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sur 856 notes
Certains pensent que le droit du sol est l'absurdité qui consiste à dire qu'un cheval est une vache parce qu'il est né dans une étable. On sait très bien où ils veulent en venir. En fait, le sol composant la planète terre appartient à tout le monde depuis l'Homme de Neandertal. Si seulement, il n'y avait pas de frontière...

Evidemment, l'auteur se garde bien de nous indiquer qu'il s'agit d'une fausse piste. Il ne sera point question d'immigration sauf sans doute les déplacements des différents genres humains durant la Préhistoire.

L'objectif de l'auteur est de nous montrer qu'il faut respecter Dame Nature et ne pas enfouir sous la terre des déchets nucléaires et notamment à Bure. Non, il faut trouver d'autres solutions quitte à les garder en surface avec le maximum de précaution. le droit du sol est conçu comme une protection des sols face à la pollution humaine.

Bon, il y a clairement un discours anti-nucléaire qui pourrait nous entraîner à la merci du dictateur Poutine à moins de couper toute l'électricité dans le pays ou de ne le réserver qu'aux riches avec des tarifs prohibitifs. Là encore, les choses ne sont pas aussi simples.

La France jetait dans l'océan les déchets avant d'arrêter cette pratique honteuse. Il était question de les envoyer dans l'espace mais cela pouvait très bien retomber sur nos têtes. Une idée serait de les envoyer s'écraser contre le soleil et le problème serait réglé définitivement mais il s'agit alors d'avoir des lanceurs qui soient sûrs à 100%.

Ce n'est pas vraiment évoqué dans cette BD qui laisse néanmoins la porte ouverte à toutes les solutions possibles pourvu qu'on ne les enterre pas sous notre sol. Il est question de responsabilité pour les générations futures.

Evidemment, l'auteur s'inscrit dans la mouvance actuelle de protection de la planète avec son côté marcheur goûtant l'air de la campagne à travers un joli périple. La lecture fut longue mais assez intéressante car ponctué par différentes réflexions assez utiles sur le fonctionnement de notre monde. Divers sujets seront d'ailleurs traités comme par exemple le temps de conservation d'un papier ou d'une BD.

J'ai bien aimé pour une fois. Il est vrai que j'avais trouvé un peu ennuyeuse pas mal de ses dernières oeuvres ce qui n'est pas le cas ici. C'est une lecture qui pousse à la réflexion. On n'est pas obligé non plus d'adhérer totalement mais cela a le mérite de poser de bonnes questions.
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J'ai fait l'acquisition de cet ouvrage pour la médiathèque dans laquelle je travaille, m'étant promis alors de le lire un jour, d'un pour ma culture personnelle, de deux parce que le sujet m'intéressait et de trois, et non pas des moindres, pour mieux le recommander à mes lecteurs par la suite. Maintenant que c'est chose faite, le constat est simple : comment ai-je pu passer à côté d'une telle histoire : celle d'un projet de l'enfouissement de déchets nucléaires dans le sol de Bure dans la Meuse et qui a fait beaucoup parler d'elle il y a quelques années ? Ce projet étant actuellement toujours d'actualité, Etienne Davodeau n'a pas pu passer à côté et surtout ne le voulait pas ! Il se devait d'aller voir sur place. Ayant entrepris un long périple à partir de 800 kilomètres qu'il effectua à pied à partir de la commune de Pech Merle où il tomba d'émerveillement devant une représentation d'u mammouth effectuée par un sapiens il y a plusieurs années de cela, il voulut comprendre comment l'homme, le sapiens que nous sommes a pu en arriver là, à savoir partir de choses simples de la vie mais pourtant existentielles pour la vie de nos ancêtres, telle que la chasse et l'immortalisation sur des grottes (bien que l'on ne connaisse pas ce qui a réellement poussé ces premiers sapins à immortaliser ce mammouth, puisqu'ils en consommaient très peur, voire pas du tout à ce qu'il considère à juste titre, comme nombre des personnes interviewés ici, comme un terrible acte de malveillance de la part de nos dirigeants, à savoir l'enfouissement sous sol de matériaux aussi dangereux pour l'homme mais aussi la faune et la flore que ces dites matières hautement radioactives et qui le resteront encore des milliers d'années. Nos descendants se poseront probablement la même question que nous envers ces dessins préhistoriques ! Pourquoi ? Sauf que nous, nous leur auront pourri la planète entre temps, contrairement à ces dessins qui sont non seulement d'une beauté absolue mais qui sont complètement inoffensifs !

