Ninn, tome 4 : La cathédrale de fer

Les auteurs donnent tout pour nous tenir en haleine. Les actions s'enchaînent, on ne peut pas s'en plaindre. Mais moi, j'ai beau y faire, je suis perdue.. Dans cette série, il y a de tout avec un graphisme et une thématique géniaux : le métro n'est pas un lieu habituel comme environnement. Après les 2 premiers tomes qui m'avaient bien plu, les oubliés sont apparus avec la rame disparue et là, on a des bribes historiques avec des flashs nazis de la seconde guerre mondiale.. Je ne comprends pas, j'ai l'impression de perdre le coeur de l'histoire et la quête des origines de Ninn qui se mélange à tous ces ingrédients. J'ai le prochain qui devrait conclure ma perdition.

Ninn s'aventure une nouvelle fois avec son tigre de papier dans les sous-sols labyrinthiques du métro parisien. C'est alors que l'eau monte soudainement...

En essayant de s'échapper pour remonter à la surface, elle découvre la cathédrale de fer et le plan machiavélique de ses ennemis.

Mais c'est aussi son passé qui fait surface avec une rencontre inattendue !

Quel plaisir de retrouver la jeune fille intrépide, amoureuse du métro et de ses mystères.

Cette fois elle n'est pas accompagnée de ses deux amis mais reste bien entendue, suivie par son fidèle tigre et secondée par l'énigmatique Fulgence.

Dans ce quatrième volume, l'accent est mis sur la période de la seconde guerre mondiale, et plus précisément l'occupation allemande dela capitale.

Si le scénario est toujours aussi riche et captivant, c'est une fois encore la qualité des illustrations, du trait mais aussi des couleurs qui sont au rendez-vous.

De nombreuses informations sur le métro et ses stations sont distillées tout au long du récit.

En fin d'ouvrage, L Histoire prend tout son sens avec un éclairage documentaire accompagné d'un très beau cahier graphique.

Lien : http://www.nouveautes-jeunes..

Une lecture captivante !
Décidément cette série que j'ai découvert un peu par hasard, continue de me tenir en haleine. Ici une nouvelle intrigue qui vient s'ajouter à la principale, et de nouvelles révélations qui ponctuent l'action de ce tome. Si j'en avais déjà deviné quelques unes (Qu'Eponine était la princesse, qu'elle avait des liens du sang avec Ninn, même si je n'arrive toujours pas à déterminer lesquels.), c'est avec surprise que j'en ai découvert d'autres (La véritable mère de Ninn). On comprend un peu mieux les origines de Ninn, et quelques éléments du passé. Par contre, il y a encore beaucoup de zones d'ombres, et des explications nébuleuses sur l'ensemble de l'histoire. Je n'ai pas tout compris autour de cette cathédrale de fer : en fait, elle est "magique" ? Pourtant c'est les Allemands qui l'ont développé donc elle n'a aucun rapport avec les Grands Lointains, non ? Je ne vois pas vraiment ce qu'ils voulaient en faire en fait. J'ai peut-être loupé une information importante...j'ai pourtant lu la BD plusieurs fois, mais il y a tellement de choses à recouper qu'il faut réellement s'accrocher pour tout saisir. D'autant plus que l'action est permanente dans ce numéro, et qu'il est difficile de tout suivre tant cela part dans tous les sens. Il n'empêche que c'est très intéressant, et magnifiquement scénarisé.
En tout cas, Ninn tient parfaitement sa place d'héroïne, et le TDP est juste excellent...et trop beau !
D'ailleurs, n'oublions pas bien sûr, LE point fort de la série : les superbes dessins et leurs douces couleurs qui nous emportent directement dans cet univers magique et inquiétant.

OK Tier.

Ninn est une série accrocheuse, fascinante, mais complexe et parfois nébuleuse. Les enchaînements sont tordus, les rebondissements multiples, les personnages intéressants.

Dans ce 4è tome, on découvre de nouvelles parties du métro parisien interdites. Des parties dans lesquelles les nazis se sont aventurés pendant la guerre. Evidemment l'occulte nazi et la magie de la ligne noire ont donné des résultats dépassant l'horreur des 3 tomes précédents. La cathédrale de fer va concentrer la folie de la ligne noire et Ninn se retrouve confrontée à ses pires ennemis, dont l'implacable maîtresse des papillons noirs, représentant toutes les idées les plus désespérées des passagers du métro.

Avec ce tome on a l'impression de clore un cycle, avec Fulgence, les spectres et l'aviatrice.

Techniquement, c'est de la belle ouvrage, comme on dit. Dessin, mise en page, couleur... c'est impeccable. J'ai parfois une impression de déja-vu, par rapport à la série Seuls, impression qui se confirmera dans le tome suivant.

Si on m'avait dit que je kifferais une BD sur le métro, j'aurais été plus que sceptique, et pourtant je viens de dévorer le tome 4 de Ninn La cathédrale de fer.

Le suspens est toujours bien présent, pas de temps mort on est directement immergé dans l'action et je suis bien contente d'avoir le tome 3 récemment pour bien suivre le fil.

Des nazis, une brusque et bizarre montée des eaux, de nombreux éléments viennent nourrir ce tome haletant.

On découvre de nouvelles informations sur l'histoire et le passé de Ninn notre héroïne si attachante, mais il nous manque toujours des pièces du puzzle.

Que dire du dessin sinon qu'il est toujours aussi réussi, les planches toutes de rouge revêtues sont superbes, et viennent contraster les nombreuses planches bleues en immersion.

Vivement la suite.