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Dans cette toute nouvelle édition, revue, corrigée et enrichie, de « Sympathies for the devil », Thomas Day nous livre un recueil de nouvelles de fantasy et de science-fiction extrêmement plaisant. Il faut dire que cela fait quelques années maintenant que l'auteur occupe une place de choix sur la scène de l'imaginaire francophone au travers d'un nombre conséquent d'ouvrages qui se sont tous, jusqu'à présent, distingués par leur originalité et le soin apporté à leur écriture. On découvre ici six textes (dont certains considérés comme les plus aboutis de l'auteur), chacun relatant la fin d'un monde, qu'il s'agisse du notre, ravagé par la nature ou la colère d'un dieu, de celui des nomades des steppes mongoles menacé par la sédentarisation... Outre la qualité des dites nouvelles, on peut d'ors et déjà saluer la cohérence thématique du recueil qui saute immédiatement aux yeux et à propos de laquelle l'auteur lui même avoue sa satisfaction dans son avant-propos. Comme dans tout recueil il est évident que tous les textes ne se valent pas, toutefois il apparaît de façon très nette à leur lecture que Thomas Day dispose d'un incontestable talent.

Parmi les nouvelles les plus enthousiasmantes figure celle qui ouvre le recueil, « Une forêt de cendres », dans laquelle l'auteur met en scène un personnage remarquablement complexe et effrayant dans un monde qui l'est tout autant, le tout à travers une écriture très poétique. Les deux textes suivants (« A l'heure du loup » et « L'erreur ») pâtissent hélas de la qualité du premier et m'ont laissé plutôt indifférente. Les trois derniers en revanche relèvent le niveau. Avec « La mécanique des profondeurs », c'est avant tout le décor (la ville d'Amsterdam à moitié immergée) qui séduit, tandis qu'avec « La notion de génocide nécessaire » l'auteur met davantage l'accent sur ses personnages et les relations complexes que ceux-ci peuvent entretenir entre eux et avec le monde qui les entoure. On atteint à nouveau les sommets avec « Démon aux yeux de lumière » , dernière nouvelle du recueil mettant en scène le dieu nordique Loki et dans laquelle on retrouve tout ce qui fait le charme de l'auteur : des personnages torturés, une écriture pleine de poésie, de l'humour, des idées bourrées d'originalité, un décor évocateur et prompt à enflammer l'imagination...

Un excellent recueil, idéal si vous désirez découvrir de quoi un auteur français de fantasy et de SF est aujourd'hui capable.
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Six nouvelles, organisées autour de la thématique du monde finissant (voire fini depuis longtemps) dont le cadre varie beaucoup :

« Une forêt de cendre » nous présente un héros qui aurait pu être une nouvelle incarnation d'Elric de Melniboné, dans un Londres post-apocalyptique sombre et oppressant... ;
« À l'heure du loup », une histoire tout en allégories qui tient beaucoup du conte populaire et dont l'atmosphère envoûtante est difficile à quitter ;
« L'Erreur », du pur cyberpunk, à mon avis la meilleure nouvelle du recueil, nous donne à réfléchir sur le flot ininterrompu d'informations qui a déjà englouti nos existences ;
« La mécanique des profondeurs » vaut surtout pour son décor d'une Amsterdam sous les eaux et peuplée de mutants ;
« La notion de génocide nécessaire » un beau texte considéré par son auteur comme le plus abouti, mais qui ne m'a pas convaincu au final, son histoire d'ET collecteurs d'impôts m'ayant paru trop peu crédible... Agréable à lire cependant ;
Enfin, « le démon aux yeux de lumière » met en scène un Loki destroy qui jouit des ruines de notre monde en attendant qu'un nouveau naisse à sa place... Une belle note finale.

En conclusion, ce livre permet de découvrir d'un seul coup plusieurs facettes de l'oeuvre de Thomas Day et constitue donc un point d'entrée idéal dans son univers. Je retiendrai particulièrement de cette lecture « L'Erreur » et « À l'heure du loup », mais rien n'est à jeter et je m'attends à rouvrir ce livre et à le redécouvrir plus tard.
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J'avais déjà découvert Thomas Day, il y a quelques années, avec « La voie du sabre », livre qui m'avait laissé un très agréable souvenir. Je remercie donc chaleureusement Masse Critique de me permettre de renouer avec cet auteur à travers le recueil « Sympathies for the Devil ». Ce livre réunit six nouvelles écrites autour du même thème : la fin du monde et – aussi curieux que cela puisse paraître – ce qu'il s'ensuit.

