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3,65

sur 6854 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Joël Dicker a enfin sauté le pas en choisissant de situer l'intrigue de son nouveau roman chez lui, en Suisse, et non plus aux Etats-Unis comme auparavant. Malheureusement ça n'a pas suffi pour me faire apprécier cette histoire policière beaucoup trop longue à mon goût. Dans ce roman, Joël Dicker se met en scène : il écrit un roman sur un mystérieux meurtre qui a été commis des années plus tôt dans la chambre 622 d'un grand palace à Verbier, chambre qui a ensuite été rebaptisée chambre 611bis. Toute cette histoire tourne autour de la direction d'une grande banque genevoise : la banque Ebezner. Macaire, l'héritier légitime, risque de se faire voler la présidence par un certain Lev Levovitch qui n'est autre que l'amant de sa femme, Anastasia. Macaire est prêt à tout pour que ça ne se produise pas. Joël Dicker fait de multiples allers-retours entre l'époque du meurtre, ce qui s'est passé 15 ans avant et l'époque de l'enquête. C'est bien fait puisqu'on ne se perd jamais mais c'est une intrigue inutilement alambiquée, avec des personnages caricaturaux (notamment celui de Macaire Ebezner) qui ne sont pas du tout crédibles. Une déception qui confirme celle ressentie à la lecture de son précédent roman La disparition de Stéphanie Mailer. J'avais pourtant beaucoup aimé La vérité sur l'affaire Harry Québert et le livre des Baltimore : les personnages étaient beaucoup plus complexes. A force de vouloir enchaîner les rebondissements dans son intrigue, Joël Dicker m'a lassée.
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C'est toujours une joie pour moi de me plonger dans un roman de Joël Dicker, tant j'ai passé de bons moments en compagnie de ses précédents romans (Harry Quebert et le Livre des Baltimore notamment). Pourtant ici, avec L'énigme de la chambre 622, je n'ai pas retrouvé cette petite étincelle qui avait pu m'animer lors de ces lectures...
Encore une fois, l'intrigue proposée nous promène entre différents personnages et différentes époques. En 2018, un écrivain (en l'occurrence Joël Dicker...) se rend au Palace de Verbier pour y passer des vacances au calme après une peine de coeur. Il est intrigué de découvrir qu'à son étage, il existe la chambre 621 et la chambre 621 bis. En posant quelques questions, il découvre qu'un meurtre a eu lieu plusieurs années auparavant dans la chambre 622, meurtre jamais élucidé. Pour tourner la page de ce fait-divers, le Palace a donc décidé de renommer la chambre 622 en 621 bis. le début de l'enquête pour l'écrivain et sa voisine de chambre, Scarlett.
Les ingrédients restent les mêmes, Joël Dicker nous promène tout au long du roman, et lorsque l'on pense toucher du doigt la bonne réponse, les cartes se mélangent à nouveau. Toutefois j'ai été moins sensible à l'environnement dans lequel se déroule l'intrigue, et surtout je n'ai pas vraiment apprécié le fait que Joël Dicker se mette en scène en étant un personnage du roman. Certes, cela reste original et il en profite pour rendre ainsi un bel et touchant hommage à son éditeur Bernard de Fallois qui a beaucoup compté pour lui, mais c'est un point qui m'a étrangement dérangé...
Une lecture en demi-teinte donc : je me suis laissée porter par l'histoire, mais n'ai pas pris autant de plaisir à lire ce roman que les précédents...
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J'ai attendu plusieurs jours avant d'écrire ces quelques lignes, ne sachant pas vraiment ce que j'allais écrire. C'est le troisième livre de Joël Dicker que je lis avec toujours une constante : ce sont des livres que l'on m'offre. Les 2 précédents, je me souviens avoir passé un moment agréable le temps de les lire mais pour ce qui est des histoires, aucun véritable souvenir. Ici j'ai l'impression que cela va être la même chose. J'ai apprécié le lire, même si parfois j'ai dû faire des petits retours en arrière pour me repérer dans la chronologie mais je sens que dans un an voire moins , je ne me souviendrais de plus grand chose. Ainsi vont les choses, et cela arrivera encore certainement...
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Voilà que je referme mon second livre de Joël Dicker.
Rarement un livre ne m'aura autant partagé intérieurement que celui-ci. Je crois que je l'ai à la fois détesté et aimé, laissez-moi donc svp vous expliquer pourquoi.
Tout d'abord, les premières pages et la plongée dans l'histoire m'ont littéralement fait pleurer de dépit tellement ce fut niais et à la limite du mauvais.
Je me suis même demandé si ce n'était pas une grosse farce ce livre…
Était-ce bien l'auteur qui avait écrit La vérité sur l'affaire Harry Quebert qui nous avait pondu ce truc ??
Mauvais dialogues, personnages caricaturaux, on frôlait là un arrêt prématuré de la lecture… Et puis, je me suis un peu accroché et j'admets volontiers que je me suis laissé gentiment emporté par l'intrigue malgré toutes les difficultés précitées.
C'est bien là le tour de force de l'auteur, sous des abords simplistes, il nous entraîne dans une enquête plutôt complexe, avec des flashbacks récurrents dans plusieurs époques de la vie de nos protagonistes.
Finalement, la sauce prend et on ne s'ennuie jamais au fil de l'histoire.
Cela reste donc un livre facile à lire, pour celui qui saura faire abstraction rapidement de ses nombreux défauts.
Le moment fort de l'intrigue est un peu tiré par les cheveux, mais néanmoins cela n'entache pas totalement le plaisir.
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J'ai découvert cet auteur avec " La vérité sur l'affaire Harry Quebert " . Roman que je n'avais pas spécialement apprécié. J'ai regardé défiler la suite de ses parutions sans me sentir concernée. Et ma soeur, qui est une inconditionnelle de l'auteur, m'a prêté celui-ci en me le conseillant fortement. Ok, pourquoi pas après tout ,

