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3,9

sur 670 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
R. J. Ellory, de son nom complet Roger Jon Ellory, est un écrivain britannique, auteur de romans policiers et de thrillers, né à Birmingham en 1965. Il n'a pas connu son père, parti avant sa naissance, sa mère est morte d'une pneumonie foudroyante alors qu'il avait à peine 7 ans, son grand père est mort noyé et sa grand-mère de santé fragile décidera finalement de le placer en orphelinat avec son frère. C'est là qu'il découvre la littérature. Après un court séjour en prison pour vol de poules, il monte un groupe de rock mais pas de chance, le batteur décède d'une crise d'asthme. Il décide alors, à 22 ans, de se lancer dans l'écriture. En avril 2013, le magazine Lire révèle qu'Ellory est un membre actif de l'Église de Scientologie depuis 1986. Son roman, Mauvaise étoile, est paru en France en 2013.
Texas, 1964. Elliott (Digger) et Clarence (Clay), deux adolescents orphelins et demi-frères, n'ont connu que les maisons de correction ou centres de détention pour mineurs quand ils sont pris en otage lors de son évasion par Earl Sheridan, un psychopathe fou furieux, qui les embarque dans un road-trip meurtrier. Quand Earl sera abattu par les policiers à leurs trousses, la route des deux frères va se séparer, Digger subjugué par les théories du psychopathe va s'engager dans cette voie mortelle, tandis que Clay plus raisonnable va tenter d'en suivre une autre. Un concours de circonstances lancera toutes les polices derrière Clay, suspect des crimes commis par Digger…
Excellent thriller qu'on dévore littéralement, pressé d'en connaître la fin. La construction est simple mais habile. L'intrigue se déroule sur une dizaine de jours, dans de petites bourgades à la frontière du Texas. L'un, Digger, trace la route en s'enfonçant d'heure en heure dans le crime et l'horreur la plus absolue en une escalade de violence ahurissante car gratuite, tandis que l'autre, Clay, qui entre temps s'est retrouvé en charge de Bailey, une jeune fille de quinze ans, essaie de fuir vers un ailleurs meilleur au nom prometteur, Eldorado. Sans que ni l'un, ni l'autre ne le sache, les deux frères convergent vers cette destination lue dans un journal et qui avait marquée leur imagination quand ils étaient en centre de détention. Inexorablement, leurs routes se rapprochent puis se chevauchent jusqu'au dénouement final. La tension monte d'autant plus que le FBI est décidé à abattre Clay à vue, le suspect que nous lecteurs savons innocent, tandis qu'un simple policier, John Cassidy, commence à entrevoir la vérité.
L'écriture est désarmante de simplicité, le ton est doux alors que les faits sont atroces et répugnants. Les mots s'enchainent les uns aux autres, les phrases fusent, les chapitres sont courts alternant classiquement, le parcourt de chaque frère ou de la police, ce qui accélère le rythme de la lecture. Pour renforcer l'effet d'inquiétude, Ellory prévient sans arrêt le lecteur de s'attendre à voir les ennuis s'accumuler pour ses personnages secondaires qui sont dépeints en quelques lignes ou phrases, les campant parfaitement. le texte est truffé d'aphorismes qu'on ne peut s'empêcher de souligner (« Quand on manque d'assurance, on prend les certitudes des autres pour des vérités, aussi creuses et fausses soient-elles. »).
. Jamais l'écrivain ne juge, il observe et décrit la montée de violence comme une face de la nature humaine. le seul reproche qu'on puisse faire à cet ouvrage, ce serait son manichéisme simplet, plus Digger s'enfonce dans le crime, plus Clay s'approche de la pureté au contact de Bailey…
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J'avais plusieurs livres d'Ellory à lire et je ne savais pas trop par lequel commencer, et quand, parce que j'ai énormément de livres non-lus. Heureusement, j'ai été contactée par Léa Touch Book (dont j'aime beaucoup le blog, puisque nous avons des goûts communs) pour participer au mois R(ead) J(ust) Ellory. J'ai été très emballée par l'idée, et je n'ai pas hésité une seule seconde.

Mon choix de lecture s'est orienté sur Mauvaise étoile, dont j'avais entendu de très bonnes critiques lors de sa sortie, en 2013. C'est l'histoire de deux frères, Elliott et Clarence, qui ont passé presque toute leur adolescence dans des maisons de correction. Ils ont des caractères très différents, mais se sont toujours aidés et soutenus. le jour où Earl Sheridan les prend en otage pour échapper à sa condamnation à mort, ils se retrouvent bien malgré eux embarqués dans une folie meurtrière, avec un homme qui est loin d'avoir toute sa tête. L'horreur ne fait que commencer pour Clarence et Elliott (surnommé Digger)...

