! Vive l'ego flatté!
Il est donc nécessaire de n'aborder ce roman que pour ce qu'il peut être: un moment de lecture distrayant.
 
Et pour de la distraction, nous sommes servis: un rythme très speed, des rebondissements, de l'action, du suspense, sans oublier au passage quelques discours pour magnifier la grande humanité d'un président (ironie de ma part, je précise!).
Ce roman m'a beaucoup fait penser à la série 24h, pour le style et le rythme. L'intrigue se passe sur 3 jours mais donne l'impression d'en concentrer 6, pas le temps de se poser!
Il me fait aussi énormément penser à une autre série excellente: Designated survivor (mince, que le même acteur joue dans ces deux séries est-il un hasard?) pour les manigances politiciennes de cour, les secrets et les trahisons, la pression qui repose sur un seul homme, ce qui doit être révélé au public ou pas, les risques de destitution d'un chef d'État... et pour les discours angéliques sur le rôle prépondérant des USA dans le monde et la grandeur de la présidence.
Malgré ce côté très pro-américain, le roman remplit son rôle de thriller. Et si je vous semble très ironique par moment, je me suis régalée mais je ne veux pas que vous pensiez que ce n'est qu'un objet de curiosité car le président a disparu traite d'un problème très sérieux que la personnalité des auteurs ne peut en aucun cas influencer: le cyber terrorisme. 
Le monde est ultra connecté, de votre téléphone à l'armement du pays, tout est maintenant contrôlé et dirigé par le net et les ordinateurs.
C'est un immense progrès, garant de rapidité et d'efficacité, mais c'est aussi notre grande faiblesse. Supprimer ce matériel et nous sommes perdus.
Ce roman établit le scénario catastrophe qu'une attaque par le biais d'un virus pourrait marquer l'anéantissement de toute une nation. Et c'est là tout l'intérêt de l'intrigue: éveiller l'angoisse et la peur car dans le monde réel, les hackers ont déjà officié, jamais à cette échelle mais qui vous dit que la fiction ne rejoindra pas incessamment la réalité? 
Voilà, si vous voulez passer un parfait moment flippant avec du cyber terrorisme, lisez le président a disparu.
Si vous ne pouvez passer outre un peu d'angélisme pro-américain, allemand et israélien, laissez-le chez votre libraire!
Lien : http://livrenvieblackkatsblo..
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Un roman plutôt sympathique : une cyberattaque menace les Etats-Unis et le président, Jonathan Lincoln Duncan, doit la contrecarrer.
Le virus et ses conséquences (la destruction totale du réseau internet) est plutôt assez intéressant (et effrayant : nous sommes en effet totalement dépendants de cette technologie!) mais j'ai beaucoup moins aimé le personne du président : à la fois héro courageux, vétéran de la guerre en Irak, prêt à utiliser son arme et à effectuer maintes cascades, mais aussi orateur démocrate au grand coeur dont le discours final est sirupeux et dégouline de bonnes intentions, dont les réflexions sur l'état des Etats Unis tout au long du roman m'ont un peu énervées ...
J'imagine que je n'aurais pas eu cette réaction face à un écrivain lambda mais en sachant que Bill Clinton avait collaboré à l'écriture ...
Bref, un peu trop d'incohérences mais il y a tout de même plein de rebondissements et de suspense. Divertissant.
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En plein le roman pour supporter le confinement obligatoire. 128 chapitres très court nous permettant de compléter chaque élément en moins de 5 pages. Oui, ce roman va vous tenir en haleine du début à la fin au point de vous obliger à veiller plu tard.

Je n'ai pas pu m'empêcher de replacer cette histoire dans le contexte actuelle de la crise du Covid 19.

La fracture du peuple américain dans ce roman, ressemble étrangement à celle que nous voyons aujourd'hui. À cette différence près que le président de ce roman est totalement à l'opposé de Trump.

En qui concerne la menace présentée dans cette histoire est plus que crédible. La guerre cybernétique est une réalité de plus en plus présente. Par nos propres choix nous contribuons à l'affaiblissement de nos structures collectives, ouvrant la porte à ce genre d'attaque. Je ne donnerai que deux exemples : la mode de mettre tous nos fichiers dans le "nuage" et cette deuxième mode d'avoir un serveur nous permettant à la fois de contrôler tous les appareils tout en pouvant demander n'importe quelle information à ce serveur.
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Alors qu'une menace d'impeachment (destitution) pèse sur le Président américain, Jonathan Duncan, ce dernier doit faire face à une attaque de cyberterrorisme de grande ampleur. S'il ne contre pas ce virus, la puissance des Etats-Unis ne sera plus qu'une légende.