Quelle déception !!
Je me suis plongée facilement dans les premières pages où l'histoire se met en place gentiment. Mais rapidement, au bout d'une centaine de pages, je trouve que l'histoire tourne en rond. Les personnages sont dénués de profondeur, de psychologie. Pire on accumule les clichés .

C'est très long voire même trop long pour susciter un intérêt quelconque à cet imbroglio de personnages, d'intrigues abracadabrantesques ....
Pour ma part ce sera le dernier livre de cet auteur que je lirai, je n'adhère pas au style tout simplement.
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J'ai bien aimé "Quebert" et "Baltimore" (désolé, la flemme d'écrire les longs titres ....) mais là j'ai été profondément déçu: j'ai eu bien du mal à m'attacher aux personnages, et l'intrigue m'est paru plate, mais plate .... dommage, j'espère trouver mieux dans ses prochains ouvrages.
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Effectivement, ce n'est pas le meilleur opus de Joël DICKER (sera-t-il capable d'égaler de nouveau, un jour, le niveau de "la vérité sur l'affaire Harry Quebert" ?).
Je comprends les nombreuses critiques des babelionautes, gênés par les incessants allers-retours temporels qui finissent par perdre le lecteur. Bien qu'il s'agisse d'une des caractéristiques d'écriture de cet auteur, il est vrai que cette technique, poussée à son paroxysme à travers l'histoire de Lev, Macaire et Anastasia, finit par lasser.
Toutefois, JD reste très talentueux à manipuler ses lecteurs grâce à l'imbrication d'un scénario envisagé tour à tour à travers les yeux des différents personnages et ce, jusque dans les dernières lignes du livre.
Lorsque l'on pense avoir découvert le coupable, un nouveau rebondissement / tout de passe-passe fait repartir l'énigme.
J'ai trouvé intéressant le choix de ne dévoiler l'identité de la personne qui a été assassinée que dans la dernière partie de l'histoire car toutes les hypothèses restent permises, et on est tout aussi curieux de découvrir qui a tué, de qui a été tué..
De nombreuses clés sont données dès le début du roman pour nous aiguiller dans cette enquête, encore faut-il y prêter attention ;)

