Les douze

Il y a 4 ans, j'avais lu et adoré le passage, premier tome d'une trilogie post-apocalyptique. J'ai profité du début de l'été pour lire la suite : Les Douze.
Après les événements avec Amy, ceux à la Colonie et l'affrontement avec Babcock, l'un des Douze, les personnages s'étaient séparés, et le récit commence 5 ans après la chute de la Première Colonie mais fera plusieurs va-et-vient dans le temps : l'an Zéro, moment du basculement du monde, 79 après V et 97 après V. Là encore, l'auteur nous propose un récit extrêmement dense, complexe et pourtant simple à lire. On retrouve plusieurs personnages du premier tome et c'est vraiment un plaisir de passer du temps en leur compagnie car je m'étais vraiment attachée à eux !
On sent que quelque chose de différent s'est développé chez les viruls, une force différente, des alliances se sont créées et il sera encore plus difficile de les combattre. J'ai adoré découvrir différents moments de ce nouveau monde si effrayant et réaliste, différentes époques, croiser des nouveaux personnages, l'évolution d'Amy, d'Alicia. On ne s'y ennuie pas, l'auteur alterne des moments d'action, d'aventure, des descriptions qui aident à mieux visualiser ce qui est arrivé. Vous l'aurez compris cette suite m'a beaucoup plu !
Cependant au vu de la fin, je me demande ce que peuvent contenir les 1000 pages du dernier tome et en fait je suis très impatiente à l'idée de le découvrir ! j'avais espoir de beaucoup lire cet été mais à cause de la chaleur, j'ai pour l'instant du mal à me concentrer et je n'avance pas aussi vite que je l'aurais souhaité donc je ne sais pas si j'aurais le temps/la possibilité de lire La cité des miroirs d'ici la fin de la période estivale.
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Le premier tome était déjà complexe, mais ce n'était rien à côté des Douze. Il est d'une complexité folle, délectable même. Toutes les choses, même les plus insignifiantes, sont liées entre elles et cela ne se voit parfois que plusieurs centaines de pages plus tard. J'adore comprendre au fur et à mesure que tous les petits détails que je lis font en fait partie de quelque chose de bien plus grand qui se construit peu à peu, à la manière d'un gigantesque puzzle.

Je peux dire sans hésiter que j'ai vraiment beaucoup aimé ma lecture. Elle a été riche en surprises, en rebondissements, en émotions aussi... j'ai été forcé de réfléchir et j'adore ça. Les sujets abordés sont encore plus variés que dans le premier tome (on a notamment des réflexions très poussées et très intéressantes sur l'esclavagisme, l'instinct de survie, le déni… c'est… impressionnant de justesse). J'ai rarement lu un livre aussi prenant. Son final est bien amené, se tient parfaitement et laisse planer suffisamment de doutes sur suffisamment de choses pour nous donner envie de nous plonger dans le troisième tome.

Les Douze n'est clairement pas un livre qui repose, mais sa lecture est réellement enrichissante. On ne pouvait rêver meilleure suite pour le Passage.

Deuxième volet de la trilogie, on est toujours dans ce monde post apo très efficace, mais dans une intrigue qui laisse moins de place à la mélancolie du premier tome pour une action plus noire et des enjeux encore plus fort. On sent que les personnages sont passé de l'enfance au monde adulte et on saluera la grande cohérence de l'évolution des personnages. Cette suite se dévore aussi rapidement que le premier !

Cette suite du passage de Justin Cronin est tout aussi addictive. Un pavé de prés de 1000 pages qui se lit sans ennui et rapproche un peu plus le lecteur des personnages qu'il a rencontré dans l'opus précédent.

Ce monde apocalyptique est toujours aussi dangereux, peuplé de créatures qui n'on t plus grand chose d'humain.
Amy, Peter, Alicia, Hollis, Sara et d'autres avec eux vont devoir s'unir pour affronter les douze et essayer de débarrasser à la terre de ce fléau qu'ils ont répandu dans le seul but d'annihiler l'humanité.

Justin Cronin prends soin de revenir dans le passé pour que le lecteur comprenne le pourquoi de ce présent terrifiant à plus d'un titre. Il nous parle de chacun des douze, quand ils étaient humains, du pourquoi, du comment, et si parfois nous nous perdons dans les limbes, c'est pour mieux revenir à cette réalité qui entraîne les humains restant dans un enchaînement d'actions dont tous ne reviendront pas vivants.

C'est effrayant, c'est captivant comme un jeu de piste où le but est connu mais incerrtain.

Je me suis attachée encore plus à ces personnages car Justin Cronin nous les montre tel qu'ils sont, bruts, sans artifice, avec leurs défauts et leurs qualités, leurs interrogations, mais surtout leur force intérieure, leur détermination à sauver leurs semblables de l'instinct ion.

Je vais donc lire le dernier tome avec avidité pour connaitre enfin le dénouement de cette aventure post-apocalyptique ;

A la lecture du 2eme tome, on se laisse prendre au piège du fantastique qui nous fait entrer dans l'horreur avec les douze viruls .Nous apprenons par des flash back le démarrage de l'attaque et de l'épidémie. C'est aussi l'occasion de dénoncer le totalitarisme et des simulacres de démocratie.
.toujours palpitant malgré son volume de 1000 pages. Je prends le 3eme livre à la suite. Je pense que je vais le dévorer comme les deux premiers.

Ce roman est la suite du Passage. Si dans le Passage on découvre comment l'humanité a pu survivre à l'attaque des viruls à travers la vie d'un petit groupe, dans les Douze on les retrouve 5 ans plus tard dispersé suite à la fin tragique du tome précédent.
Dans ce tome, Justin Cronin nous montre que les monstres ne sont pas toujours là où on les attend. Grâce à des flashback, nous en apprenons davantage sur le démarrage de l'attaque et les débuts de l'épidémie.
Ce roman est exigeant entre les multiples époques et personnages, mais il vaut l'effort.

