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We only find them when they're dead tome 1 sur 3
EAN : 9782378872779
144 pages
HiComics (07/07/2021)

Note moyenne : /5 (sur 0 notes)
Résumé :
On n'oublie jamais la première fois que l'on voit un Dieu. Les Dieux sont toujours magnifiques. Et les Dieux sont toujours morts.

2367, aux confins de la galaxie. Dans ce futur lointain, l'humanité a épuisé toutes ses ressources et doit sa survie à l'exploitation de dieux morts flottant dans l'espace, dont les cadavres gigantesques servent désormais de matière première. Le Vihan II est l'un des nombreux vaisseaux nécropsiques qui arpentent le cosmos d... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (9) Voir plus Ajouter une critique
Une magnifique BD de SF, ambitieuse et métaphysique.

J'avais découvert et adoré Al Ewing avec Immortal Hulk et j'avais hâte de voir ce qu'il pourrait faire comme comic indépendant. C'était à la hauteur de mes attentes.

L'histoire se déroule dans un futur où tout le Voie Lactée a été colonisée. Comme souvent dans les Space Opera, le centre dense de la galaxie abrite le plupart des institutions et de la population. La périphérie, au contraire, est un immense territoire peu peuplé et mal régulé.

Sauf qu'au lieu d'en faire en énième Far West spatial, Ewing prend une autre direction.

Le principale occupation de la périphérie consiste à disséquer des cadavres géants des dieux qui dérivent depuis la galaxie voisine. Leur chair sert de nourriture aux voyageurs et la plupart des organes de revendent à prix d'or près de la capitale. La plupart des vaisseaux spatiaux sont donc des espèces de scalpel géant (mais minuscule comparé aux dieux), et chaque corps est dépecé par une nuée de vaisseaux qui se battent pour les meilleurs morceaux. Tout ça sous l'oeil attentif des inspecteurs du gouvernement qui peuvent écouter tout ce qui se dit à bord.

"Le vaisseau a des oreilles" est le leitmotiv du roman. Les équipages apprennent à parler et à utiliser des mots dans un environnement 100% surveillé.

Mais voilà, le capitaine du vaisseau protagoniste n'a qu'un rêve. Partir vers l'autre galaxie, et votre un dieu vivant.

Toute cette histoire est racontée de façon non-lineaire, avec beaucoup d'expérimentation stylistique, qui se sert du médium de la BD au maximum, sans jamais que cela n'alourdisse le texte.

5/5.

Seul bémol : le tome 2 est loin d'être à la hauteur de celui-ci.
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Ce tome constitue la première partie d'une histoire indépendante de toute autre. Il regroupe les 5 épisodes initialement parus en 2020, écrits par Al Ewing, dessinés et encrés par Simone di Meo qui réalise également la mise en couleur, assisté pour cette dernière par Mariasara Miotti. Chaque épisode a bénéficié de deux couvertures, une réalisée par Simeone di Meo, l'autre par Toni Infante. le tome comprend également deux autres couvertures variantes, une par Christian Ward, l'autre par Jenny Frison.

En 2323, le jeune Georges Malik, encore un garçon, se trouve à bord du vaisseau Vihaan de ses parents, au milieu d'une flotte de vaisseaux équipés pour débiter le corps d'une divinité dans l'espace. C'est la première fois qu'il voit le cadavre d'un dieu dans l'espace. En 2367, le vaisseau Vihaan II se dirige vers le cadavre d'un autre dieu, au milieu d'une flotte de petits vaisseaux, tous équipés pour débiter ce type de cadavre. À son bord, se trouve le capitaine Georges Malik, Ella Hauer coroner, Alice Wirth quartier-maître, et Jason Hauer ingénieur. La cloche sonne, et chaque vaisseau se dépêche de s'approcher du cadavre gigantesque pour revendiquer la partie du corps qu'ils vont débiter, et pour vendre les morceaux par la suite. La première fois qu'on voit un dieu est un moment qu'on n'oublie jamais. Leur échelle impossible. Leur pure immensité. Leur impossible beauté. Les dieux sont toujours beaux. Les dieux sont toujours morts. L'un après l'autre, les capitaines de vaisseau annoncent le numéro de la partie anatomique qu'ils revendiquent. le capitaine Malik a choisi une zone de la joue, juste sous l'oeil gauche. Jason Hauer lui indique qu'il aurait dû choisir l'oeil, car les conglomérats pharmaceutiques achètent très cher cette partie-là en ce moment. Malik répond que la concurrence aurait été trop rude.

