L'énigme de la chambre 622

un brin déçue
Je ne sais pourquoi mais ce livre je l'ai trouver hyper long je n'es pas réussi a entrer dedans, pourtant l'idée était bonne et c'était peut-être pas pour moi l'heure de le lire mais voilà...en tous les.cas.je ne l'est pas mis de côté car j'aime pas arrêter un livre, je me dis toujours qu'il peux rebondir lol

Ecrivain à succès, Joël part noyer un chagrin d'amour au palace de Verbier, dans les Alpes suisses. Intrigué par l'absence de chambre 622, il mène l'enquête. Joël Dicker excelle dans la construction de ses romans avec une mise en abyme et un récit sur plusieurs époques. La recette est connue et efficace mais freine la surprise et le renouvellement. La lecture est plaisante avec son lot de retournements plus ou moins prévisibles.

J'ai découvert Joël Dicker avec la lecture de @La vérité sur l'affaire Harry Quebert

Cette fois encore, je suis rentrée facilement dans l'histoire. Je retrouve le style d'écriture que j'avais apprécié, facile à lire, des chapitres courts et rythmés, avec des flash-back, qui permettent de s'immerger rapidement dans l'histoire, à la manière des séries télévisées actuelles. Les 569 pages filent à toute allure et l'intrigue s'accélère sur la fin, peut-être un peu trop. En effet, trop de rebondissements tuent le rebondissement et surtout, de mon point de vue, nuisent à la crédibilité de l'histoire. Nous sommes bien d'accord, il s'agit d'une fiction, mais j'aime que les faits restent un minimum réalistes ; sur ce point, j'ai été un peu déçue.

Pour autant, c'est une lecture à laquelle j'attribue un 4/5. J'ai passé un bon moment, avec l'impatience de trouver quelques minutes pour découvrir la suite. Et tout comme avec une bonne série télévisée, une petite pointe de déception d'avoir déjà terminé ma lecture.

Je recommande ce livre.

Challenge Mauvais Genre 2021

Il faut reconnaître de réelles qualités à ce roman. La construction est celle d'un architecte fan de lego et les sauts dans le temps soulignent une mécanique narrative sans accroc. Avouons aussi que s'il n'est pas révolutionnaire d'ignorer le pédigrée d'un tueur avant le dénouement de l'intrigue, il est plus rare de devoir deviner aussi l'identité de la victime. L'auteur connaît bien son affaire, le lecteur est manipulé par un osthéo du suspense qui malaxe son récit de faux semblants et il y a tant de rebondissements dans l'histoire que nous ne sommes pas loin d'une compétition de trampoline. J'ai trouvé ce côté feuilletonesque plutôt divertissant. le rythme s'accélère au fil des chapitres de façon opportune pour capter l'attention et la fin du récit, imprévisible, ressemble au dénouement d'un épisode de série où les masques tombent au propre comme au figuré. le cahier des charges d'un bon polar est donc rempli selon moi. Ce qui m'a enthousiasmé, ce sont ces pages de mémoire et d'hommage d'un jeune auteur à son père spirituel (Bernard de Fallois). Ce qui m'a plu c'est l'évocation de la Suisse, de ses montagnes et de ses lacs, de ses hôtels et de ses banques.

Un superbe livre haletant avec des situations les unes plus rocambolesques que les autres

Je me suis beaucoup plu dans cette chambre 622. Les personnages sont nombreux et complexes. Difficile (impossible devrais-je dire) de dénouer l'intrigue avant les dernières pages du livre.
En plus, il y a de l'originalité (mais je ne peux en dire plus pour ne pas spolier) dans cette histoire même si certains évènements mériteraient d'être expliqués à posteriori.
Bref, bonne adresse à visiter cet été.

Bonjour, Chronique de ce polar en retour de lecture.

Après une rupture amoureuse et à la mort de son éditeur, Joël, surnommé "L'Ecrivain", s'en va dans les Alpes suisse, au Palace de Verbier, pour des vacances bien méritées. Il n'imagine pas que ses vacances ne seront pas de tout repos et vont lui permettre de résoudre une énigme irrésolue du passé : celle de la chambre 622.

J'ai bien aimé ce roman. le deuxième que je lis de Joël après "Harry Quebert". Toujours ce style inimitable, ces longueurs qui en disent long mais pourtant jamais assez. J'ai apprécié plonger au coeur de ce roman au décor naturel des Alpes suisses époustouflant, avec une intrigue amoureuse entre trois protagonistes et son intrigue principale sur le milieu bancaire.

