AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,01

sur 711 notes
Ce livre, je l'ai dévoré, impossible de le lâcher avant de connaître le fin mot de l'histoire. Quelle intrigue, et surtout quelle habile construction ! C'est bien rythmé, sans temps mort. Et puis ce twist final, magistral ! Et puis cette idée de faire parler la maison comme un être vivant ! Voilà ce que furent mes premières impressions, mais au moment de rédiger ces lignes quelques heures plus tard, s'y est ajouté le sentiment que le style était bon, mais sans plus, fluide mais sans personnalité. Et puis, surtout, j'ai eu la malheur de repenser à un de mes coups de coeur récents, Testament à l'anglaise de Jonathan Coe. Il faut dire que c'est une référence en matière de famille fratricide, et que les deux intrigues présentent bien des similitudes (maison très particulière, huis clos, lecture du testament). le sang des Belasko ne soutient pas la comparaison, ne joue pas dans la même catégorie : ni pour le style, ni pour l'humour féroce, et au lieu d'une critique féroce des années Thatcher nous avons la malédiction des Belasko, les personnages sont caricaturaux, mais chez Jonathan Coe ils en deviennent des prototypes, .... Cela n'enlève rien à mes premières impressions, mais si vous devez choisir entre les deux, lisez Testament à l'anglaise.
Commenter  J’apprécie          311
La casa ouvre ses portes et incite chaque lecteur à poser ses valises ce que nous faisons avec un grand plaisir. Elle a l'air bien accueillante cette casa, mais voilà c'est un piège car une fois entré dans la Casa des Belasko nous ne pouvons plus en sortir, nous ne pouvons pas décemment partir et laisser ces 5 frères et soeurs régler leurs comptes ; et combien même le voudrions nous que nous ne pourrions pas !!! nous sommes enfermés avec eux.
Quelle idée ingénieuse de Chrystel Duchamp de donner la parole à la Casa et de lui accorder une âme bien "vivante". !
Les personnages sont bien travaillés mais l'auteur aurait pu aller plus loin et approfondir certains aspects de la psychologie de cette fratrie. La jalousie n'a peut-être pas, par exemple, été assez exploitée, mais ce bémol ne m'empêche pas d'avoir un avis très positif sur ce roman.
Je suis encore plus contente aujourd'hui de ne pas habiter dans la maison familiale, qui, j'en suis convaincue, porte beaucoup de secrets ... Ne dit-on pas "les murs ont des oreilles" ? ...
Commenter  J’apprécie          301
Disons le d'emblée, je n'ai pas été séduite par ce thriller , je n'ai pas réussi à m'immiscer dans ces querelles fratricides .

Lors de la mort du père, les trois frères et les deux soeurs se retrouvent dans la maison familiale , la Casa Belasko , ils ne s'entendent plus depuis longtemps et seul David, le plus jeune arrive à maintenir le lien entre eux . Lors de la première soirée, la lettre laissée par le père est ouverte et les révélations font l'effet d'une bombe .

Comme détentrice de tous les secrets , la maison devient une prison dont personne ne peut s'échapper jusqu'à ce que tous les secrets, toutes les haines et rancunes soient évacués en laissant des morts derrière elle ...

