« Comme toujours
Harlan Coben nous gâte. Suspense, rebondissements, sueurs froides garanties, une valeur sûre » écrit
Sylvie Lainé journaliste à l'Indépendant (recherche faite il s'agit d'un quotidien régional de l'Aude et des Pyrénées-Orientales donnant les infos de Perpignan, Narbonne, Carcassonne …)Pour Julie Malaure du Point (rapportez-vous sur google à la curieuse carrière de cette journaliste)
Sous haute tension est « un truculent morceau à dévorer d'une traite »
Est-il écrit sur la 4eme de couverture
Il doit s'agir d'un malentendu, ces gens-là ont non-lu le livre en question dont la tension loin d'être haute ne dépasse pas une dizaine de volts. Myrton Bolitar qui en son temps fut un personnage drôle et parfois captivant sombre aujourd'hui dans le pleurnichard et le mièvre et je soupçonne fort Coben d'en avoir assez de ce célibataire niais amoureux d'une certaine Térèse habitant en Angola (et pourquoi pas sur la lune) qui risque de faire chuter les ventes, surtout quand il nous nous gratifie en bonus d'un chapitre « découverte » de son futur navet «
ne t'éloigne pas » à ne pas lire avant d'avoir fini «
sous haute tension ». On obtempère.
Une chose est certaine pas de sueurs froides, pas de truculence dans ce morceau indigeste donc difficile à dévorer et qui est loin d'être une valeur sûre (pauvres lecteurs des Pyrénées-Orientales !)
Le réchauffé n'est bon que pour les pots au feu et les ragoûts. A vous de conclure avant de vous lancer « d'une traite » dans ce mélodrame totalement dénué de sens et d'action.
Sur la quatrième de couv' une seule chose est vraie : Tous les grands succès d'
Harlan Coben sont chez Pocket.