Etienne Davodeau essaie de comprendre mais n'y parvient pas. Il ne peux que constater les faits et s'en indigner, tout comme son lecteur d'ailleurs ! Je regrette simplement de n'avoir pas eu tous les éléments en main dès le départ (et je m'en veux terriblement) pour aborder cette lecture richement documentée et extrêmement bien travaillée du point de vue graphique pour l'apprécier à sa juste valeur (ce qui explique probablement mon manque d'enthousiasme une fois la lecture de cet ouvrage terminée et la note que j'y ai attribué et qui n'est probablement pas à la hauteur de ce dernier) ! Disons au moins que dormirai un peu moins bête ce soir ou du moins beaucoup plus sensible à ce qui nous entoure ! Une lecture que je ne peux que vous recommander, ce que je n'hésiterai pas dans ma petite médiathèque !
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A l'arrivée de cette randonnée de 800 km se trouve un scandale écologique. Je n'ai pas été surprise par la découverte de Etienne Davodeau, marcheur militant, dessinateur et auteur de « le droit du sol », car j'avais déjà lu Cent mille ans - Bure ou le scandale enfoui des déchets nucléaires de Gaspard d'Allens, Pierre Bonneau et Cécile Guillard. Mais sans détailler toute l'histoire des opposants à l'enfouissement des déchets nucléaires, Etienne Davodeau tente une approche beaucoup plus large en nous questionnant sur notre rapport au monde et l'avenir de notre planète.
Symboliquement, cette marche débute à Pech Merle dans le Lot, là où une grotte préhistorique révèle les peintures rupestres de nos ancêtres. Aujourd'hui, ce ne sont pas des dessins que l'on retrouve dans nos sous-sols, mais des déchets nucléaires. Ainsi va le monde qui, plutôt que des représentations artistiques préfère léguer aux générations futures des poubelles qui les empoisonneront pour les siècles à venir.
Cette randonnée est aussi l'occasion de méditer sur les beautés de la nature, et il ne s'en prive pas, l'ami Etienne, écolo et militant. Les randonneurs souriront à l'évocation de certaines anecdotes communes à tous les marcheurs, comme ce chien qui suit Etienne durant plusieurs heures (j'ai plusieurs fois vécu cette expérience !) ou bien toutes les remarques des gens croisés, plus vraies que nature. J'ai ainsi eu l'impression de marcher à ses côtés, ressentir la soif et la fatigue d'une longue marche, avoir trop chaud, tout cela en apprenant des choses passionnantes tout au long du chemin.
C'est bien documenté, même si l'apparition de quelques experts aux côtés du marcheur et leur exposé érudit peut parfois sembler plaqué au récit et un tantinet verbeux, on lit avec intérêt cette histoire militante.
Au fur et à mesure qu'on se rapproche de la Meuse, le danger se fait plus précis et la surveillance, le harcèlement dont sont victimes les habitants militants de Bure fait froid dans le dos.
Les tons sépia des dessins se prêtent bien au propos. Il y a beaucoup de douceur et de poésie lorsqu'il s'agit d'évoquer la nature, de belles rencontres aussi faites de générosité, ce qui rend le contraste saisissant avec le risque majeur qui se joue à Bure.
Une BD militante comme je les aime !
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Une fois de plus, je suis épatée par l'engagement de Davodeau. Il y a 25 000 ans, les hommes allaient sous terre dans la grotte de Pech Merle pour y peindre 70 animaux nous laissant des chefs-d'oeuvres rupestres. C'est le point de départ de notre scénariste qui va se rendre à 800 kilomètres de là à pieds sur le site de la Bure où dans les profondeurs de la terre on compte y mettre des déchets nucléaires dangereux pour des milliers d'années. le sujet de ce roman graphique me révolte autant que « Algues vertes ». Admiration pour le courage de Étienne Davodeau et de tous ceux qui gravitent autour de lui le long de son parcours. À faire connaître. Espérons que leurs luttes aboutissent afin que ces assassins cessent de détruire la planète. Fini il y a une semaine, impossible de mettre les mots qu'il faut.
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Quel plaisir de retrouver Davodeau dans cette BD militante, au dessin délicat et varié, et à l'énergie revigorante malgré le sujet difficile !
L'auteur décide de parcourir à pied les chemins qui vont relier le Lot, berceau de l'art préhistorique avec les grottes de Pech-Merle, et Bure, à 800 km de là, dans la Meuse, où se livre une lutte contre l'enfouissement des déchets nucléaires.
Ou comment relier ce qui s'est passé il y a plusieurs milliers d'années et ce qui pourrait se passer dans plusieurs milliers d'années (temps nécessaire à l'expiration de la radioactivité)
C'est le prétexte pour lui pour d'abord célébrer la nature et le plaisir de marcher et de faire des rencontres.
Et aussi une manière de militer en faveur de ces opposants qui luttent à Bure contre cet enfouissement, contre le nucléaire en général et pour une mise en valeur des terres agricoles.