Cela m'a laissé étonnamment complétement indifférente et j'ai eu hâte d'en finir !
Commenter  J’apprécie          282
Ils sont cinq frères et soeurs, à se retrouver dans la maison familiale après la mort de leur père. Celui-ci leur a laissé une lettre qui va mettre le feu aux poudres. le lendemain matin, il n'en restera qu'un. Que s'est-il passé cette nuit-là ?
Un classique du roman policier : le huis-clos : ils sont tous enfermés dans cette maison, sans possibilité de sortir. Et la tension va monter, les secrets de famille vont se libérer, la violence va se déchaîner jusqu'à l'impensable.
Le décor et les personnages, la structure du récit avec l'alternance des scènes à l'hôpital où le survivant raconte, et des chapitres au cours de la nuit abordés par chacun des frères et soeurs tour à tour, tout était réuni pour un très bon policier. Malheureusement, j'ai eu du mal à y croire : un certain manque de rythme, et une tension inégale suivant les chapitres. Je n'étais pas accrochée, poser le livre ne me posait pas de problèmes.
Cela dit, l'auteure a réussi à me surprendre dans les dernières pages du livre, ajoutant encore à l'horreur de cette famille. J'ai aussi beaucoup aimé ce sixième personnage qui prend la parole par moments. Un sentiment mitigé donc. Une auteure à relire pour parfaire mon opinion.
Merci à Mylène et aux éditions de l'archipel pour ce partage #LesangdesBelasko #NetGalleyFrance
Commenter  J’apprécie          260
Autre roman dévoré grâce à Mylène des éditions l'Archipel via net galley : le sang des Belasko de Chrystel Duchamp.
Cinq frères et soeurs se réunissent dans la maison de leur enfance, la Casa Belasko, une imposante bâtisse isolée au coeur d'un domaine viticole au sud de de la France.
Leur père, vigneron taiseux, vient de mourir. Il n'a laissé qu'une lettre à ses enfants, dans laquelle sont dévoilés nombre de secrets.
Au cours de cette nuit fatale, les esprits s'échauffent. Colères, rancunes et jalousies s'invitent à table.
Mais le pire reste à venir. D'autant que la maison – coupée du monde – semble douée de sa propre volonté.
Quand, au petit matin, les portes de la Casa se rouvriront, un membre de la fratrie sera-t-il encore en vie pour expliquer la tragédie ?
Le sang des Belasko est un très bon thriller, qui a réussi à me scotcher de la première à la dernière page.
Cinq frères et soeurs viennent de perdre leur père. Ils se retrouvent dans la propriété familiale pour régler les détails du testament. Et très vite, cela dégénère... Les secrets de famille ressurgissent, la maison semble avoir une âme, la famille serait maudite...
J'aime les huit-clos, les romans mettant en scène des fratries et des secrets, là j'ai été servi avec la plume de Chrystel Duchamp. Elle est incisive, elle sait faire mouche et appuyer là où ça fait mal.
J'ai adoré cette histoire, c'est un très très bon roman :)
Il m'est difficile d'en dire plus, j'ai vraiment peur de trop en dévoiler et de spoiler.
Je rajouterais juste que c'est une autrice à découvrir ; c'est le second ouvrage que je lis d'elle et je serais ravie de continuer à la lire.
Ma note : un énorme cinq étoiles :)
Commenter  J’apprécie          250
Merci à Babelio et aux Editions Archipoche pour le roman policier « le sang des Belasko » de Chrystel Duchamp.
En préambule, le lecteur découvre une citation du roman policier d'Agatha Christie « Les dix petits nègres ». Suivi par le prologue où la maison de la famille Belasko (qui avec une « âme » est un véritable personnage en elle-même) sous-entend la venue d'un drame. Et dans l'acte I, servant d'introduction, on fait la rencontre du Capitaine Jouvry interrogeant un des membres de la famille, dans une chambre d'hôpital.
L'ambiance et le décor sont plantés. le lecteur sait être aux prémices d'une enquête. Et que ce qui va se dérouler sera bien un huis-clos à la sauce revisitée de la fameuse recette de la ‘'reine du crime''.

Flashback : 5 frères et soeurs se retrouvent dans leur maison de famille « la Casa Belasko », suite au récent décès de leur père. 5 frères et soeurs Philippe, Mathieu, David, Garance et Solène avec chacun leur caractère et un péché capital pour les distinguer. Une fratrie qui, au fil des ans, s'est un peu disloquée, à force de jalousie, vanité, mensonge et autres joyeusetés. On se doute bien qu'à un moment pas si lointain cette poudrière va finir par exploser.
Alors qu'ils se retrouvent pour discuter de l'avenir de la maison de famille, du testament du père, ils tombent sur la lettre de ce dernier révélant que leur mère -décédée six mois plus tôt- ne se serait pas suicidée mais aurait été assassinée… Les chapitres qui se succèdent permettent de découvrir chacun des enfants, son trait de caractère, son parcours, ses hauts et ses bas, ses affinités ou non avec les autres membres de la fratrie… Et le lecteur, comme au Cluedo, égrène la liste des coupables potentiels.