Durant les deux-cent premières pages, j'ai eu un peu de mal à me mettre dans l'histoire, bien que je l'appréciais, mais je dois dire que je ne m'attendais pas à ce que la situation tourne d'une telle façon. J'ai beaucoup aimé le travail sur la psychologie des personnages, et où la "mauvaise étoile" va mener Clay et Digger, que nous allons suivre dans leur esprit tour à tour. Il y a de nombreux passages violents et sanglants, et à chaque apparition d'un nouveau personnage (généralement très secondaire, mais dont Ellory va à chaque fois faire une chouette description, qui donne envie d'en savoir plus), on se demande ce qui va bien pouvoir lui arriver.

On s'interroge sur pleins de choses, notamment sur les existences très semblables de Clarence et Digger, et leurs chemins qui vont devenir pourtant très différents, sur ce qui peut pousser un être à commettre des actes horribles. Avec des personnages bien développés et une intrigue intéressante qui a prit un tournant inattendu, nous avons là un très bon thriller dont on finit par tourner les pages sans même s'en rendre compte...
Lien : http://anais-lemillefeuilles..
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Clarence Luckman n'a que cinq ans lorsque que son père tue sa mère à coups de batte de base ball. Il est abattu peu à près par la police alors qu'il braquait un magasin.
Clarence et son demi-frère, Elliott Danziger, un peu plus âgé, sont placés dans un orphelinat, puis en grandissant dans un centre de redressement pour mineurs.
Une météo particulièrement mauvaise oblige un convoi pénitentiaire à s'arrêter au centre alors qu'ils sont adolescents. Earl Sherman, condamné à mort, parvient à s'enfuir après avoir tué un garde, prenant en otage les deux adolescents. Commence un périple meurtrier dans plusieurs états.

Après plusieurs meurtres le FBI est chargé de l'affaire, mais l'on suit l'enquête de loin en loin, persuadés de connaître le meurtrier et ils ne poussent pas l'enquête pensant détenir la vérité.

Dans ce roman noir, on suit plus particulièrement le périple des deux frères, à travers leurs déplacements, leurs pensées et pour le meurtrier lors de ses auto-satisfactions après chaque meurtre heureux d'être devenu puissant comme son mentor de Sheridan. A chaque nouvelle ville un nouveau meurtre, tout se répète selon la même formulation et le récit qui se traîne en longueur finit par lasser le lecteur.

Les personnages secondaires sont plutôt lisses hormis un adjoint de shérif qui sort du lot ne croyant pas à la culpabilité du présumé coupable pour le FBI, relevant quelque peu le final. Pour les personnages de premier plan, là encore on a aussi un peu de mal avec deux meurtriers sociopathes et deux adolescents complètement paumés qui essayent de s'en sortir.

Les multiples répétitions dans la formulation du périple rendent la dynamique de lecture plutôt lente.

Au final un récit qui ne parvient pas à convaincre le lecteur.

Lien : http://imaginaire-chronique...
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Certaines personnes ont, dès leur venue au monde, la malchance chevillée au corps.

C'est le cas des deux demi-frères Elliott Danziger et Clarence Luckman, confrontés dès leur plus tendre enfance au meurtre de leur mère par le père de Clarence, lui-même abattu quelques heures plus tard dans une boutique d'alcool qu'il tentait de dévaliser.


Trimballés d'orphelinats en maisons de correction plus sordides les uns que les autres, Digger – dont l'esprit est plutôt lent – protège son jeune frère Clay – plus subtil - des avanies des autres pensionnaires et des gardiens. Jusqu'au jour funeste où une tempête conduit une équipe chargée de convoyer un dangereux condamné à mort à faire escale dans l'établissement où ils sont enfermés. Ils ont 19 et 17 ans, et les mêmes yeux bleus …

Earl Sheridan (tiens, un patronyme déjà utilisé par l'auteur dans son précédent roman, Les Anonymes !) est un tueur psychopathe et n'a plus rien à perdre. Il tue un gardien, prend en otage les deux garçons dans une cavale épique parsemée de cadavres. Il étend rapidement son emprise sur Digger et lui révèle son profond instinct meurtrier.

C'est parti pour une cavale à trois le long de l'Interstate 10, puis la séparation en deux groupes de ces êtres à la dérive, avec du côté de Digger, un long chapelet de malheurs et de victimes dont le seul tort est de s'être trouvées au mauvais endroit au mauvais moment.

Nous sommes en 1964, au Texas, un an après l'assassinat de John Kennedy, à une époque où le téléphone portable et l'internet n'existent même pas dans les têtes de leurs futurs créateurs, où l'information court après les événements, dans une Amérique rurale où s'égrènent au bord de routes aussi vides que poussiéreuses quelques épiceries-restaurants et de rares stations-services qui voient passer de temps à autres des pickups déglingués et de grosses cylindrées poussives à flancs blancs.

