Deux femmes, deux monstres de la littérature nippone, ont rivalisé d’adresse en codifiant la « nyôbô bungaku », la littérature des servantes, au Moyen Âge. Murasaki Shikibu a composé le « Dit du Genji », et Sei Shônagon a écrit les « Notes de chevet ». Leurs défenseurs respectifs ne sont pas moins acharnés que les pros et antis « Chartreuse de Parme ».
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