J'ai lu ce livre en Mai 2013 (près d'un an), mais je ne pouvais pas ne pas vous en parler! J'ai tellement aimé le premier tome que j'avais pré-commandé celui-ci!

J'ai dévoré ce livre! Même si au début je me demandais « pourquoi écrire l'histoire de nouveaux personnages au début du virus? » Les chapitres défilent et les choses s'imbriquent parfaitement, avec une grande précision! On retrouve avec plaisir les personnages et ils n'en sont que plus attachants!

Nous retrouvons avec plaisir certains personnages de l'aventure auxquels se rajoutent de nouveaux intervenants.
Une fois de plus, l'auteur nous transporte dans ces ruines américaines aux alentours de l'an 2100.
Une immersion continue dans ce futur moyenâgeux où des factions militaires et esclavagistes tentent d'accaparer les dernières ressources.
La chasse aux douze « leaders viruls » est ouverte, chacun ayant ses priorités, Emy continuant son bonhomme d'évolution au sein de ces contrées apocalyptiques.

L'écriture de l'auteur est enivrante, le rythme transcendant et l'on se surprend à lire jusqu'à des heures avancées de la nuit tant les péripéties sont addictives !

Une suite à la hauteur de mes attentes! un troisième opus serait en préparation? j'ai hâte que cela soit confirmer!

Après avoir lu le Passage, tome 1 de cette trilogie, au début de l'année 2014, j'attendais avec impatience la sortie du deuxième tome, les Douze, en format poche.

L'achat remonte au jour de sa sortie, en mai 2014, et depuis il s'est retrouvé perdu dans les méandres de ma PAL... Pourtant j'y ai souvent pensé, mais il fallait que je sois prête pour m'attaquer à ce volume de 1000 pages et aussi que je sois prête à me replonger dans ce monde apocalyptique.

J'ai dévoré ce deuxième tome!!!

Le schéma est à peu près le même que dans le premier tome:

Une première partie qui se déroule au moment du déploiement des viruls, où l'on s'attache à différents personnages en sachant pertinemment ce qu'il va leur arriver...

Une deuxième partie où l'on est heureux de retrouver nos héros du premier tome,mais tout aussi malheureux car beaucoup de choses ont changé.

Et une dernière partie magistrale, des réponses à nos questions, des combats hors du communs, et pour beaucoup, un amour profond de l'humanité, ce qui m'a souvent fait sourire ou soupirer d'aise... Et l'on découvre d'autres choses, horribles, que l'on aurait même pas pu imaginer! J'ai été choquée par certains comportements, j'ai eu envie de crier, de les frapper!

Bref, ce livre m'a fait vivre! L'imagination de l'auteur est d'autant plus débordante que son style est fluide et extrêmement facile à lire. C'est un pur bijou!

Seul petit bémol pour moi: la longueur du livre... En sachant qu'il est composé de plusieurs parties il pourrait tout aussi bien être scindé en livres, ce qui pourrait être plus simple pour la lecture (mais beaucoup moins pour notre porte-feuille!!)
Lien : http://les-livres-de-maya.ov..

Alors que j'avais adoré et dévoré le Passage, j'ai trouvé ce deuxième tome très, très confus. Beaucoup de mal pour se repérer dans les personnages, beaucoup moins de cohérence que dans le premier tome. Et les motivations de certains personnages, comme Lila, et les maîtres du camp, ne m'ont pas paru très claires.
J'ai aussi eu le sentiment que Les Douze n'apportait rien au Passage. Revenir à nouveau sur la phase de contamination, des personnages qui apparaissent qu'on ne reverra plus...
Assez déçue. J'espère mieux du dernier volume.

Et il faut dire que la première moitié du livre n'aide pas du tout. C'est plat, beaucoup de longueur (de toute façon, il y a toujours des longueurs dans un livre de 1000 pages), pas vraiment intéressant et d'une lenteur infernale. Je pense que l'histoire aurait pu tenir en 400/500 pages. Un exemple : l'auteur met quand même 9 pages (oui, j'ai compté) juste pour dire au début du livre que Lila a envie de sortir acheter des pots de peinture pour repeindre la chambre d'enfant. 9 pages.

Ah, et avant que j'oublie : peut-on parler des remarques un peu tendancieuses du texte ??
Tout d'abord le : « Mon Dieu, Lila, avait dit Brad en la regardant enfourner une cuillerée de mousse au chocolat, au train où ça va, tu vas nous faire un bébé tout noir »… Je ne sais pas si c'est l'auteur ou la traduction qui a tourné le truc comme ça, mais bon, à la limite, passons.
En revanche, je n'ai clairement pas aimé le passage du gentil soldat américain qui est venu apporter la paix en Afghanistan et qui voit un père afghan faire exploser son fils de 5 ans. Ah là là, toujours ces méchants Pachtounes. le pire c'est quand j'ai lu ce bon soldat porteur de paix dire : « Ils sont partis danser avec les vierges pour l'éternité ». A ce moment-là, j'ai posé le livre et je me suis réellement demandé pendant 5 minutes si je continuais ma lecture ou pas. Oui, oui, les arabes adorent faire exploser leurs gosses, génial, et après ? Tout ce que je voulais moi, c'était lire la suite de cette trilogie de science-fiction et non pas l'opinion d'un auteur qui en profite pour me faire du zèle sur son ignorance et son mépris des gens du Moyen-Orient et de leurs combats.

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