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3,36

sur 577 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Pas convaincue par cet ancien steward viré (on ne saura jamais vraiment pourquoi, juste une allusion) qui se convertit en détective privé. Pas de voiture, trouillard, etc. Par son psy, il va se retrouver tueur d'un homme politique. Des situations abracadabrantes. Juste la narration est amusante lorsqu'il prend le lecteur à témoin et les drames survenus rue Erlanger. La majorité des critiques sont élogieuses. Pourquoi suis-je passée à côté ?
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Jean Echenoz ne se prend pas au sérieux
C'est ce qui m'a plu au début du livre
Cette histoire plutôt loufoque d'un ancien steward ,archétype du loser qui traverse des situations invraisemblables et souvent amusantes
Inutile de parler du style .Echenoz s'en fiche éperdument
Tout cela m'a paru plutôt plaisant jusqu'à la page 100
Et ,subitement, un gros coup de blues et une question : pourquoi continuer à lire un livre dont je sais que j'aurai tout oublié demain
Un livre vain comme il en existe des centaines à chacune des multiples rentrées littéraires
Bref , le charme était rompu et j'ai laissé là Monsieur Echenoz qui est , paraît-il, un honnête écrivain
Un livre sans épaisseur qui, malheureusement, n'arrive pas à compenser la faiblesse de l'intrigue par un humour qui disparaît au fil des pages
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écouté trois fois et endormie chaque fois...au vu des chroniques positives, je me dis que je n'ai pas vraiment fait attention au style; c'est l'histoire qui m'a ennuyée: tout m'a paru artificiel; c'est une parodie...
Ce n'est pas la première fois que les prestigieuses éditions de Minuit me déçoivent; c'est la première fois que j'apprécie si peu
20/03: 4e lecture et enfin, je perçois la malice de l'auteur, son clin d'oeil au lecteur , j'ajoute une étoile mais ce livre ne se hisse par dans mon top.
enfin,je voulais...mais n'y arrive pas!
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Nous voici donc embarqué dans la vie de Gerard Fulmard, petit type minable qui ressemble à n'importe qui en moins bien.
Alors qu'un ancien lanceur soviétique de vingt tonnes vient de s'écraser sur le centre commercial à trois cent mètres de chez lui, Gerard loin de se complaire dans son statut de demandeur d'emploi décide de monter son entreprise : le Cabinet Fulmard Assistance.
Après avoir décidé que son cabinet serait finalement un cabinet de détective privé, Gérard se fait engager par son psychiatre, membre d'un parti politique mineur pour régler quelques détails encombrants.

Encensé par la critique et par ma libraire j'avais hâte de lire ce livre pour enfin découvrir la prose de monsieur Jean Echenoz.
Il nous livre ici le récit rocambolesque des errances d'un héros sans saveur évoluant dans les entrailles d'un parti politique médiocre.
Camouflé par un langage soutenu et un vocabulaire alambiqué, Echenoz, se hasarde à jeter un oeil critique sur la sphère politique et l'égo des élus qui y siègent.

Trêve de périphrases, j'ai été séduite par les cinq premiers chapitres puis le charme a progressivement fondu comme neige au soleil.

Ne versons pas non plus dans l'inconvenant, la forme est grandiose, un réel hommage à la langue française. Mais le fond… d'un vide abyssal.

Bref, ce n'était pas pour moi. Echec et mat.
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Mais qu'allais-je faire dans cette galère ? D'habitude j'aime les romans d'Echenoz mais là je n'ai pas compris le propos, est-ce une parodie de roman policier ? un mode d'emploi pour écrire un livre " on y met du sexe, de l'historique, de la description, du social etc...." ? ou bien s'est-il amusé tout bonnement ?. En tout cas je ne me suis pas amusée à suivre ce Gérard Fulmard, un vrai pied nickelé paumé, dans ses démêles avec un pseudo parti politique qui veut éliminer un de ses membres.
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Echenoz ... Je l'aime ... mais pas tout le temps ... un lecteur de babelio parle d'élégante désinvolture ... oui, certes ... mais je ne coucherai pas avec monsieur Fulmard (Je lis au lit) ... la désinvolture recouvre vite l'élégance. Tiens, je vous conseille un livre peu lu qui m'a plû, lulu... "en votre aimable règlement" de Bruno Léandri... un petit côté légèrement désuet, décalé et qui vous emmène tambours battants dans une sacrée aventure dont on se souvient longtemps et avec bonheur.
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On retrouve la nonchalance du récit propre à Echenoz mais trop de nonchalance peut mener à l'ennui. Là où "14" réussit à s'emballer par son propos et sa description d'hommes dépassés par la violence et l'incongruité des combats, la vie de Gégé Fulmard n'apporte pas grand chose au lecteur, pire on en vient à se demander si elle méritait un livre.