Beaucoup de tractations sont conclues, le monde des affaires et des banques avec des directeurs aux dents longues veulent s'approprier leur part du gâteau et la gloire qui va avec. Des coups bas, des rebondissements en cascade, la bataille pour le pouvoir se gagne à la sueur des trahisons et des jalousies.

Rien n'est épargné aux personnages, le lecteurs sait absolument tout ce qu'il y a à savoir sur leur vie, les moments clés qui les ont amenés là où ils doivent être. Jamais je n'aurais imaginé une fin pareille, la découverte de la solution à cette énigme a été travaillée de manière magistrale.

Le rythme des chapitres courts qui s'enchainent bat son plein. Les nombreux flashback sont là pour assoir la crédibilité des protagonistes parce qu'ils ont tous un secret bien gardé. L'hommage à son éditeur tout au long du récit est rempli d'émotion. Une bien belle lecture de ce roman qui se feuillette facilement malgré le pavé.

Bonne lecture amis Lecteurs
Lien : https://lecture-chronique.bl..

"L'Énigme de la chambre 622" de Joël Dicker est un roman policier complexe et habilement construit, qui se distingue par son cadre intrigant et son enchevêtrement de mystères. Dicker démontre une fois de plus sa maîtrise dans la création d'une intrigue riche et multidimensionnelle, où chaque détail semble avoir son importance dans le déroulement de l'histoire.

Le cadre, un hôtel luxueux dans les Alpes suisses, ajoute une couche de glamour et de mystère à l'histoire. La manière dont Dicker entrelace le passé et le présent est particulièrement remarquable, permettant aux lecteurs de se plonger profondément dans l'enquête. L'intrigue se déploie lentement, révélant ses secrets par couches successives, ce qui maintient le suspense et l'intérêt tout au long du roman.

Toutefois, certains pourraient trouver le rythme de l'histoire un peu lent, en particulier dans la première moitié du livre. de plus, bien que les personnages soient bien dessinés, certains pourraient sembler un peu stéréotypés ou manquer de profondeur.

En somme, "L'Énigme de la chambre 622" est un roman policier sophistiqué et bien conçu, offrant une lecture captivante pour les amateurs de mystères et de thrillers. La capacité de Dicker à tisser des histoires complexes avec des rebondissements inattendus est à nouveau en pleine démonstration dans ce roman.

J'ai toujours dévoré les livres de Joël Dicker, j'avais hâte de lire L'énigme de la chambre 622 pour me faire mon propre avis. Personnellement j'ai fais plus de pauses que d'habitude, j'ai eu du mal à reprendre. C'est qu'après les 300 pages que je ne voulais plus lâcher ce livre. Les personnages étaient intéressants surtout Scarlett que j'ai apprécié, l'histoire m'intriguais aussi. Un meurtre dans la chambre 622, à l'époque de Macaire Ebzener un futur président de la banque, sa femme Anastasia, son employé Arma, la famille Levovitch: Sol le père er Lev le fils qui est adoré de tous. Joël l'écrivain veut prendre du repos suite au décès de son grand ami, son éditeur. Cette sorte d'hommage m'a plu, ainsi que le fait d'être dans la peau de l'écrivain, de suivre les avancées de son ouvrage. Par contre les allers retours entre toutes les époques différentes ça m'a désintéressé. J'avais trop de mal à suivre j'ai parfois du relire plusieurs fois le même passage.
L'écrivain va dans l'hôtel Verbier et découvre que la chambre 622 à été remplacé par la 621 bis et de là commence son enquête à l'aide de Scarlett. En résumé j'ai aimé malgré que c'était parfois long, le dénouement de l'enquête était difficile à suivre mais j'ai été agréablement surprise d'avoir des réponses même si j'avais deviné le coupable

Encore un super moment de lecture passé avec ce nouveau roman de Joël Dicker qui nous entraine cette fois en Suisse entre Genève et un palace au coeur de la montagne. J'ai beaucoup aimé le cadre ainsi que l'intrigue passionnante et les multiples surprises que nous réserve l'auteur. Il est vraiment fort et je me suis laissé duper pour mon grand plus bonheur. Un seul regret, je comprends l'hommage à l'éditeur mais j'ai fait une légère saturation des merci Bernard, un peu trop éloquent sans vraiment se raccrocher à l'intrigue. À part ça, un très bon roman que je vous recommande