« Il y a ceux qui, lorsqu'ils lisent un livre, se souviennent, comparent, évoquent des émotions éprouvées lors de lectures précédentes. C'est une des plus délicates des formes d'adultère. »
La photographie est parfois un art du silence. Ce silence, l’œil et l'objectif de Manuel Álvarez Bravo le posent comme une équation et une énigme. Tous les termes sont là, à leur place exacte, mais le mystère reste entier.