Comme dans la majorité des recueils, l'ensemble est un peu inégal. Certaines nouvelles (je pense particulièrement à « L'heure du loup », à « l'Erreur » et dans une moindre mesure à « Une forêt de cendres ») manquent un peu trop de fond pour être vraiment mémorables : personnages trop superficiellement plantés pour être marquants, manque de densité des univers ou scénarios peu compréhensibles… Plaisantes à lire grâce à l'excellent style de l'auteur, elles n'en restent pas moins très oubliables. Heureusement, les trois dernières rattrapent largement l'affaire, tout en jouant sur des registres narratifs très différents.

« La mécanique des profondeurs » met en scène une ville d'Amsterdam noyée sous les eaux suite à la montée des océans. Au fond de ses canaux hantés par les « grands blancs » et autres créatures cauchemardesque, une jeune femme pas tout à fait humaine erre en quête de son père disparu dans les profondeurs de la cité engloutie. Une bouffée d'air salée et glauque suivie aussitôt de « la notion de génocide nécessaire » (tout un programme en soit, ce titre… ) qui nous transporte dans les plaines fouettées par le vent de Mongolie où un envoyé de l'ONU tente de se dépêtrer d'un angoissant problème éthique : peut-on moralement décider le génocide d'un peuple si cet acte permettra de contribuer au bien-être de toute l'humanité ? le recueil finit en beauté avec le jubilatoire « Démon aux yeux de lumière » se déroulant dans un monde post-Ragnarok où un Loki démoralisé découvre que la Terre à moitié détruite s'avère mortellement ennuyeuse… Après avoir fracassé le monde, ne serait-il pas temps de songer à le sauver ?

En conclusion, un recueil de bonne qualité, malgré ses trois premières nouvelles un peu superficielles. Et pas forcément réservé aux dépressifs chroniques malgré ce que pourrait faire croire le pitch de départ, car si certaines de ces nouvelles ont une fin tragique, d'autres laissent percer l'espoir d'une renaissance. Puis reconnaissons-le : un livre qui cite du Leonard Cohen ne peut pas être un mauvais ouvrage, c'est scientifiquement prouvé, je vous assure !

Oh, the wind, the wind is blowing, 

Through the graves the wind is blowing,

Freedom soon will come ; 

Then we'll come from the shadows.
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Sympathies for the devil est un recueil de six nouvelles partageant le même thème : la fin du monde. Charmant programme.

- Une forêt de cendres
On commence fort avec un texte post-apo aux relents de fantasy bien sombre. Paul de Perth est un vrai pourri – dans tous les sens du terme – et il évolue dans une Angleterre en décomposition avancée. J'ai plus aimé ce texte pour l'originalité du monde qu'il dépeint que pour l'histoire elle-même, même si elle réserve quelques surprises.

- À l'heure du loup
Un conte à la fois horrifique et mélancolique, l'un de mes textes préféré du recueil. C'est touchant et poétique et j'ai ressenti une réelle empathie pour les deux fillettes.
L'histoire est courte, à peine quinze pages, mais il n'en fallait pas plus et le dénouement, en plus d'être très beau, laisse place à une multitude d'interprétations.

- L'erreur
Je n'ai pas aimé cette histoire qui raconte essentiellement les délires psychotiques d'un maniaque dans un monde décadent. L'ambiance qui s'en dégage est – volontairement – malsaine et vulgaire. Au final, je n'ai pas bien compris où voulait en venir l'auteur.

- La mécanique des profondeurs
La montée et la pollution des eaux ont causé l'inondation d'une grande partie de la planète et l'apparition de mutants. Avec ses branchies et des pieds palmés, Nausicàa (Ozzie) en fait partie. Un beau texte, avec une ambiance particulière. Plus que la fin du monde, l'histoire raconte la transition entre deux mondes.