C'est un plaisir de regarder ces dessins en noir et blanc qui détaillent précisément chaque personne rencontrée, chaque arbre remarquable, chaque paysage, …
Grâce à de simples dessins, Davodeau nous transporte à travers les régions de France avec poésie et passion, et c'est à mon avis un de ses meilleurs ouvrages !
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« A Bure, L'Etat, la justice, la police portent L'Andra à bout de bras. » (p. 192)
Rappel : l'Andra est l'Agence Nationale pour la Gestion des Déchets Radioactifs.

Y a intérêt, vu qu'un petit mec haut placé nous vante les mérites du nucléaire, des voitures électriques, etc. Alors qu'on disait déjà (et poliment, en plus) 'Non merci !' dans les années 70, que la question des déchets radioactifs n'est pas résolue, et qu'on a vu "quelques" accidents (Tchernobyl, Fukushima...), etc.
« Macron veut faire du nucléaire un objet politique, au service de sa future campagne présidentielle. » ☢ 💀

Cet album est engagé et enrichissant, mais...
• Comme c'est long & pénible de suivre les 800 kms de marche d'Etienne Davodeau, randonneur ! Surtout quand les mérites de cette pratique et les envolées lyriques des marcheurs vous passent au-dessus, car vous n'en retenez que le pire (faim, soif, fatigue, saleté, chaleur, intempéries...). Sinon il y a belle lurette que vous vous y seriez mise, pardi, et vous auriez une belle silhouette.
• Autre problème de taille avec cet album : déchiffrer un texte manuscrit pas très bien écrit, dense et fourni lorsque l'auteur donne la parole à des spécialistes. J'aurais préféré des encarts, car là, le dessin n'apporte rien au propos (le format BD nous rappelle juste que Davodeau continue sa marche, mais il est seul, en réalité). C'est vraiment dommage car les intervenants, d'horizons variés, sont passionnés et passionnants.

Sinon, l'idée de l'auteur est en effet intéressante : partir de Pech Merle, où nos ancêtres ont laissé de superbes dessins sur des parois de grottes, pour arriver à Bure, où l'on projette d'enfouir des déchets radioactifs, pour 'au moins 100 000 ans'. Hep, merci pour le cadeau, ô les gens nés au XXe siècle - s'il reste des humains pour le penser dans mille siècles ! En attendant, ça ne rigole pas contre ceux qui s'opposent au projet : contrôles, arrestations, écoutes téléphoniques, avec la « présence surdimensionnnée des forces de l'ordre ».
« Il ne faut pas perdre de vue que ce bazar n'a lieu que pour produire de l'électricité pendant quelques décennies. Tout ça pour ça. » Et on en revient à 'nos' futurs candidats 2022. 😡

Conclusion avec cet extrait (p. 193) : « Je (...) croise au large les bâtiments de l'Andra et d'Edf. Je n'irai pas interroger leurs chargés de communication. Leur donner la parole dans mes pages au nom d'un hypothétique souci d'équité ne ferait qu'entériner l'énorme déséquilibre des forces qui s'opposent ici. Ils ont l'argent, la justice et la police avec eux. Ça va bien. »
Argent, justice, politique...

Et il paraît que les Verts font régner la terreur dans ce pays, et imposent leurs idées - des ayatollahs, des talibans, j'en passe...

A compléter avec 'Cent Mille Ans - Bure Ou le Scandale Enfoui Des Déchets Nucléaires' (Gaspard d' Allens, Pierre Bonneau, Cécile Guillard).

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♪♫ (...) Dans cet étrange carnaval
On a vendu l'homosapiens
Pour racheter du Néandertal
Je vous attends
Et les manufactures auront beau se recycler
Y aura jamais assez de morphine pour tout le monde
Surtout qu'à ce qu'on dit vous aimez faire durer.
Moi je vous dis Bravo ! et Vive la mort ! (...)
Je sais que dans votre alchimie
L'atome ça vaut des travellers chèques
Et ça suffit comme alibi
Ah ah ! je vous attends...
A l'ombre de vos centrales, je crache mon cancer. (...)
Moi je vous dis Bravo ! et Vive la mort... ♪♫
----
HF Thiéfaine, Alligators 427, in 'Autorisation de délirer', 1979
♪♫ https://www.youtube.com/watch?v=88yPQGBnjPw
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Alors qu'on nous présente désormais l'énergie nucléaire comme une technologie « verte », solution idéale pour contrer le réchauffement climatique, cet album d'Étienne Davodeau tombe à pic en pointant fort justement ce qui tend a être invisibilisé : l'insoluble fardeau des déchets nucléaires. Parti de Pech Merle, dans le Lot, où nos ancêtres cro-magnons ont laissé, sous terre, il y a 22 000 ans, une grande frise de vingt-cinq animaux, pour rejoindre à pied la commune de Bure, dans la Meuse, où un projet d'enfouissement de déchets nucléaires est en chantier. Tout au long de ces 800 et quelques kilomètres de chemin, il va convoquer, virtuellement, « des femmes et des hommes qui ont des choses à nous dire sur ces sujets ».
(...)
S'il n'aborde pas les points de vue les plus radicaux, cet ouvrage aura néanmoins le mérite de susciter de nombreuses prises de conscience. Sachant que 100 000 volumes ont été écoulés un mois après sa parution, cet apport est loin d'être négligeable. Une belle démonstration d'instruction massive.