Ella Hauer est en position : elle a activé son scalpel laser et elle est prête pour découper la joue de la déesse. le vaisseau est en place, et elle commence à trancher dans la commissure de gauche de la lèvre supérieure. Jason indique qu'il a remarqué une escarmouche au niveau du coeur. Il branche la radio et effectivement, deux capitaines sont en train d'échanger des menaces pour savoir qui a la priorité pour procéder au débitage du coeur. Les deux vaisseaux escortes chargés de la surveillance des opérations, se dirigent vers cette zone. Jason détecte un autre mouvement au niveau du genou. Malik explique que ce vaisseau a découpé ce qu'il a pu le plus rapidement possible et qu'il essaye de s'enfuir, sans déclarer sa prise aux autorités, pour ne pas avoir à payer les taxes. Ils sont tout de suite rappelés à l'ordre par Paula Richter à bord de son vaisseau monoplace, officier en charge de l'opération. le capitaine du vaisseau Pavonis Freedom décide de tenter sa chance malgré cet avertissement, et met les gaz. Richter fait feu et le vaisseau est pulvérisé : avant il y avait un vaisseau avec 4 membres d'équipage, et maintenant il n'y a rien.

Il s'agit donc d'une histoire de science-fiction, se déroulant dans le futur, les humains ayant réussi à construire des vaisseaux spatiaux, à coloniser une partie de l'espace, et à maîtriser la technologie du passage en hyperespace. Ils ont établi un contact avec des créatures intelligentes : des dieux. Il s'agit de créatures humanoïdes, revêtues d'armure, d'une taille gigantesque, et chaque fois qu'un dieu est découvert, il est à l'état de cadavre. le premier épisode établit clairement cette situation, et présente les 5 principaux personnages : le capitaine Georges Malik et les trois membres de son équipage, ainsi que Richter, un officier responsable de la supervision de la découpe des cadavres. Les dessins sont réalisés à l'infographie, avec des couleurs acidulées, des vaisseaux spatiaux originaux. L'artiste fait en sorte de ne représenter que des parties des cadavres, la taille gigantesque des dieux ne permettant pas de les représenter dans une unique case. le lecteur est tout de suite frappé par le caractère malsain de cette récupération de chair, ce comportement de profanateurs. Il imagine qu'en fait la chair reste fraîche et donc utilisable du fait de son caractère divin. C'est écoeurant de voir le corps sans vie de ces êtres extraordinaires, ainsi débité en petits morceaux pour alimenter une industrie pharmaceutique et alimentaire : un acte obscène qui évoque aussi bien des charognards, qu'une voracité sans limite digne d'un ogre, l'humanité étant prête à tout manger, à tout dévorer sans aucune considération morale, sans aucun respect pour des êtres supérieurs. Une abomination.

Il faut un peu de temps pour parvenir à cerner les caractéristiques des dessins. Simone di Meo détoure les personnages et les éléments de décor d'un trait fin et assuré. Pour autant, il faut un peu de temps pour bien assimiler chaque forme car il appose ensuite plusieurs couches de couleurs à l'infographie, certaines pour souligner un relief, d'autres pour les reflets de la lumière sur une surface brillante, soit une lumière extérieure, soit la lumière projetée par un élément ou plusieurs d'un tableau de bord. Cela aboutit à des éclairages complexes projetant des motifs géométriques sur les silhouettes, et parfois à des ambiances lumineuses très contrastées d'une case à l'autre, en fonction de l'endroit où se trouve un personnage ou un autre, une case à dominante violette pouvant jouxter une autre à dominante verte, et être suivie par une case à dominante rouge. Ce travail particulier sur les couleurs projette donc le lecteur dans des endroits palpables, même si le fond de case est en fait vide de trait. Environ 90% du récit se déroule à bord de vaisseaux et de navettes spatiales, et pourtant avec ce traitement visuel, il n'y a pas d'effet de lassitude ou d'images répétitives, grâce à la mise en couleurs, et la variété des angles de vue. Chaque personnage dispose de sa propre morphologie, d'un visage et d'une coupe de cheveux particuliers ce qui permet de les identifier aisément, même lorsqu'ils portent une combinaison spatiale intégrale.

