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Cell. 7 tome 2 sur 2
EAN : 9782011712776
Hachette Romans (30/08/2017)
3.72/5   25 notes
Résumé :
En Grande-Bretagne, c'est un jury populaire qui décide du sort des prisonniers à travers une émission télévisée. Martha est sortie indemne de son jugement, mais elle a échoué dans sa volonté de dénoncer cette pratique. Maintenant, c'est la vie de son ami Issac qui est en jeu. Etant surveillée sans répit, Martha ne sait comment l'aider.
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Critiques, Analyses et Avis (12) Voir plus Ajouter une critique
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J'ai un ressenti nettement plus partagé pour « La mort vous attend » que pour le premier opus… En effet, j'avais quelques attentes comme des points faibles moins présents et un renouveau côté scénario. Hélas, l'auteure n'a pas su innover : elle a proposé un récit assez similaire à « La mort vous regarde », sauf que l'on est cette fois-ci du côté d'Isaac pendant que Martha tente de faire de son mieux pour le sauver… C'est donc l'inverse, ce qui est bien dommage… du côté des défauts, rien n'a changé : ce monde futuriste est toujours aussi flou (il n'y a aucune nouvelle info ou approfondissement !), les personnages sont très manichéens, les rebondissements sont souvent prévisibles et il n'y a pas beaucoup d'action (même si le suspense reste présent grâce à la traque de Martha ou à l'échéance qui arrive progressivement). C'est regrettable, surtout pour l'univers que j'avais réellement envie de découvrir davantage… Certes, cela reste une lecture assez prenante toutefois cela n'est pas suffisant à mes yeux…

En revanche, les qualités de cette saga restent les mêmes notamment du côté des thématiques abordées ! On est toujours dans la manipulation de masse, la corruption, la propagande, le financement par les votes et, bien sûr, l'idée de justice grâce à la télé-réalité. Cette suite renforce cette perversion des médias ainsi que les abus de cette nouvelle société. Par exemple, dans le premier chapitre, on assiste au jugement d'un manifestant qui n'a fait que brandir une pancarte et a écopé de sept ans de prison… le système est encore plus poussé à l'extrême et fait assez frémir… On espère que notre monde n'en arrivera jamais là ! D'autant plus que seules les classes aisées ont la parole, puisqu'il faut obligatoirement payer pour être dans le public ou faire partie des trois votants devant trancher certaines affaires… J'ai de nouveau apprécié ce système pointé du doigt qui, quand on y réfléchit, est malheureusement loin d'être improbable !

Pour donner du rythme à son livre, Kerry Drewery continue de proposer des chapitres courts ainsi qu'une narration se plaçant aux côtés de plusieurs personnages. On retrouvera donc Isaac, Martha, Eve, son fils Max, Mme B., les animateurs de ce show mortel, le premier ministre qui m'a fortement rappelé un antagoniste d'Hunger Games et bien d'autres. Ces changements de points de vue sont toujours un atout. Malheureusement, l'intrigue va surtout tourner autour de Martha qui va devoir faire preuve de courage, de détermination et d'énergie. J'espérais surtout que son vécu lui aurait apporté plus de jugeote et qu'elle aurait compris qu'elle ne peut pas faire confiance à tout le monde, mais ce ne fut pas le cas… Bien sûr, on est sur du roman pour adolescents et il faut ajouter de la tension avec des éléments dramatiques, mais quand même… J'ai trouvé cette héroïne trop crédule, ce qui ne colle pas avec ce qu'elle a traversé…