Au cours de ce séjour, l'auteure sème intelligemment au lecteur des petits cailloux d'indice pour mieux le perdre dans ce labyrinthe clos… Car les personnages se retrouvent bien enfermés, non pas sur une île comme l'ont été « Les dix petits nègres », mais dans cette casa ultra sécurisée qui va les cloîtrer et les laisser mijoter et macérer dans leurs souvenirs et ressentiments telle une bonne grosse cocotte-minute. En effet, s'ils souhaitent découvrir si leur mère s'est fait assassiner et par qui, ils vont devoir ressortir les vieux dossiers qui peuvent leur brûler les doigts et raviver les rancoeurs qui n'attendent qu'à s'extérioriser.
Chrystel Duchamp réussit dans ce huis-clos à mettre assez de suspense et de tensions pour accrocher le lecteur qui se retrouve, lui aussi, pris au piège dans cette maison, la curiosité de plus en plus aiguisée, à fureter un peu partout, à tenter d'analyser chaque indice distillé ça et là, de débrouiller le sac de noeuds des caractères de chacun des personnages et suspects. La liste est longue et on a l'embarras du choix entre les membres de la famille et les nombreux employés de la maison.

Certes, on peut trouver le caractère des personnages un peu trop caricatural, quelques détails du décor manquant parfois de crédibilité ou encore le comportement d'un des membres de la famille trop extrême (et qui m'a laissée un peu dubitative). Si ces invraisemblances ne froissent pas trop le lecteur en cours de route, s'il accepte que cela a pour but de mieux servir à l'exercice (la variation sur le même thème), ce roman policier peut alors être très prenant…
Toute l'ingéniosité de l'écrivaine a été de créer une histoire à la mode A. Christie. Et on entre dans le jeu du chat et de la souris. En prévenant d'emblée le lecteur par la citation en introduction, elle sous-entend qu'elle va essayer tout de même de nous berner (faire en sorte qu'on ne découvre pas le fin mot de l'histoire), et ce, roman avec enquête oblige, tout en faisant monter bien entendu la tension et les interrogations par des revirements de situation, des tensions plus palpables, et des tournements de pages de plus en plus frénétiques jusqu'au final…


Commenter  J’apprécie          240
Philippe, Mathieu, Garance, Solène et David. Ce sont les cinq membres de la fratrie Belasko. Suite au décès de leur père, ils se retrouvent tous à la Casa, la demeure où ils ont grandi auprès de leurs parents. Après la lecture d'une lettre laissée par leur père, c'est le choc. En effet, l'homme affirme que leur mère, décédée quelques mois plus tôt, a été assassinée. Dès lors, enfermés dans cette maison, les soupçons vont se porter sur chaque membre de la fratrie.

J'ai passé un très bon moment de lecture avec ce thriller qui est entièrement psychologique. Il ne faudra pas s'attendre à des rebondissements et de l'action. Ici, au contraire, l'auteure prend le temps d'instaurer une atmosphère pesante et réussit un excellent huis-clos, où j'ai soupçonné tout le monde.

Dès le départ, le lecteur sait qu'il s'est passé un drame pendant le séjour de la fratrie dans la maison. L'un d'entre eux s'en est sorti, mais il est impossible de savoir qui, puisque Chrystel maintient le suspense jusqu'au bout. C'est à partir de ce postulat de départ que l'intrigue prend forme et que l'on suit les événements qui ont mené les personnages à ce dénouement.