- La notion de génocide nécessaire
En compagnie d'un émissaire de l'ONU, on découvre la Mongolie et le peuple des steppes. L'histoire se passe dans un avenir proche et présente des aspects futuristes, mais elle délivre un message très actuel. Thomas Day signe ici un très beau plaidoyer pour le mode de vie des nomades.

- Démon aux yeux de lumière
C'est pour ce texte que j'ai acheté ce livre. J'avais remarqué le nom de Loki sur la quatrième de couverture et j'étais curieux de découvrir le Ragnarok vu par l'auteur. C'est très trash et provocateur, et je n'ai pas été emballé par le début. Heureusement, la conclusion, d'abord épique, puis poétique, rattrape le coup. le Ragnarok de Thomas Day est finalement très original.

En conclusion, j'ai apprécié la diversité des textes proposés. Hormis "L'erreur", qui porte bien son nom, je n'ai trouvé aucun texte vraiment mauvais. "L'heure des loups" et "La notion de génocide nécessaire" valent à eux seuls la lecture de cet ouvrage.
Lien : http://lenainloki2.canalblog..
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Avant d'entrer dans le vif du sujet, je tenais à remercier Babelio et les Éditions Folio SF de m'avoir permis de découvrir Thomas Day, auteur français de science-fiction et de fantasy dont je n'avais jusqu'à présent lu aucun livre. En effet, j'ai reçu Sympathies for the devil dans le cadre du Masse Critique de Novembre.

Sympathies for the devil est un recueil de nouvelles qui a été réédité cette année dans une version corrigée et enrichie.

Au grès de six textes, Thomas Day nous conte la fin du monde, détruit par la colère des dieux, la Nature ou le trop plein d'informations.

Outre le talent évident de l'écrivain, j'ai apprécié la cohésion entre les nouvelles et la thématique qui, bien que déprimante de prime abord, nous questionne sur le genre humain.

Comme souvent avec un recueil de nouvelles, tous les textes ne se valent pas mais l'ensemble est tout de même très plaisant.

"A L'heure du loup" et "L'Erreur" sont celles qui m'ont le moins emballées : la première est bien trop courte pour permettre de s'intéresser aux personnages qui sont à peine esquissés ; quant à la seconde, elle est un peu trop alambiquée et inutilement provocatrice à mon goût.

En outre ces deux nouvelles souffrent de la comparaison avec celle qui ouvre le bal, "Une forêt de cendre", qui met en scène un personnage aussi terrifiant et fou que le monde dans lequel il vit. Dès les premières lignes, j'ai été prise de vertiges face à cet individu démoniaque dont le corps est aussi pourri que l'âme. La fin du texte m'a surprise car elle est beaucoup plus positive que je ne l'aurais imaginée.

Les trois dernières nouvelles sont les plus enthousiasmantes et les plus marquantes.

"La mécanique des profondeurs" titille notre imaginaire avec son décor hollandais envahi par les eaux et dominé par un tueur en série dont l'identité glace le sang. L'héroïne de ce texte est, à mes yeux, complétement cinglée et son comportement m'a soulevé le coeur. La dernière scène a mis mon sens moral à rude épreuve et j'en suis ressortie assommée comme si j'avais bu la tasse.

"La notion de génocide nécessaire", de loin l'histoire que je préfère, fait la part belle aux personnages savoureux et à une réflexion passionnante sur les notions d'intérêt général et de destinée . Ce texte est plein de compassion et de douceur envers le genre humain. Une pépite.

Enfin, "Démon au yeux de lumière" suit la rédemption du dieu Loki qui s'ennuie sec dans ce monde désolé. C'est probablement l'histoire la plus drôle car l'auteur fait preuve d'un second degré jouissif et désopilant.

Le point commun entre ces textes est bien sûr leur thématique mais aussi un style fulgurant et sans fioriture. Thomas Day entre dans le vif du sujet de façon percutante et énergique. Il n'hésite pas à se montrer cru dans les scènes de violences ou de sexe. Pourtant, ses textes ne sont pas dénués de poésie, de douceur et d'humour.

Thomas Day est un auteur à l'imagination débordante dont les textes fourmillent de détails et de références aussi bien musicales que cinématographiques.