Quant au dénouement, j'avoue avoir été assez déçue. Je n'ai pas nécessairement envie de me jeter sur le troisième opus (qui n'est toujours pas sorti après deux ans… le sera-t-il un jour ?!), car j'ai trouvé que l'on avait fait un énorme bond en arrière… C'est lassant ! Je sens que l'on va encore une fois se trouver sur le même type de scénario, avec sans doute le soulèvement tardif de la populace… Ce qui me déplairait, car ce serait trop classique ! Je pense donc m'arrêter là néanmoins, si le troisième opus sort un jour, j'irai me spoiler la fin en allant en librairie… Si celui-ci me plaît, j'envisagerai d'acquérir la suite, car cela reste une saga distrayante, efficace et avec des sujets pertinents.
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Le premier tome de Cell.7 m'avait laissée coite d'étonnement et passablement écoeurée. C'est le genre de roman qui est légion dans le paysage young-adult actuel, mais je ne m'en lasse jamais, parce qu'il n'en faut pas davantage pour réveiller mon côté rebelle mécontent. J'avais surtout aimé ce compte à rebours menaçant qui rendait mes mains moites d'appréhension, et le destin funeste qui se resserrait autour du cou de Martha, l'héroïne. J'étais vraiment curieuse de connaître la suite, après une fin qui nous avait obligés à prendre un virage à 360°C.

Dans La mort vous attend, nous retrouvons nos personnages là où nous les avons laissés. Coup de tonnerre sous les yeux des caméras, Martha Honeydew a réchappé à la peine capitale, grâce à un retournement de situation inattendu. C'est Isaac Paige, son petit ami, qui prend sa place dans la Cell.1, après avoir annoncé qu'il avait tué son père. Martha et ses alliés n'ont que 7 jours. 7 jours pour prouver qu'Isaac a agi parce qu'il n'avait pas d'autre choix. 7 jours pour convaincre un public qui a soif de sang. 7 jours avant que le jeune homme ne subisse la peine de mort.

Je suis très vite retombée dans cette spirale infernale qu'est Cell.7. Cette échéance immuable, les jours qui s'égrènent, le collet qui se resserre. Rien de mieux pour tenir un lecteur en haleine, attendant un verdict couru d'avance. C'est avant tout pour ça que j'aime bien cet univers.

C'est gros – c'est même très gros –, mais ça marche. On se sent révolté la majeure partie du temps. J'ai eu des élans de fureur à l'encontre des personnages ; il m'arrivait de lever les yeux de mon livre et d'émerger, complètement à l'ouest, avec la certitude que cette société pourrie jusqu'à l'os existait bel et bien.

Le plus effrayant là-dedans, c'est que ce n'est pas un scénario si gratiné que ça. À l'ère de la télé-réalité, l'intrigue de Cell.7 est tout à fait crédible et il n'est pas impossible d'en arriver là si on pousse les choses à l'extrême. Nous vivons dans une société qui n'hésite plus à faire grimper les audiences en étalant l'intimité des gens et en la jetant en pâture aux curieux. Les limites se brouillent déjà en 2018… ne pourrait-on pas imaginer pire encore pour les années à venir ?

Et dans cette société qui se veut efficace, révolutionnaire et moderne, on s'aperçoit que subrepticement, les schémas de l'Histoire se répètent. On tend à retomber dans les vieux travers qui ont marqué nos époques : ceux du contrôle, de la propagande, des mensonges. Chantage et menaces sont le lot de ceux qui refusent d'entrer dans le moule. 

Les autorités ne reculent devant rien pour contrôler l'opinion publique, allant jusqu'à se lancer dans des entreprises de déconsidération à l'égard de Martha. Plus les jours passent, plus Isaac se rapproche de la Cell.7, et plus Martha et tous ceux qui sont en possession de la vérité sont ignorés, raillés, calomniés. Il n'y a rien de plus frustrant que d'assister à cette débandade. Comme le dit si bien Martha, cette société qui se veut plus brillante que toutes les autres ne repose que sur trois mots :

"Apathie. Ignorance. Lâcheté." 

La manipulation de masse est parfaitement décrite. Même si l'intrigue est parfois cousue au gros fil, on se laisse facilement prendre au jeu et on découvre les dessous cachés du gouvernement avec horreur et colère. On s'aperçoit par exemple qu'en contrôlant l'opinion publique, le Premier Ministre s'assure les pouvoirs pleins et entiers, tout en s'appliquant avec beaucoup de soins à décrédibiliser Martha et ses alliés. Il est tellement facile de le haïr, cet homme-là.