Le suspense monte peu à peu. Les personnages nous sont présentés au fur et à mesure, et très vite, je me suis rendue compte que l'harmonie était loin d'être au rendez-vous et que chaque membre avait des secrets à cacher. Tout passe dans les dialogues et dans les relations entre les frères et soeurs. Tout au long de ma lecture, j'ai découvert tous les reproches et les non-dits qui assaillent cette famille.

La plume de l'auteure est très fluide. Avec un style addictif, Chrystel manie les codes du thriller psychologique. Elle mise tout sur les personnages. J'ai apprécié le schéma narratif, dans lequel chaque chapitre est consacré à l'un des personnages.

Un thriller psychologique où l'auteure réussit à maintenir le suspense au travers d'un huis-clos pesant. À découvrir sans hésiter.

Lien : https://mavoixauchapitre.hom..
Commenter  J’apprécie          240
Oeil pour oeil… Sang pour sang !
Telle pourrait être une manière de résumer ce redoutable et théâtral huis clos, le sang des Belasco !

Le « sang » circule ici dans sa double acception….
C'est celui qui jaillit, incontrôlable, tandis que la vie s'échappe lors des multiples rebondissements qui émaillent le récit.
Mais c'est aussi la lignée, la souche, l'ascendance : la famille et son atavisme.

Si je me suis volontiers laissée emporter par cette histoire de meurtre « à la Agatha Christie », j'ai été légèrement moins emballée par le volet « hérédité » de l'affaire…

Reste une jolie pirouette finale, noeud particulièrement astucieux de cette lecture bien ficelée et distrayante.

Commenter  J’apprécie          230
En débutant « le Sang des Belasko », y a comme un sentiment confus, lancinant, qui s'est peu à peu immiscé en moi… Belasko, ça me parlait… J'y reviens plus tard…

Après avoir eu le plaisir de découvrir la plume de l'auteure avec « l'art du meurtre », livre dans lequel son intrigue se construisait au rythme de meurtres artistiquement mis en valeur, j'attendais avec impatience la sortie de son second opus, afin de voir ce qu'elle pouvait proposer d'autres…

Avec « le sang des Belasko », je pensais qu'elle resterait dans le même registre et je dois dire que j'ai été bluffée ! Alors, oui, il y a toujours l'art en toile de fond, on sent qu'elle aime ça, mais ici, c'est par de toutes petites touches, qui pourraient passer inaperçues, qu'il se devine, sauf que cette fois, on se retrouve dans le monde vinicole, qui sans être le sujet principal, construit une toile autour de cette famille bien trop riche, qui semble parfaite…

Mais tout vole en éclats à la mort du patriarche. Un huis-clos savamment dosé, puisque les souvenirs viennent donner une bouffée de respiration entre chaque parole haineuse et chaque cri de rage et de désespoir. Fort heureusement, d'ailleurs, car les personnages étouffent, s'étouffent et au gré des pages, le lecteur manque certaines respirations.

Sans jamais tomber dans la facilité, ou manquer d'originalité, Chrystel Duchamp, nous balade dans son intrigue au fil des révélations.

Au ¾ du livre, une touche de paranoïa s'installe, et vient ferrer un des personnages et là, on se dit qu'en fin de compte, il est schizophrène… Ce qui, vu l'état d'esprit familial aurait été complètement cohérent. Oui, mais voilà… L'auteure ne découvre pas tout son jeu, elle en garde sous la main, histoire de bien, nous rendre dingue.

Au début du livre, une tonalité extravagante se devine, avec une maison témoin de la chute des Belasko et puis plouf, plus rien… Bon, sincèrement, je me suis dit que c'était pas mal trouvé cette idée et je trouvais dommage de la perdre en route… Pourtant… D'un très bon thriller-psychologique aux personnages aussi tordus les uns que les autres, on bascule dans un thriller-horrifique !

Beaucoup, ne percevront pas cette touche horrifique, et je le comprends tout à fait, mais pour la férue du genre, que je suis, je l'ai décelé dès les prémisses de l'intrigue.

