Deux tiers des six millions de Juifs assassinés par les nazis l’ont été au vu et au su des populations locales. Meurtre de masse, publicité du crime, existence de nombreux témoins, acharnement à l’oubli : telles sont les conditions de naissance de la « littérature des ravins ».
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Dans l’ex-URSS, le silence persiste sur les fosses où près de la moitié des victimes de la Shoah ont été massacrées.
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Déplacements : le pluriel des histoires et des littératures