Alain Devaquet/5
2 notes
Résumé :
4° de couverture :
(Edition source : Odile Jacob - 02/1998)
Alerter, dire qu'il nous est notre possible, pour un temps, de construire une université et ne recherche à la mesure du talent des enseignants et chercheurs qui les peuplent, du sérieux des étudiants qui les fréquentent, du rayonnement d'une France qui les nourrit.
(Edition source : Odile Jacob - 02/1998)
Alerter, dire qu'il nous est notre possible, pour un temps, de construire une université et ne recherche à la mesure du talent des enseignants et chercheurs qui les peuplent, du sérieux des étudiants qui les fréquentent, du rayonnement d'une France qui les nourrit.
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Critiques, Analyses et Avis (1)
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Livre très intéressant d'Alain Devaquet, relatant les fameuses manifestations estudiantines du projet de loi qui portait son nom.
Ancien homme lige de Jacques Chirac à la tête du RPR, il préféra, à la fin des années 70, laissé son poste à d'autres, car le marigot politique ne l'intéressait guère, conservant en permanence, la confiance de Jacques Chirac.
Revenu au pouvoir en 1986, c'est tout naturellement, que ce dernier l'appel au gouvernement, à la Recherche, son réel domaine de compétence.
Il "tombera" sur le fameux projet de loi à son nom, mais totalement dénaturé par les ultras de son camp.
Et en loyal homme lige qu'il aura toujours été, de Jacques Chirac, il acceptera de se "sacrifier," afin de "couvrir" son ministre de tutelle, René Monory, l'un des rares barons de l'UDF qui ne soutiennent pas Raymond Barre, mais Jacques Chirac, en perspective des présidentielles de 1988.
Ancien homme lige de Jacques Chirac à la tête du RPR, il préféra, à la fin des années 70, laissé son poste à d'autres, car le marigot politique ne l'intéressait guère, conservant en permanence, la confiance de Jacques Chirac.
Revenu au pouvoir en 1986, c'est tout naturellement, que ce dernier l'appel au gouvernement, à la Recherche, son réel domaine de compétence.
Il "tombera" sur le fameux projet de loi à son nom, mais totalement dénaturé par les ultras de son camp.
Et en loyal homme lige qu'il aura toujours été, de Jacques Chirac, il acceptera de se "sacrifier," afin de "couvrir" son ministre de tutelle, René Monory, l'un des rares barons de l'UDF qui ne soutiennent pas Raymond Barre, mais Jacques Chirac, en perspective des présidentielles de 1988.
Citations et extraits (1)
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Ce qui m'intrigue et m'intéresse, c'est la forme et les formulations, la maille et le jeu des aiguilles. Et là, c'est un vrai plaisir. La litote, dire moins pour faire entendre plus, la nuance, suggérer beaucoup en dévoilant peu, sont élevées chez Édouard Balladur, à la dignité de grand art et de principe constitutionnel.
Ce qui m'intrigue et m'intéresse, c'est la forme et les formulations, la maille et le jeu des aiguilles. Et là, c'est un vrai plaisir. La litote, dire moins pour faire entendre plus, la nuance, suggérer beaucoup en dévoilant peu, sont élevées chez Édouard Balladur, à la dignité de grand art et de principe constitutionnel.
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