Ce fut pour moi une délicieuse découverte qui m'a donné envie de découvrir le reste de l'oeuvre de l'écrivain.
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Sympathies for the Devil est un recueil de nouvelles parues pour la plupart il y a une dizaine d'années. Cette compilation diffère de celle parue chez le Belial', et a été revue et corrigée par Thomas Day.

Bon ben, je n'ai pas été très emballé, même si j'ai apprécié, globalement, ce recueil.
Ce sentiment mitigé est dû à trois choses:
1) forcément, toutes les nouvelles ne se valent pas et le niveau est forcément hétérogène, et aussi bien en tant que lecteur qu'en tant qu'auteur, j'ai senti dans certaines une difficulté à exprimer l'idée qu'avait Thomas Day dans certains textes (surtout dans Démon aux Yeux de Lumière, en fait). Pourtant, tout s'imbrique très bien, la langue est agréable et l'histoire est toujours bien articulée. Là dessus, Day est irréprochable.
2) Nom de dieu, qu'est-ce qu'il peut y avoir comme histoires de cul... J'ai rien contre Eros, ni même contre le classique appariement avec Thanatos d'autant que là il est question de fins de mondes, mais là, pour moi, c'était trop. Dans La Notion de Génocide Nécessaire, j'ai trouvé que c'était incongru. Dans La Mécanique des Profondeurs, la fin m'a carrément dérangé. Dans Démon aux Yeux de Lumière, c'était tout à fait burlesque et drôle. En revanche, dans Une Forêt de Cendres, c'était parfaitement dosé, et L'Heure du Loup démontre qu'on peut écrire une fin du monde sans recourir à l'érotisme (sûrement ma préférée du recueil, car extrêmement poétique).
3) La poésie, justement, est présente dans chacune de ces oeuvres (quoique je n'en n'ai guère perçu dans L'Erreur), ce qui rend ces nouvelles vraiment belles à lire, malgré les horreurs que certaines contiennent. Démon aux Yeux de Lumière est largement rattrapée par la poésie sur laquelle elle s'achève, et la Mécanique des Profondeurs, dont la fin m'a déçu, se conclut sur un symbolisme fort et japonisant très réussi.

Trois jours après l'avoir achevé, je ne sais toujours pas si j'ai aimé ce recueil ou si je n'ai pas accroché. Il y a dans ces histoires une force littéraire indéniable, et Thomas Day est certainement un grand auteur de l'Imaginaire français. Il faudra cependant que je lise ses romans pour voir ce sentiment confirmé. Ma note se situe vers 3.5/5 (plutôt positif, donc).
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Tout d'abord merci à Babelio, masse critique, et aux éditions folio SF pour cette découverte.
Que dire de se livre, il s'agit d'un recueil de 6 nouvelles, plus ou moins post apocalyptique, très différentes les unes des autres que se soit par leur monde ou par leur qualités.
Donc allons y dans l'ordre :
Une forêt de cendre :
On se retrouve dans un monde londonien ou la végétation a plus ou moins pris le dessus, avec un retour aux ancienne monarchie. Un lord de réputation fort cruel vient donc au service de la reine pour aider une révolution.
Un texte de 70 pages, assez faible dans son histoire, plein de chose y sont amener (on croirais presque que certaine partie on servi d'exemple au célèbre games of trone) mais peu sont ammenés à thermes, et on au final peut d'intérêt pour l'histoire en elle même. Qui reste très classique.

A l'heure du loup :
Dans cette très courte nouvelle d'à peine 30 pages (et heureusement), on se retrouve à assister à la fin de l'humanité à travers deux fillettes et leurs parents malades, au profit des loups et hommes-arbres.
Une histoire qui n'a pas d'intérêt, malheureusement, on ne s'attache pas au personnage, on s'ennuie profondément pendant tout le temps de la lecture. Heureusement cette histoire est courte et s'oublie très vite.

L'erreur :
Nouvele plus longue de 70 pages. Qui se passe dans un monde contemporain, ou tous est géré par Big mama et ses princes, cette dernières gérant la surinformation du monde et impose une taxe pour tous. On suis donc l'histoire d'un de ses princes qui a déserter les rends mais qui fini par y revenir.
Nouvelle qui pourrais donner un bon film d'action américain, mais dont le scénario est laborieux à lire. Je n'est toujorus pas réussi a trouver le talent de l'auteur ici c'était long sans interêt, on ne comprend pas vraiment les revirement des position, ou l'action de la drogue que big mama utilise pour l'obligerr à revenir....

