Dans les bas-côtés de notre nature, se trouvent les fleurs que chacun peut faire germer. La main des hommes se confond alors avec celle de nos anges gardiens.
L’argent ne nous achètera jamais une rencontre. Cinquante euros ne remplaceront jamais la chaleur d’un accueil.
Les Italiens les plus croyants ne sont pas toujours les plus charitables. Les contacts sont faciles, mais il est difficile de trouver des hôtes.
Pour avancer, la route nous apprend à dépasser notre ressenti, sans le nier, pour agir.
La sensibilité est une belle chose, elle nous fait goûter au monde. Mais, parfois, c’est elle seule qui impose ses lois dans nos vies, comme dans nos sociétés.
Marcher vite dans la neige épuise.
Quand il y a de la soupe pour deux, il y en a pour quatre.
J’ai peur de trop forcer. Nos pieds, c’est notre outil de travail. Si on les abîme, ils pourraient nous priver de notre rêve.
C’est honteux de demander de l’aide dans un monde où c’est chacun pour soi.
Nous quittons Paris, sans un sou en poche et par le moyen le plus simple qu’il soit donné aux hommes : à pied.