A la différence de Patrick Bateman, le héros d'American Psycho de Brett Easton Ellis (1991), Elliott Danziger n'a rien pour plaire : ni la beauté, ni l'argent, ni les costumes de luxe. C'est un maudit intégral qui obéit à des pulsions destructrices devenant
de plus en plus fréquentes. Clarence, lui, est un être doué de raison. Il rencontre Bailey et fuit avec elle, à pieds, le plus loin possible de ce frère devenu fou à lier. Toutes les polices sont à leurs trousses car on le confond avec son frère.

Seul l'inspecteur Cassidy, plus malin – comme l'héroïne de Fargo des frères Coen, Marge – et d'une ténacité à toute épreuve, trouvera la solution.

Le roman est haletant, les personnages foisonnants et terriblement vrais, le débat entre l'inné et l'acquis partout affleurant, la construction de l'intrigue remarquable. le destin atroce de ces deux frères entraînés dans deux situations radicalement différentes, les descriptions de l'orphelinat, de l'établissement pénitencier pour mineurs tellement réalistes (l'auteur en connaît un rayon …), la psychologie des protagonistes finement analysée, les réactions des forces de police, y compris les hommes du FBI … font un bouquin qu'on ne peut lâcher avant d'en avoir lu la fin.

Pour moi, c'est une seconde expérience de Ellory – à ne pas confondre avec Ellroy – qui me donne envie de lire d'autres romans de cet auteur britannique. Mais pas tout de suite : il faut un certain temps de récupération après tant de sang versé !

Lien : http://www.bigmammy.fr/archi..
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Je suis a lire "Mauvaise étoile" de RJ Ellory et au contraire de tous ses autres titres, j'ai tellement de mal à tourner les pages. le ton misérabiliste de la narration m'agace . Mais comme je disais précédemment , je n'en suis qu'à la moitié. Quelqu'un peut m'aider ?
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Je termine ma lecture de « Mauvaise Etoile » avec un sentiment mitigé sur ce roman. J'ai bien apprécié l'histoire des destins parallèles de deux frères, l'un Elliot, côté sombre de la fratrie, emporté par sa violence dans la chute, l'autre Clarence, le côté lumineux et l'espoir malgré tout. Plus que l'influence d'une « mauvaise étoile » sur les destinées individuelles, je trouve que l'intérêt de ce roman est de souligner l'importance des rencontres et des capacités des deux frères à en tirer parti. Pour l'ainé Elliot, c'est la rencontre toxique avec un psychopathe qui va le dominer. Pour le benjamin Clarence croiser la solaire Bailey sera son salut. En revanche l'aspect très répétitif de la narration m'a rendu la lecture des presque 600 pages bien moins agréable. La multiplication des scènes de meurtres lors de la cavale d'Earl Sheridan, puis de celle de l'ainé des frères, est très répétitive. Beaucoup de lecteurs soulignent dans leurs commentaires l'habilité de R. J. Ellory pour entretenir le suspense. Il y a-t-il vraiment suspense lorsque le lecteur sait d'avance que croiser l'un des méchants ne que peut que finir par la mort pour les personnages secondaires ? Bien sûr il y a un hic, que Cassidy, le flic scrupuleux et isolé saura trouver, mais beaucoup de répétitions également lorsque chacun des agents du FBI ou sheriffs lancés à la poursuite des tueurs réaffirment dans pratiquement chaque dialogue que cela se terminera par l'élimination immédiate du fugitif rattrapé ? La ficelle est un peu grosse et l'on se doute rapidement que ce n'est pas sur cette fin-là, enfin pas aussi simplement, que l'auteur veut clore son livre. Au final, même s'il je pense qu'il s'agit pour l'auteur de secouer le coeur de ses lecteurs pour leur plus grand plaisir comme dans un rollercoaster et non pas de leur proposer un essai sur la complexité psychologique des tueurs en série, j'ai décroché à mi livre devant ce côté systématique des scènes de violence, un certain manichéisme, même si je suis allé jusqu'au bout pour en connaitre la fin.
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Elliott et Clarence sont deux adolescents vivant dans une maison de correction après une succession de drames (perte des parents, violence). Quand Earl Sheridan, un détenu très dangereux, les kidnappe et les emmène dans un itinéraire meurtrier, deux destinées s'esquissent : celle du plus grand frère, Elliott, qui va projeter en Earl l'image du modèle à suivre, et celle de Clarence, le plus jeune, qui tentera de mettre à distance tout le mal qui se joue devant lui.
Le récit est plutôt bien écrit, mais cet ouvrage me paraît au final bien trop simple pour une raison principale : l'histoire en devient à la moitié du livre trop manichéenne. En effet, quand le plus grand frère incarnera tout ce que peut représenter le mal, le plus jeune tombera gentiment amoureux... de plus, même si au début, j'ai bien adhéré, j'ai compris que l'auteur utilisait systématiquement les mêmes procédés pour parler des personnages secondaires, ce qui m'a rapidement lassé.