Du fait de la nature du récit, le principal décor est le vide de l'espace. Là encore, l'artiste sait apporter de la variété. En fait, ces séquences se déroulent soit à proximité du cadavre gigantesque d'un dieu ou d'une déesse, soit dans l'hyperespace. Dans le premier cas, la silhouette immense se trouve en arrière-plan, toujours trop grande pour tenir dans la case, ce qui produit des effets divers. le lecteur ressent toute la majesté de ces entités et le fait qu'elles imposent l'existence de la mort et de son inéluctabilité par leur simple présence. Il sent une sensation d'écoeurement en voyant le scalpel laser géant du vaisseau Vihaan II entamer le découpage de la lèvre supérieure, mettant à nu la gencive en dessous. Il comprend l'idée de ne pas gâcher en voyant les cubes de viande ainsi découpés, être récupérés par le vaisseau, tout en éprouvant une sensation de perte irréparable et de profanation sacrilège intolérable. Dans le second cas, l'artiste s'amuse avec des effets de couleurs pour rendre compte de la supposée déformation de sa perception lors de voyages à une vitesse supérieure à celle de la lumière. le résultat s'avère très agréable à l'oeil, bien dosé sans systématisme, coloré sans effet psychédélique.

Le scénariste a choisi de jouer un peu avec la temporalité, puisque son récit s'ouvre avec une courte séquence d'une page se déroulant en 2323 alors que Georges Malik est encore enfant, puis il passe en 2367. Il fera ensuite de courts retours en arrière en 2366 et 2337. La séquence la plus aventureuse est celle qui alterne une case de 2323, puis une de 2367, puis une de 2337, puis d'une de ces trois époques pendant 3 pages pour mettre sur le même plan l'expérience vécue par les personnages à ces trois moments. Puis le récit revient à une composition plus classique, le temps présent correspondant à 2367, et les autres étant des retours en arrière, le scénariste prenant bien soin de faire figurer l'année correspondante dans la première case de ladite séquence pour être sûr que le lecteur s'y retrouve sans peine. le lecteur se retrouve vite dans l'état d'esprit des personnages : il souhaite en savoir plus sur ces déités mortes. Il est donc de tout coeur avec le capitaine Malik qui a le projet d'en découvrir une vivante. Il est atterré par les événements lorsque le vaisseau Vihaan II y parvient. Mais le récit n'est pas celui d'une exploration spatiale. le coeur du drame réside dans l'intensité avec laquelle Paula Richter désire tuer Georges Malik. le lecteur découvre donc progressivement ce qui l'a conduite à ce désir de mise à mort. Cet antagonisme trouve sa résolution dans ce premier tome.

Il est probable que la curiosité du lecteur soit éveillée par ce titre étrange et morbide. S'il feuillète le tome avant de le lire, il est également attiré par les jolies couleurs. le premier épisode confirme que l'humanité ne découvre des divinités qu'après qu'elles soient passées de vie à trépas. Cela installe une ambiance morbide et un désespoir palpable. Qu'est-il possible d'espérer si ces entités ont toute succombé à on ne sait quoi ? La narration visuelle s'avère personnelle et très adaptée au récit, une forme de science-fiction lumineuse, mais aussi dangereuse. le lecteur se rend compte que sa curiosité sur ces déités décédées passe en arrière-plan, la haine de Richter pour Malik et l'affrontement qui s'en suit en hyperespace passant au premier plan. Il a bien noté que la suite se déroule en 2376.
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Salut les Babelionautes
j'ai reçu cette BD de Sciences Fiction lors d'une masse critique et bien que je ne sois pas un grand lecteur de ce genre, j'ai bien aimé.
Nous sommes dans un Univers futuriste ou les Dieux sont morts et leurs corps la proie de contrebandiers près à tout pour les dépecer.
Car tout ce qu'ils peuvent récupérer vaux son pesant d'Or.
Les dessins sont un peu difficile à appréhender, très colorés, au point qu'il m'a fallu plusieurs minutes avant de les assimilés.
Ce n'est vraiment pas pour moi.
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Critique des deux premiers tomes :

Le postulat de départ, d'une humanité nécrophage qui, après avoir épuisé la plupart des ressources à sa disposition, se repait des cadavres de dieux qu'elle découvre dans l'univers pour assurer sa survie, est original et ouvre la voie à d'intéressantes réflexions. le tome 1 sert principalement à mettre en place ce contexte et à poser les bases de l'intrigue principale qui débute dans le tome 2 ; le mystère qui entoure ces dieux ne palie malheureusement pas au faible charisme des personnages et au manque de force du drame personnel qui construit la légende du protagoniste. On peut également regretter une certaine lourdeur dans les dialogues et de trop nombreux sauts dans la temporalité de l'histoire : les analepses et prolepses sont certainement mal agencées.