Plus difficile encore, c'est d'assister à la crédulité des citoyens. On se rend compte que les monstres ne sont pas nécessairement les meurtriers présumés, mais le public, les spectateurs qui tolèrent, adhérent et encouragent ces pratiques. le gouvernement appuie sur leurs peurs en misant sur leur petit confort douillet qu'ils ne veulent quitter pour rien au monde. C'en est presque caricatural.

Et de la caricature, c'est un des aspects de l'histoire qui ne m'a pas tellement plu. Je l'ai surtout ressenti lors des passages en champ avec l'animatrice Kristina. Ils m'ont semblé peu crédibles, presque parodiques. En revanche, les scènes avec le présentateur Joshua étaient particulièrement prenantes. Je ne décrochais pas un instant tant j'étais suspendue à chacun de ses mots. Elles restent à mes yeux les scènes les plus addictives et fluides du roman.

J'ai également eu quelques difficultés avec le manque d'émotion tout au long du roman. Cela tient essentiellement au fait qu'il y est énormément de dialogues, au détriment de la narration, parfois. Couplé à la plume sans fioritures, ça donne à l'histoire un aspect particulièrement épuré et simple, alors que j'aurais aimé quelque chose de plus creusé, avec plus de nuances. J'ai apprécié la construction de la dystopie, mais je ne me suis pas véritablement attachée aux personnages, je n'ai pas ressenti de grande empathie à leur égard, malgré les embûches qui sèment leurs parcours. J'ai aussi eu un problème avec Martha, censée être en cavale, mais dont la situation n'a de cavale que le nom. Elle va et vient avec une simple capuche et loge dans des bed & breakfeast…

En résumé, La mort vous attend est une suite rythmée, efficace – quoiqu'un peu en dessous du premier tome –, mais qui tient ses engagements et nous entraîne dans une dystopie effrayante à souhait. Même si je déplore un manque d'émotion et de crédibilité par moment, j'ai apprécié cette suite dans laquelle les événements échappent à tout contrôle.

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Un an que j'avais terminé le premier tome de Cell.7, un an que j'attendais avec impatience la suite de cette histoire.

Pour ceux qui ne connaissent pas la saga Cell.7, c'est une dystopie des temps modernes. La peine de mort a été rétablie sous forme de jeu de télé-réalité : tout le peuple a un droit de vote sur la sentence, chacun peut décider de la mort ou non du coupable présumé. Un système terrifiant, qu'a expérimenté Martha, une jeune fille jugée coupable de l'assassinat du milliardaire Jackson. Après sept jours de détention, Martha se trouvait dans la Cell.7, la dernière cellule où se trouve la chaise électrique. Persuadée de mourir ce jour, un surprenant retournement de situation a lieu et Isaac, son petit ami, se retrouve accusé à sa place. Martha s'en sort indemne, mais c'est au tour d'Isaac d'être enfermé dans le couloir de la mort. Martha et ses amis ont sept jours pour tenter d'interférer dans le système et de sauver Isaac.

Je retrouve les ingrédients que j'avais tant apprécié dans le premier tome : un rythme effréné, avec une histoire qui ne connaît pas de temps mort ; du suspense à chaque fin de chapitre ; des personnages attachants et surprenants.

Dans ce deuxième tome, Kerry Drewery va plus loin dans son intrigue et crée une propagande des temps modernes. On y voit plus clairement la mise en place de l'endoctrinement des masses via des médias popularisés, le bourrage de crâne des populations, les informations cachées, falsifiées, censurées… C'est une bonne alternative pour faire comprendre concrètement aux plus jeunes comment se crée les propagandes, comment elles évoluent et se dispersent à une population entière. Certains ne pourront s'empêcher de faire un parallèle avec la propagande nazie du XXème, qui a utilisé les mêmes moyens (détournement et censure des médias, barricadement des idées…) pour parvenir à leurs fins.

