Entre un beau soleil et un livre à lire, logiquement, ce serait le soleil qu'il faudrait choisir. Pourtant, il y a un gros problème. Comme tout le monde, je suis interdite de sortir. Ohhhh ouiiii !!!! Vous avez compris. le confinement !!!!!!! Si vous avez l'habitude de sortir, si vous avez l'habitude de faire du sport, si vous avez l'habitude de bouger tout simplement, et bien faite le depuis chez vous. En plus, depuis que je me suis réveillée, j'ai découvert qu'il est fort possible que cela va durer deux mois. Oui !!!! Vous avez bien entendu. Deux mois. Çà va pas être de la tarte. C'est moi qui vous le dit. Personnellement j'ai fait venir bon nombre de livre via un certain site. Alors non seulement il y a du retard dans les livraisons, mais en plus, on ne peut pas suivre suivre le colis depuis le site. du coup je passe par l'auteur. Idem,sauf qu là je découvre via la poste que la livraison va prendre quatre mois. Là c'est un sacré foutant. Alors, comme je m'ennuie ferme et sec, c'est direct l'Ebook. Désolé ma belle Ysaline, mais je n'ai pas pu attendre ton dernier bébé. Je suis une dévoreuse d'histoire, et j'adore trop tes cabotins pour attendre l'arrivé du livre. Alors, quand tu as posté sur Facebook que l'Ebook était arrivé sur Amazon depuis hier, je n'ai pas attendu trop longtemps pour me faire plaisir. Et dés l'instant que je l'ai eu entre mes mains, je l'ai nommé ''mon précieux''. Il faut dire que je l'attendais depuis longtemps celui là. La meilleure ???? Je l'ai lu, ou plutôt dévorer comme une bonne tablette de chocolat en moins de trois heures. C'est fou ce que tes livres me font comme effet. Mais vu l'heure à laquelle je l'ai fini, j'ai du attendre les aurores pour prendre mon ordi et chroniquer.
Bref, c'est parti pour découvrir l'histoire de l'ancien second de la meute de Chânais, une meute pas comme les autres… Cela fait à présent près de huit siècles que Kerwan de Chânais porte en lui le fardeau de la trahison qui a déchiré son âme. Huit siècles qu'il a commis l'irréparable. Aujourd'hui, son passé le rattrape et vient lui réclamer des comptes. Mais la meute n'abandonne jamais les siens, et à l'heure où une Bête sévit en Avalon, répandant mort et destruction sur son passage, les de Chânais trouvent une alliée inattendue en Inaïa, la druidesse porteuse de la rune de Dag. Elle seule peut offrir une rédemption à Kerwan. Si toutefois la Bête qui rôde dans l'ombre lui en laisse le temps…
Simple et efficace. Il faut dire que l'histoire du jeunot de huit siècles est pour le moins intrigante. du moins jusqu'à ce que l'on découvre toute la vérité, rien que la vérité, la totale et entière vérité. C'est pourquoi je vous propose de découvrir les personnages de ce tome.
Kerwan, ''brun'' en celte, est un homme comme tout loup garou qui se respecte, bloqué dans sa vingtième année, age de la morsure. Depuis le début de la saga, nous le découvrons comme l'ancien second de la meute, qu'Aymeric avait battu lors d'un défi afin de lui prendre la place, faute de ne pouvoir avoir celui de l'alpha. Dans le tome six, on l'y découvre comme étant demandeur pour la morsure à Duncan et a combattu au coté de celui-ci pour mettre fin au règne de terreur qu'Harold l'ancien seigneur du clan. On aurait pu penser que son histoire s'arrêterait à là. Mais Ysaline est fortement sadique avec ses personnages, et oui je le confirme, qu'elle à rajouter une couche en plus sur cette histoire. le pauvre Kerwan en bave énormément avec elle. Pourtant à travers ce tome, on découvre que c'est un homme simple, doux, un peu cabotin, fort soulagé de ne plus être le second de la meute, mais hanté par des ténèbres sans frontières. Contrairement aux jumeaux où à Elwyn, il reste dans son petit coin. Son humour est sans prétention et en aucunement du m'a tu vu. En clair, il m'a énormément plu. Même sa drague est d'un simplisme. Et pourtant, cela n'empêche pas l'autrice de le persécuter de remords.
Inaïa, druidesse d'Avalon, porteuse de la rune de Dag, et don le pouvoir permet de savoir si oui ou non la personne qui parle ment, porte à merveille son nom. Elle est pleine de sollicitude, possède de l'humour à foison, est pétillante, dynamique, guerrière, pleine de joie de vivre, sociable, confiante, loyale et n'a pas sa langue dans sa poche. Cette femme m'a plu énormément par sa manière d'être, par sa façon de penser, par son caractère et surtout par sa manière de faire les choses. J'ai bien envie de la retrouver dans les prochains tomes.
La bête, la grande méchante de l'histoire, est pour le moins la plus déroutante de tous les grands méchants du monde livresque. Il faut dire que sa haine ne date pas d'hier. La violence de ses exécutions sont écoeurantes. Mais pourtant, elle commet de sacré erreurs, puisque Duncan et Beowyn arrivent à la ressentir. On sent ben qu'au fond d'elle, c'est un être fortement malheureux et qu'il suffit d'une main tendue pour qu'elle vire sur le bon chemin.