Une intrigue politique creuse, des personnages sans relief, des digressions inutiles, une histoire vide de sens et d'impact, absurde plus que drôle...

Que reste-t-il ? Bien peu de choses pour ce livre que je qualifierais de paresseux. Mr Echenoz s'est-il ennuyé lui-même en l'écrivant ? Probablement !
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Au début du confinement, j'avais tenté d'écouter ce roman, espérant qu'un peu de fantaisie me permettrait d'adoucir le climat anxiogène du moment. Je partais plutôt confiante, après avoir lu précédemment deux titres de l'auteur. Hélas, j'ai écouté la première heure du CD deux fois de suite, sans capter grand chose à l'histoire. Je suis passée à un autre titre avec l'idée de reprendre plus tard mon écoute mais la troisième tentative n'a pas été plus concluante. Je n'ai pas réussi à me laisser embarquer par Gérard, ancien steward (raté), qui s'installe comme détective privé pour tenter de gagner sa vie.

Comme compagnon de balade (je lis audio en marchant), Gérard s'est révélé barbant. Je ne dirai pas qu'il ne m'a pas fait sourire de temps en temps, mais je l'ai trouvé le plus souvent creux, à l'image de l'histoire, que je n'ai d'ailleurs pas finie. Je ne saurai pas comment se termine l'enquête foireuse dans laquelle Gérard s'est engagé après qu'une météorite soit tombée dans son quartier (je ne crois pas qu'il y ait de relation de cause à effet). Je doute que Gérard soit un grand détective et qu'il ait fait des miracles mais comme nous ne sommes pas dans la vraie vie, tout est possible !

Ma déception n'est nullement imputable au lecteur, Dominique Pinon, qui est tout à fait à l'aise dans ce type d'interprétation. Mon abandon n'est pas non plus en lien avec le style de l'auteur, que j'avais découvert et beaucoup apprécié dans "14" . Je crois tout simplement que la "loufoquerie" me lasse très vite et que ce livre n'était pas fait pour moi.
Lien : http://www.sylire.com/2020/0..
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Gérard Fulmard, ex-steward licencié par sa compagnie aérienne, décide de se reconvertir en détective privé. Son manque total d'expérience et de compétence va le mener dans les filets d'un obscur parti politique dont il va petit à petit et inconsciemment devenir l'homme de main.

Le style est rapide et très visuel, ce que j'ai beaucoup aimé. L'auteur prend le lecteur en aparté et ça, j'aime beaucoup aussi. L'histoire est loufoque, voire improbable et parfois il faut se rappeler que c'est l'histoire de Gérard Fulmard que l'on lit.
Car en parallèle de GF, on suit les luttes de pouvoir au sein du parti politique pour lequel il va être amené à travailler et ça je n'ai pas aimé. C'est (très) long, c'est (très) ennuyeux et il y a une liste de personnages pâles et insignifiants longue comme le bras.

Les digressions abondent et on passe du suicide de Mike Brant qui a eu lieu dans la rue où habite notre anti-héros, à un dilemme cornélien à savoir : dois-je jeter les deux chaussettes d'une même paire dont l'une est trouée ou garder l'intacte pour reformer une autre paire…peut-être…un jour. Tout ça dans le même chapitre. Voilà voilà…

Il y a aussi quantité de mots qui m'étaient totalement inconnus et j'encourage @serial_lecteur_nyctalope à lire ce livre pour son #motamotchallenge.

Un style donc, c'est certain, mais qui me laisse un peu perplexe et auquel je n'ai pas vraiment adhéré.
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