Lorsque le maître du thriller, James Patterson, et un ancien Président américain, Bill Clinton, s'unissent, cela donne un suspense qui fait froid dans le dos. Les chapitres courts, le rythme effréné d'une course contre la montre, la description de conséquences effroyables si les services secrets ne déjouent pas cette cyberattaque, ont fait que j'ai dévoré ce livre, tout en pensant que ces événements pourraient être possibles.


Le fait que Bill Clinton soit co-auteur de le Président a disparu permet de penser que ce qui est décrit au sujet des institutions est réaliste. Bien que ce soit aussi l'occasion pour lui de régler certains comptes, j'ai eu l'impression de découvrir certains aspects de la Maison-Blanche, sans que des secrets d'État soient révélés. J'ai aimé ce côté réaliste de l'histoire. Cependant, c'est glaçant, car ce thriller démontre de quelle manière, des terroristes peuvent arrêter un pays entier, dans notre monde ultra-connecté : plus d'eau potable, plus de soins à l'hôpital, un krach bancaire pire que celui de 1929, etc. Les conséquences décrites sont effrayantes, essentiellement car elles semblent extrêmement plausibles. Ce livre rend aussi hommage aux services secrets, aux services de protection, qui risquent leur vie pour protéger leur pays.


Le président a disparu raconte trois journées angoissantes. Ce sont les trois jours qu'il reste pour trouver le moyen d'arrêter le carnage, tout en faisant preuve de discrétion. La population civile n'est pas informée de la menace qui plane sur son pays. Mais la Maison-Blanche ...


La suite sur mon blog


http://www.valmyvoyoulit.com/archives/2018/08/01/36602544.html
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Vous avez adoré « 24 heures chrono » ?
Vous aimerez « le Président a disparu » !

Voilà un thriller où l'on retrouve tous les poncifs du genre :

1. Un danger d'un genre nouveau menace les USA au point qu'il va les renvoyer à une période qu'ils n'ont jamais connue : les débuts du Moyen Âge (Dark Ages) ! Un méchant virus va mettre hors service tout ce que nous appelons les objets « connectés ».

2. Ce méchant virus est l'oeuvre des Fils du Djihad, et en particulier de l'horrible Suliman Cindoruk, un Turc non croyant (si ! si ! Djihadiste non croyant !) qui se trouve être le cyberterroriste le plus dangereux et le plus actif au monde !

3. Il est évidemment épaulé par une puissance étrangère de premier plan hostile aux USA. (Devinez laquelle ! Suspense !)

4. le président va devoir affronter une Commission d'enquête dirigée par Lester Rhodes, le président de la Chambre des Représentants, un horrible personnage machiavélique qui ne poursuit que des intérêts purement personnels, au moment-même où le Président des USA tente d'empêcher son pays de se retrouver à l'âge de la pierre, ou presque !

5. le Président est un homme pieux (il n'oublie jamais de prier dans les moments où seul un miracle pourrait sauver l'Amérique). C'est un héros de guerre : ranger, il a été fait prisonnier par les Irakiens lors de la Guerre du Golfe, et, malgré les horribles tortures auxquelles il a été soumis, il n'a jamais craqué. L'histoire ne dit pas comment il a été libéré et par qui… Malgré qu'il soit en très mauvaise santé, à lui tout seul, il est plus fort que Batman, Superman, Spiderman et Capitaine America réunis, et il n'a même pas besoin d'enfiler un collant avec un slip par-dessus ! Et drôlement intelligent en plus (donc, à peu près tout le contraire de l'actuel occupant de la Maison Blanche, je vous rappelle que c'est un roman, une fiction, et que l'on peut tout se permettre dans ce genre).

6. Dans son entourage rapproché se trouve une taupe ! Un traître ! Bien entendu, vous allez facilement deviner qui c'est grâce aux indices qui vont s'accumuler ! Ah, ben, non ! C'est raté ! Ce n'est pas le vrai traître !

7. Heureusement, les USA peuvent compter sur l'aide d'Israël, le meilleur ami de l'Amérique et de l'Allemagne, deuxième meilleur ami des USA. (J'ai comme un doute.)

8. le Président sauve l'Amérique, à la dernière minute (rappelez-vous « 24 heures chrono »).

C'est un livre distrayant, qui se lit facilement, où Clinton règle quelques comptes avec le Congrès, où seule l'Amérique (USA) compte vraiment, les autres pays étant au mieux des alliés un peu larbins (normal puisqu'ils doivent quasi tout aux USA). C'est beau l'idée que les Américains se font de leur pays ! En dehors d'eux, il n'existe pas grand-chose qui vaille la peine et on le sent très fort, alors pourquoi lire ce livre ? Peut-être parce que Patterson a le sens du rythme, de l'invraisemblable prévisible, d'une narration captivante qui ne laisse pas le temps de s'ennuyer. Malgré le côté « déjà-vu » on se laisse aller entraîné par le fabuleux pouvoir que le conteur exerce sur nous.
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