Article complet sur le blog :
Lien : https://bibliothequefahrenhe..
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Davodeau décide de faire une longue randonnée en partant des grottes de Pech Merle dans le Lot pour arriver à Bure dans la Meuse. Dans ces deux lieux, à plusieurs milliers d'années d'intervalle, des homos sapiens ont décidé de laisser une trace sous le sol. La première est constituée de peintures rupestres, la seconde concerne la création d'un centre d'enfouissement de déchets nucléaires. Ça fait clairement moins rêver ….

J'aime beaucoup Davodeau mais je n'avais pas spécialement envie de lire celui-ci qui m'a été offert. J'avais déjà lu 100.000 ans qui était très bien documenté, mais finalement ce droit du sol est une excellente surprise. C'est autant une ode à la marche et à la nature qu'un pamphlet militant.

Le procédé consistant à lier une randonnée au problème posé par Bure m'a semblé très malin. Cela permet à l'auteur de nous montrer de très chouettes paysages et de convoquer de nombreuses personnes au fil de la balade : un ingénieur agronome, un physicien, des militants anti-nucléaires par exemple. Certains passages sont passionnants et une fois encore, je suis effarée par la puissance du lobby nucléaire et par le bras de fer engagé par l'état contre les anti-bure (il faut savoir ce qui se passe au Tribunal de Bar le Duc, c'est absolument honteux).

Dommage toutefois que la réflexion ne s'élargisse pas un peu sur le problème plus global de notre consommation d'énergie : l'auteur stigmatise le nucléaire sans s'interroger sur les méfaits d'autres sources d'énergie comme le charbon par exemple. Ce sera une de mes seules réserves. Car sinon, je ne peux que conseiller la lecture de cette bd qui vous permettra de flâner autant que de réfléchir.
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Passionnant et grinçant.... Quand on lit cette BD et en parallèle "un monde sans fin", vous trouverez la déprime (j'en ai peur) et une source de réflexions, car pour le coup on a des points de vue très antagonistes.
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Cette BD m'a beaucoup plu. On voyage avec l'auteur de Pech-Merle et ses peintures rupestres, à pied, jusque Bure et ses prochains enfouissements de déchets nucléaires. Autre souvenir pour les générations futures, beaucoup moins sympa....
Première info de taille pour moi : avant on balançait les déchets nucléaires nucléaires sans vergogne directement dans l'océan ici et en Polynésie !
La partie marche à pied est passionnante, surtout que moi aussi j'aime marcher.... Mais c'est l'arrivée à Bure et ce qu'on fait subir aux opposants qui est sidérante, glaçante.... La plus utile.... La plus révoltante.... Utiliser une loi contre le terrorisme pour enfermer des retraités qui ont eu l'outrecuidance de s'opposer pacifiquement à ce projet. C'est important de le faire savoir, en cela cette BD fait oeuvre utile.
Un grand merci à l'auteur.
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Quel est le point commun entre un dessin de mammouth dans une grotte préhistorique et un site d'enfouissement de déchets nucléaires ?
L'auteur, grand marcheur, a décidé de relier deux endroits situés à 800 kilomètres de distance, deux lieux qui pour lui symbolisent ce que l'homme a laissé ou laissera à ses descendants, à savoir la grotte de Pech Merle dans le lot et un village, Bure, situé dans le nord-est de la France
Dans un cas, il s'agit d'un dessin ébauché il y a des milliers d'années par nos ancêtres, dans l'autre, d'un site qui sera probablement dangereux durant des milliers d'années.
Eienne Davodeau va donc aller de l'un à l'autre, à pied, durant quelques semaines, le temps pour lui de s'interroger sur ce que nous laissons aux générations futures.
J'ai trouvé original le propos, mais au final, la balade m'a semblé un peu longue.
Certes, il y a de nombreuses explications, car l'auteur a rencontré différents protagonistes liés à ces deux sites, mais je ressors de cette aventure avec un avis mitigé, car de nombreux passages sont ennuyeux.
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