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J'en ai lu pas mal, des commentaires élogieux sur ce bouquin. Alors forcément, ça a aiguisé ma curiosité.
Parallèlement à ça, j'aime bien les road-movies meurtriers et les chasses à l'homme qui en découlent.
Après « Seul le silence » et « Les anonymes », c'est le troisième bouquin de Ellory que je lis et autant le dire tout de suite, j'ai été déçu.

J'ai tout d'abord relevé un récit assez monotone et uniforme. Tandis que dans d'autres histoires ayant la même trame principale, les rebondissements s'enchaînent à vitesse grand V et ne nous laissent aucun répit, dans celui-ci, il ne se passe pas grand-chose de follement « excitant » chapitre après chapitre.
Clarence et Digger sont deux frères qui n'ont pas été gâtés par la vie, qui sont nés sous une mauvaise étoile, et qui se retrouvent pris dans périple meutrier, eux qui ne rêvent que d'une chose, aller à Eldorado. S'ensuit une double histoire avec les deux frères qui sont séparés, qui essaient de survivre un peu comme ils peuvent et qui, à cause de ça, dévoilent leur vraie facette. Si on peut relever une chose assez surprenante dans le premier tiers de l'histoire (enfin, qui m'a surpris moi), le reste est assez prévisible. Les scènes de meurtres sont survolées je trouve, les liens entre les personnages pas assez travaillés et l'histoire d'amour du bouquin (parce qu'il en faut toujours une) assez plate.
De plus, je relève par-ci, par-là dans les différentes critiques déjà postées, les mots « haletant », « sanglant », « violent », « passionnant », « éblouissant », etc… autant d'adjectifs qui pour moi, ne collent pas à ce bouquin.

Malgré tout, le livre se lit bien, le page-turner est présent, ce qui fait que je ne me suis pas posé la question une seule fois si j'allais lâcher le bouquin ou pas.
Ça reste un polar correct mais j'espère que les prochains Ellory que je lirais seront mieux que ça.
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Encore un bon roman de R. J Ellory, encore un bon cru des éditions Sonatine.
Peut-être un peu moins touchant, pour moi que l'excellent "Seul le silence". Ce roman reprend les grands thèmes chers à l'auteur : l'enfance, l'innocence bafouée, le mal, les déviances.
Nous sommes dans les années 1960 aux Etats-Unis. Deux demi-frères ont vu leur mère se faire assassiner sous leurs yeux. Ils seront ensuite placés dans des orphelinats et maisons de correction. Un jour, le hasard fait qu'ils croiseront la route d'un dangereux psychopathe Earl Sheridan. Celui-ci va les prendre en otages et un road movie mouvementé et sanglant va alors commencer. L'attitude des deux frères envers le tueur est très différente. L'ainé Eliott va trouver en lui un modèle à imiter et sera fasciné. le second, Clay, va se méfier et s'enfuir dés que possible. Roman très noir, on ne compte plus les cadavres au fil de la lecture. Roman psychologique aussi. Est-ce qu'on est libre dans nos vies ou est-ce qu'on a une mauvaise étoile qui nous suit toute la vie ? Toutefois pas totalement désespérant mais je n'en dis pas plus. Réservé aux amateurs de thrillers.
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L'intrigue en elle-même et la course-poursuite sont plutôt bien menés, même si j'ai trouvé quelques longueurs jusqu'à l'arrivée de l'inspecteur Cassidy qui relance un peu le suspense. le tout apparaît comme un grand puzzle dont les pièces se mettent peu à peu en place, comme un fil auquel on ne peut échapper... Je vous avoue au début avoir même retrouvé un peu de l'ambiance de Shane Stevens dans Au-delà du mal, c'est dire à quel point la violence est présente dès les premières pages de ce roman.

En revanche, voilà que je vais refaire le même reproche à monsieur Ellory que dans son roman précédent, à savoir cette fin aux relents mièvres qui semble vraiment faite pour appâter le lecteur et le laisser sur une note optimiste. Pendant 500 pages, il nous éclabousse de sang, il nous insulte et nous fait frémir face à des armes toujours plus inquiétantes, et là, pif paf pouf, tout est bien qui finit bien, tout ce petit monde rentre chez soi et le méchant est puni. Ah ben oui, mais non ! Quitte à faire du sordide et du glauque, autant pousser jusqu'au bout mon p'tit !
Lien : http://croqlivres.canalblog...
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