Je pense qu'il ne faut pas lire « le sang des Belasko » de manière linéaire, bien au contraire, il faut décortiquer et déceler ce que l'auteure y glisse comme fantastique. Il y a un nombre impressionnant de références au genre et un bien bel hommage à l'un des maîtres de la littérature horrifique.

Et là, je vais vous parler de ce qui m'a titillé dès le titre, dont je vous parlais en introduction de cet article. Belasko ? le sang des Belasko ? Kesako ? « La maison des damnés » de Richard Matheson, ça vous parle ? Non ? Pourtant, il faudrait le lire, pour comprendre ce qu'a voulu nous dire Chrystel Duchamp ! C'est à la fois, un livre complètement indépendant avec sa propre intrigue, mais c'est aussi, un bel hommage et une sorte de suite-finale de l'intrigue laissée en suspens par Richard Matheson.

Pour mémoire, « la maison des damnés », c'est la maison hantée par excellence. le Dr Barrett et une équipe de spirites se voient confier une sacrée mission, par un milliardaire, qui semble un peu loufoque… Mais le parapsychologue s'empresse d'accepter, pour prouver ses théories scientifiques sur l'existence d'une vie après la mort. La réputation de la maison n'est plus à faire, elle est hantée, : résonnant des crimes et des orgies qu'elle a accueillis par le passé, la maison Belasco semble les attendre. Prête à posséder les audacieux qui oseront pénétrer en son sein…

Et là, je dis merci Chrystel Duchamp ! Merci pour ce parfait dosage, merci pour le final à la hauteur du genre horrifique.

L'auteure a plus d'une flèche à son arc et balade son lecteur du début à la fin, pour en fin de compte construire une intrigue comme les petites poupées russes, où tout s'imbrique parfaitement. J'ai franchement été bluffée, car au-delà d'un bon thriller à huis-clos, c'est un excellent thriller horrifique qui a toute sa place dans cet univers littéraire.

Bienvenue chez les Belasko, où le sang coule à flots, mais où l'on se pose beaucoup de questions…
Lien : https://julitlesmots.com/202..
Commenter  J’apprécie          232
Le sang des Belasko de Chrystel Duchamp aux éditions de l'Archipel.
J'avais été époustouflée par l'intrigue de l'Art du meurtre, je le suis encore cette fois après ma lecture du Sang des Belasko !.
Ah! si les murs pouvaient parler, si ceux de la Casa Belasko pouvaient enfin révéler les faits et gestes de tous ceux qui sont réunis en son sein à la veille de l'enterrement de leur père. ils sont cinq. Philippe et Mathieu les fils ainés; Mathieu n'a pas pardonné à Philippe et le hait. Garance et Solène les filles ne s'apprécient pas non plus c'est le moins que l'on puisse dire, rancune, jalousie les séparent inexorablement . Reste David le dernier de la tribu, le médiateur. Arrivera t'il à calmer le jeu, à éviter que cette réunion souhaitée par leur père se passe le mieux possible? Mais voilà il y a la lettre de leur père et ces mots : votre mère ne s'est pas suicidée elle a été assassinée... le gant est jeté, les fauves se déchainent, y aura t'il un survivant?
Une atmosphère étouffante, délétère. Une maison sans aucune issue, hermétiquement close par la main de... ?
C'est un roman prenant, addictif que je n'ai pu lâcher qu'une fois la dernière page tournée. Un roman que tout un chacun peut apprécier et que je ne peux que vous recommander sans hésitation. Un roman à lire !
Un immense merci à Mylène des éditions de l'Archipel pour cette courte nuit. #LesangdesBelasko #NetGalleyFrance
Commenter  J’apprécie          220




Lecteurs (1296) Voir plus



Quiz Voir plus

Retrouvez le bon adjectif dans le titre - (6 - polars et thrillers )

Roger-Jon Ellory : " **** le silence"

seul
profond
terrible
intense

20 questions
2889 lecteurs ont répondu
Thèmes : littérature , thriller , romans policiers et polarsCréer un quiz sur ce livre

{* *}