Le deuxième opus est plus convaincant, on y voit le commencement du classique conflit - que l'on retrouve dans beaucoup de space opera - entre les riches planètes intérieures et la frontière exploitée. Il n'est cependant pas uniquement basé sur les inégalités mais principalement sur la divergence de croyances envers ces dieux ; l'intérêt du récit réside alors dans la conception que chaque protagoniste se fait de la foi : allant d'un simple moyen d'obtenir pouvoir et autorité, à une doctrine qui donne à l'existence tout son sens. le parallèle avec la place que prend la religion dans nos sociétés est évident. Dans ce tome les nouveaux personnages semblent également plus travaillés.

Graphiquement, le constat est aussi mitigé : si certaines pages ou double pages sont grandioses, il y a beaucoup trop de flou de lumière, de flou de mouvement et de flares qui font disparaitre le décor - ou servent simplement à éviter de le dessiner - et ne rendent pas la lecture agréable ; bien qu'ils soient très beaux, la diversité dans les traits des personnages laisse à désirer ; enfin, certaines illustrations bonus de fin de tome auraient fait de bien meilleures couvertures que celles, beaucoup trop classiques, qui nous sont présentées ici.
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Dans un univers où les ressources sont épuisées, des flottes de vaisseaux « nécropsiques » minent le corps inerte de dieux gigantesques…

Je suis entré dans ce comics avec le titre comme seul indicateur. Complètement perdu, je me suis laissé porté par ce récit très coloré. le contexte posé, les premières questions se bousculent déjà, les mêmes que pour les protagonistes. Et heureusement, puisque ce sont ces mêmes protagonistes qui vont enfreindre les règles, des règles trop d'astreignantes, et se lancer dans une quête vers plus de questions, vers un dieu vivant.

Un scénario intriguant, un univers original, et des planches étonnamment chargées alors que tout se déroule dans le néant de l'espace. Un parti pris intéressant, toujours au plus près des visages, de l'action, des mouvements. Quasiment aucune distanciation, aucun recul et ce n'est pas toujours simple de s'y retrouver.

Merci à Babelio et aux éditions HiComics pour cette découverte !
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critiques presse (3)
9emeArt
21 décembre 2022
Via la proposition d’un monde où les humains sont obligés de piller des cadavres de dieux pour survivre, les auteurs utilisent l’un des atouts classiques de la SF : critiquer les dérives de la société contemporaine. D’abord avec ce contrôle de matières premières et le pillage de ressources limitées. Puis, les dérives intégristes des religions à travers ces divinités cosmiques.
Lire la critique sur le site : 9emeArt
SciFiUniverse
03 septembre 2021
Sublimes, les couleurs de cet album vont vous transporter dans un lointain futur où l’humain a fini de piller toutes les ressources. Désormais, il puise ses besoins sur les cadavres immenses d’anciens dieux dans l’espace, un travail ingrat réservé à quelques équipages de vaisseaux dont celui du capitaine Malik. Mais cette vie est dangereuse et notre héros est étrangement obsédé par ces dieux.
Lire la critique sur le site : SciFiUniverse
LesComics
15 juillet 2021
Ne vous y trompez pas. We Only Find Them When They’re Dead est d’ores et déjà un des titres de l’année ! Une valeur sure et un récit à ne pas manquer que l’on soit fan de SF ou non. Une très bonne pioche que je recommande chaudement !
Lire la critique sur le site : LesComics
Citations et extraits (1) Ajouter une citation
J’avais cinq ans la première fois que j’ai vu un Dieu mort.
D’ici trois jours…
…c’est un Dieu vivant que nous verrons.
Commenter  J’apprécie          00

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Tous nos remerciements à Emmanuel Peudon pour le montage et à ClemB pour le générique.

Plus d'infos sur notre site internet : https://www.panini.fr/
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