Avant tout, merci Babelio pour cette Masse Critique issue du catalogue décalé du Diable Vauvert.
«
Générique de fin» est un roman noir français reprenant les codes espagnols (autofiction, inspiration borgésienne, ambiance citadine, réalisme magique...) qui se lit avec plaisir et d'une bouchée. Mais peut-être trop vite, 155 pages en grands caractères, les suje à peine effleuré et une trame narrative (un auteur en mal d'une suicide ses créations) déjà exploitée... Dommage, quelques saillies de l'auteur me font dire que ce roman aurait pu être plus que seulement «sympa».