J'ai ressenti comme un sentiment de lassitude au courant de ma lecture. En effet, les personnages se retrouvent seuls à se battre contre une population entière. Quoi qu'ils fassent, où qu'ils aillent, ils seront rattrapés, jugés, condamnés. D'une certaine façon, on retrouve un peu le même schéma que dans le tome précédent, avec seulement une personne différente présente dans le couloir de la mort. Comment peuvent-ils espérer s'en sortir ? J'espère que le troisième tome apportera des idées un peu plus novatrices permettant de faire avancer l'histoire.

En tout cas, si je dois reconnaître un talent à Kerry Drewery, c'est qu'elle sait mettre l'eau à la bouche à ses lecteurs. La fin de ce second tome me laisse encore plus en haleine que la fin du premier. D'un côté, cela me plaît, puisque je vais avoir l'opportunité de revoir ces personnages que j'adore et de poursuivre la découverte de cette intrigue si prenante. D'un autre côté, je me désole en sachant pertinemment que le troisième tome ne sortira sans doute pas avant des mois… C'est un mal pour un bien !

Une dystopie dynamique et prenante, qui manie avec brio les outils de propagande des temps modernes. A glisser entre les mains de tous les adolescents.
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Ayant adoré le premier tome, il était évident que le 2 n'allait pas tarder à suivre. Même si j'avais un peu peur que le soufflet retombe, j'ai été surprise de découvrir que non, bien au contraire ! Comme le premier opus, j'ai dévoré celui-ci.

Depuis que Isaac a avoué devant tout le monde que c'est lui qui a tué son père pour protéger Martha, les règles ont changé. Maintenant emprisonné, il doit, tout comme Martha, passer ces fameuses 7 salles. À l'issue de ces dernières, les téléspectateurs décideront si oui ou non il est innocent. Mais est-ce que les téléspectateurs ont réellement voix au chapitre ?

Comment vous dire qu'à peine commencé cette lecture, j'ai su que j'allais le dévorer. J'avais du mal à m'empêcher de tourner les pages. Et comme le premier, j'ai enchainé les chapitres sans m'en rendre compte. Il faut aussi avouer que ces derniers sont assez courts et donc plutôt addictifs.

Bien que nous ne voyons pas autant Isaac que je l'aurais pensé, le suspense et l'intrigue nous tiennent en haleine. On se doute tout de même de la fin (après avoir lu le tome 1, cela paraît assez logique), néanmoins, l'auteure n'a pas hésité à pousser le vice, à tel point que la méchanceté de certains personnages est mise en avance. La méchanceté et la joie de faire souffrir.

Car oui, si vous ne l'avez pas encore compris, cette trilogie n'a rien de Bisounours, mais au-delà de tout cela, l'auteure fait aussi passer des messages importants. Elle pointe du doigt le fait que la société est plus pourrie qu'on ne le pense. Que même si les habitants croient avoir un certain pouvoir, le lavage de cerveau est tout de même le plus fort.

Néanmoins, Martha essaye de faire tomber tout cela. Bien qu'elle soit détestée de la plupart des gens, elle n'abandonne pas l'idée de montrer à tous le vrai visage de cette société qui se joue d'eux. Malheureusement tout n'est pas aussi simple, et elle le découvrira bien assez vite. Mais alors qu'elle se sent à l'écart de tous et seule, elle pourrait bien trouver des aides inespérées...