Arrivé à la fin de ses trois nouvelles, je me sentais un peu blasé de se livre dont j'attendais certaine chose, et qui vraiment n'apporte rien du tout. Et oui mais c'était sens compter sur les trois dernière qui sont de pur merveilles.

La mécanique des profondeur :
Nouvelle d'une cinquantaine de page relatant l'histoire de Naüsica (pas celle de Myasaki) mutante, fille d'un peu tueur les plus rechercher du moment, vivant dans un Amsterdam englouti par les flots. Cette dernière mi femme mi poisson (non pas une sirène ni un thon), policière spéciales nettoyeuse de "bulles" ou se fond les pires trafiques d'arme et de drogue, tout ça pour essayer de retrouver son père dans cette faune aquatique mutante.
Une nouvelle poétique tout en restant meurtrière, la on trouve enfin le talent de Thomas Day qui signe ici une nouvelle d'une très bonne facture, ou l'on attend impatiemment de savoir se qu'il s'y passe et l'on regrette qu'il ne s'agisse que d'une nouvelle, la fin laissant un peu sur ça faim si je puis dire.

La notion de génocide nécessaire :
Nouvelle la plus longue de quasi 100 pages, et une apothéose, un genre de merveille, sans l'ombre d'un doute la meilleur du recueil.
On suit donc Ismaël, membre de l'ONU, dans sa tentative pour convaincre les nomades mongoles de se faire implanter une puce de repérage, dans le but d'un traité avec des extraterrestre.

On se retrouve ici au coeur du pays mongole, un monde plein d'humanité, ou un homme essaye de sauver les coutumes d'une peuplade pleine de rêve, et de principe qui semble naturel. Comment un homme peut réussir a luter et a gagner contre le monde. Un magnifique hymne à l'espoir et à l'humanité. A lire et relire.

Démon aux yeux d elumière :
Nouvelle d'une cinquantaine de page, et dernière du roman. On suit ici Loki démon de la mythologie nordique rendu célèbre par les films Thor et The Avengers, Qui après avoir detruie le monde par vengeance essaie de rattraper ses connerie.

Cette nouvelle bien que moins bonne que la précédente reste très bonne. on suit un démon qui devient au fur et a mesure de l'aventure humain grâce à l'aide d'une humaine trouver par hasard.

Unbe note un peu médiocre pour ce recueil ou les trois premières nouvelles mon semblé passable et sans fond, alors que les trois dernières sont tout simplement une pur merveille d'humanité et valle le coup d'être lu et relu.
Merci pour cette découverte.
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Chronique basé sur la version Redux.
Le pitch tient ses promesses, « Sympathies for the devil » nous offre six variations de la fin du monde et elles sont plutôt bonnes, démontrant la créativité de Thomas Day. Si « A l'heure du loup » est le texte qui me parle le moins, il n'est pas mauvais pour autant, juste pas mon style. « L'Erreur » et « La Notion de génocide nécessaire » sont probablement les textes que j'ai préférés, mais l'auteur a aussi su m'étonner avec son « Démon aux yeux de lumière ». Six bons textes qui ont comme point commun un style inimitable, sombre, cru, parfois trash, souvent violent, toujours percutant, mais qui dégagent une franchise et une honnêteté qui font mouche à chaque fois que je lis un texte de l'auteur.
Lien : https://blogconstellations.h..
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En tant que fan de nouvelles sf et fantastique j'ai mordu avec joie dans ce recueil et je me suis cassé les dents... Je n'ai pas réussi à rentrer dans les textes, je n'ai pas compris certaines histoires bref je ferme ce recueil je l'oubli et retourne voir Brown, Dick et Asimov.
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Sympathies for the devil est d'abord le titre d'une chanson des Rolling Stones, ici ce sont six récits apocalyptiques. Six histoires où l'homme est l'auteur de sa propre destructions mais aussi acteur de sa renaissance.
Le texte peut être brutal, cru mais séduisant et drôle par instant, un livre pour découvrir Thomas Day. Une fenêtre sur la cour de cet auteur formidable.
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