Bien évidement on retrouve tous nos personnages préférés. Les fille de la meute, Duncan, Aymeric, Aloys, Faolan, Ciaran, etc ... Mais dans ce groupe je n'en n'ai retenu que deux. Tout d'abord Titouan, le fils du duc, va avoir vingts ans. Et oui !!! Ce grand dadais est en age de demander ou non la morsure. Alors demandera ??? Demandera pas ??? Je vous laisse le découvrir. Ensuite il y a Anthony. C'est vrai qu'on l'a bien connu ce garnement. Mais qui sait, il est fort possible que son histoire ne s'arrête pas là. Une petite idée ??? Moi je sais tout, mais je ne dis rien. Désolé Ysaline, désolé Aurore, mais être en mode chipions, ce n'est pas que pour vous. Et comme vous aimez à le dire : je nargue pas j'informe. MDR.
Bref, si je continue de palabrer dans ce sens, je n'en finirais jamais. Il faut dire que j'ai énormément de chose à dire, mais que j'essaye d'en dire le moins. Je sais !!! Il faut être moi pour le comprendre. Je vais essayer de me rattraper en faisant en sorte de parler de la plume de l'autrice, la relation entre les personnages et l'intrigue.
Tout d'abord, la plume d'
Ysaline Fearfaol est toujours aussi envoûtante. Les pages défilent toujours autant avec ce rythme effréné. L'histoire reste quand à elle une tuerie. Les émotions, de plus en plus intenses. On y sent sa passion pour les loups, et delà découle une véritable histoire, tout droit sortie de son imagination follement dingue. On retrouve une véritable simplicité dans ses mots, et cela est plus qu'appréciable. L'humour de nos chers de Chanais n'est certes plus à présenter, mais cela n'empêche à ces derniers de nous en coller une bonne tranche. On y retrouve aussi beaucoup de moments sensuels et pudique à la fois. En réalité, je trouve que cela colle bien aux personnages. Comme dans chaque tomes, on apprécie les nombreuses scènes d'actions, de rebondissements, de quiproquos, d'enquête, de douceurs, etc … Et puis, ce qui m'a rendu dingue de rire, ce sont les allusions cinématographique et littéraire (Astérix, les Kergallen, la bête du Gévaudan, Harry Potter). J'ai adoré. Mais le plus hallucinant, fut le fait qu'elle a encore renouvelé son stock d'humour avec le fait qu'elle a réussi à placé sa licorne dan l'histoire et enrichi de cette façon l'univers qu'elle a mit en place. Oh fait !!! Chère Ysaline, ne serais tu pas fana du dessin animé Mon petit poney ??? Une réponse positive ne m'étonnerais guerre. LOL. Les paysages et les scènes sont toujours aussi époustouflants. Et les personnages, pleins de mystères et charismatiques. En un mot : waouh !!!!!!!!!!!!
Ensuite on a la relation entre les personnages. On dit souvent que les contraires s'attirent, mais pour le coup, je trouve que ce couple sont en parfaite harmonie l'un avec l'autre. Ni trop identiques, ni trop différents. Inaïa et Kerwan, ce sont deux êtres qui se ressemblent énormément et qui en même temps sont totalement différents. C'est une relation fusionnelle. Même dans la vraie vie, il est rare d'en trouver. Moi je l'ai trouver avec mon meilleur ami. Dans ce genre de relation, chacun essaye de protéger l'autre à sa façon. Parfois, juste un ton dans la voie permet à l'autre de savoir si tout va bien ou non. Un simple mot ou un simple geste de l'un, va permettre à l'autre de se sentir mieux, etc, … C'est une relation basée sur le respect, la loyauté, la confiance et la sincérité. Ce couple est très soudé, et même si tout est prévu pour que l'un comme l'autre soient fait pour être ensemble, on sens bien que le lien est fort. Dans la galère, ils sont unis. Dans la douleur ils sont unis. Dans la peine, ils sont unis. Bref, vous avez compris, c'est une belle histoire d'amour, et il ne manque plus que le mariage.
Enfin, l'intrigue du livre tourne autour de la recherche de la bête. L'enquête et les scènes, vous font tourner en bourrique. Il y a peu de place à l'imagination durant ces moments. L'enquête que les exécuteurs et la guerrière mènent vous font poser de nombreuses questions, et vous laissent dans le noir le plus total. Comment est t-elle apparue ??? Pourquoi en veut elle à Kerwan ??? Qui est ce ??? Est ce un homme ??? Est ce un loup garou fou ??? Est ce son ex ??? Bref, vous avez compris, on spécule énormément. Mais quand l'identité de la bête est dévoilée, et que l'on découvre le pourquoi de cette haine, on pourrait se mettre à haïr le héros de ce tome. Mais il n'en n'est rien. Car on sent toute la peine que ce dernier possède. Personnellement j'en ai pleuré. Mais grâce au ciel, Ysaline adore les happy end. Merci ma Dame.
En conclusion, encore un livre que j'ai dévoré. La preuve, je n'ai pas attendu que la version papier débarque chez moi. C'est pour dire que je suis accro aux roman de la belle autrice. Comme je l'ai dit, elle adore martyriser ses pauvres personnages, les faire passer dans des moments des plus intenses et douloureux. Mais cela n'empêche pas qu'ils vont avoir un happy end. Quoique, avec les Kergallen dans les parages, ce serait plutôt, happy end pour la dulcinée. Les personnages sont toujours aussi attachants, et la plume aussi envoûtante que celle du premier tome. Bref, un roman des plus génial. Et même si j'en redemande, je sais qu'il faudra encore attendre des mois et des mois pour le tome huit des aventures de cette meute pas comme les autres avec l'histoire d'Aydan. Lui, j'en ai entendu parler, mais sans plus, alors, çà va être une tuerie. A bientôt pour une future chronique.
P.S : La prochaine fois, quand tu choisis un nom, évite ceux qui sont imprononçable ? Parce que là, tu as fais fort, et en plus il est long.
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