J'ai entendu parler de
Paul Colize quand son roman
Concerto pour quatre mains est sorti. Je voyais cette couverture partout. Et j'ai fini par retenir le nom de cet auteur belge.
Alors comment me suis-je retrouvée avec
L'avocat, le nain et la princesse masquée entre les mains ? Simplement parce que je ne peux pas résister à une offre telle que celle que proposait Pocket : « une tasse offerte pour deux livres achetés ». Si vous me suivez sur Instagram, vous avez dû remarquer que j'avais un petit problème d'addiction avec les mugs. Mmm, bref, c'est ainsi que je suis repartie avec ce roman de
Paul Colize et
Storyteller de
James Siegel.
J'ai profité d'un trajet en train pour le commencer et sachant que j'allais trimballer mes affaires avec moi toute la journée, j'ai été séduite par son format compact et sa pagination raisonnable (ce n'était pas le moment de commencer le fils de
Philippe Meyer et ses 670 pages).
J'ai plongé tout de suite dans cette intrigue un peu folle, mais pas totalement déjantée, du moins pas assez pour me laisser sur le bord de la route (oui, je ne suis pas dingue des histoires complètement barrées). J'ai aimé le ton, l'intrigue, le rythme et l'humour. En fait, j'ai vraiment dévoré ce roman, parce que je voulais connaître la fin, savoir comment Hugues Tonnon allait se sortir de la mouise dans laquelle il était fourré.
Après cette découverte de l'auteur, je ne dirais pas non à un autre roman de
Paul Colize, mais quand j'aurai un peu avancé dans ma PAL…
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