En revanche, je n'ai pas du tout compris l'intérêt de l'auteur de se mettre en scène dans le rôle du séducteur-enquêteur que tout le monde connaît, et devant lequel tout le monde se pâme d'admiration (combien de fois peut-on lire : "c'est vous l'Ecrivain ?" au cours des 500 pages du livre ???).
Tout comme la volonté de JD de rendre hommage à son éditeur, monsieur de Fallois ?
Certes, cela peut se comprendre au regard de l'affection qui existait entre les 2 hommes, et de l'admiration que JD portait à ce père spirituel; mais pourquoi le faire de cette manière ?
Et que dire de la morale de cette histoire?
Celui qui a manipulé, trompé et utilisé son entourage finit par retrouver celle qu'il aime et vivre avec elle et leurs 2 enfants dans le somptueux palace dont il a hérité; alors que celui qui a été manipulé, trompé et utilisé...finit seul, en plus d'avoir été dépeint comme un benêt pendant les 500 pages du livre.
Au final une lecture pas désagréable, mais qui reste mitigée.


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Le narrateur, Joël (l'auteur, L'Ecrivain) tente d'écrire un nouveau roman, en hommage à son éditeur décédé quelques mois plus tôt. Obsédé par son livre, il laisse passer l'occasion d'une histoire avec sa voisine. Son assistante s'absente une quinzaine de jour, sa voisine aussi.
La solution? Partir, changer d'air. Nous le suivons alors sur le lieu de villégiature choisi, un palace, à Verbier, en Suisse.
Il est logé dans la suite 623. Tiens, pourquoi les chambres précédentes sont 621 et 621 bis? Où est la 622.
Et c'est comme un défi lancé à une jeune femme rencontré dans l'hôtel et avec qui il échange, qu'il se lance avec elle à la recherche de l'énigme de la chambre 622.

Nous plongeons alors dans deux histoires parallèles. D'une part cette recherche, d'autre part, ce qui s'est réellement passé autour de cette chambre quelques années plus tôt.

Jusqu'à la chute dans les derniers chapitres. Je n'en dirai pas davantage, mais du point de vue de l'intrigue, l'auteur a su me balader.

Par contre, j'ai un bémol avec l'écriture, notamment au début, que j'ai trouvé un peu poussive. Des évènements, des rencontres se télescopent, et ça sent un peu trop le ''fait exprès'' pour les besoins de l'intrigue.

Une lecture qui ne restera pas dans les annales.

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Facile, cousu de fil blanc, peu importe l'expression, l'énigme de la chambre 622, si elle contient un certain suspens, ne révèle rien d'un talent d'écrivain. Mais pourquoi se compliquer l'existence quand on a déjà la célébrité dans le genre et que le seul nom incite le lecteur à ouvrir le livre ? Lu sur une liseuse, en confinement, je n'ai cependant pas démissionné et j'ai quand même - parfois- salué les GROSSES ficelles que M.Dickers manipule comme un marionnettiste de talent !
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Quand Joel Dicker est venu présenter ce livre à la grande librairie, il a expliqué que suite au décès de son éditeur qu'il appréciait beaucoup il a voulu écrire sur leur amitié.
Effectivement ce livre est un peu autobiographique vu qu'il est le personnage de l'écrivain et qu'il parle de sa relation avec son éditeur.
Il va dans un hôtel en Suisse et rencontre sa voisine de chambre qui lui fait remarquer qu'il n'y a pas de chambre 622.
Et tout en enquêtant il lui parle de son éditeur
L'énigme nous emmène quelques années plus tôt dans cet hôtel lors d'un gala de banquiers.
Par contre, on part vers un triangle amoureux avec des manipulations peu réalistes.
Le livre parle d' une romance mais quand on apprend le livre préféré de l'éditeur, on comprend pourquoi
J'avoue avoir lu en diagonale car un peu trop d'imbroglio
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