À travers ce second opus, certains idéaux changent, certains personnages changent d'avis, d'autres restent sur leurs idées et ne souhaitent pas ouvrir les yeux. Quant aux lecteurs, l'auteure ne nous laisse pas respirer. On a presque plus d'espoir à la lecture. On remarque tellement de choses si nous écoeurent et nous dégoûtent. Je ne compte plus le nombre de fois où j'ai été outrée, où mon ventre s'est noué, où la colère a pris le pas sur la tristesse. Cette trilogie vous fait clairement passer par toute sorte de sentiments, de la haine à l'amour. du rire aux larmes. de la joie à la colère.​

​En résumé, ce tome 2 est encore au-dessus du premier tome, de mon point de vue. J'ai retrouvé ce que j'avais tant aimé et détesté à la fois chez son grand frère. Martha m'a émue par sa détermination à tout montrer aux habitants. Son caractère qui l'empêche d'abandonner ceux qu'elle aime, au risque de se mettre en danger. Il me tarde de lire le troisième et dernier tome, afin d'avoir enfin toutes les réponses à mes questions !
Lien : http://lire-une-passion.weeb..
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Alors que j'avais très apprécié le premier tome de Cell 7, notamment grâce a la société présentée, entre asservissement de l'argent sur celle-ci et sur la technologie, ainsi que la surmédiatisation, je ne pouvais qu'être enchantée de lire le deuxième tome de la trilogie de Kerry Drewery publié chez Hachette romans.

"La vie est un château de cartes, des fois, hein ? On en fait tomber une par maladresse, et tout s'écroule."

Dans ce deuxième tome, Martha est toujours très déterminée. Elle garde cette tendance à croire que la vérité triomphe en toutes circonstances et elle ne sait comment changer les choses autrement. Il lui arrive de désespérer, mais elle ne perd jamais espoir, à tout moment prête à tout pour sauver Isaac. Elle garde le soutien de Eve, Max et Ciscero, ainsi que de Madame B qui reste toujours fidèle à ses valeurs. Isaac est quant à lui dans le tourment et jusqu'à la fin du livre, il ne croit plus en rien sauf dans son attachement pour Martha.

Ce deuxième tome ne diffère que peu du premier quant à sa morale. Cell 7 nous parle de manipulation et pose une réelle réflexion autant sur l'égalité que sur la justice. La société présentée reste corrompue. Les habitants n'ont pas changés, ils demeurent formatés comme après un bourrage de crâne. Kerry Drewery ne change pas de but. Elle veut montrer combien, dans ce système, tout est question d'argent et de médiatisation (donc de faux-semblants et d'audience). C'est ainsi que l'on comprend, encore une fois que l'honnêteté ne paye pas toujours mais que rien n'est défini à l'avance.

"L'espoir... c'est voir l'invisible, sentir l'impalpable, et accomplir l'impossible."

Dans ce deuxième tome de Cell 7, les points de vue alternent entre Isaac et Martha bien évidemment, ainsi que les autres personnages dans certaines scènes. On suit d'ailleurs davantage Martha qu'Isaac, à l'image du premier tome, alors que les rôles sont cette fois-ci inversée. Kerry Drewery ne se gêne pas pour être cruelle, on est loin de l'autrice qui use de happy end où tout est réglé et rose à la fin. Comme pour le premier tome, elle n'épargne pas ses personnages et leurs problèmes sont loin d'être réglés.

"C'est bizarre, la mémoire ; les choses qu'elle vous rappelle, le moment où elle vous les rappelle."

Après La mort vous regarde, le deuxième tome de Cell 7, La mort vous attend nous présente une situation inversée et pour autant tout aussi compliquée. Kerry Drewery ne fait pas dans la dentelle et montre combien corruption, manipulation et médiatisation font un mauvais mélange, encore plus pour Isaac et Martha.
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Citations et extraits (8) Voir plus Ajouter une citation
La vie est un château de cartes, des fois, hein ? On en fait tomber une par maladresse, et tout s'écroule.
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L'espoir est un déni de réalité.
L'espoir engendre la folie.
L'espoir est le pire de tous les maux car il prolonge les tourments de l'homme.
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Je vous en conjure, tous, ouvrez les yeux, ouvrez votre cœur, remettez en question tout ce qu'on vous raconte, forgez-vous votre propre opinion, quelle qu'elle soit...
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L'espoir... c'est voir l'invisible, sentir l'impalpable, et accomplir l'impossible.
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C'est bizarre, la mémoire ; les choses qu'elle vous rappelle, le moment où elle vous les rappelle.
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