Je passe quelques bons moments en NZ, j'occupe mon temps libre en faisant de la cuisine : des décors vrais, avec des vrais noms, pour faire VRAI, des maoris déjantés, un flic furax, un proc vicelard, une paumée, un peintre psycho ... une cohorte de débiles, je remue, j'ajoute un peu de liquide, rouge de préférence, un peu de poudre, blanche si possible, et je remue encore, dans tous les sens. Je prends une contrainte à la Pérec : que tout le monde meurt à la fin ( j'en ai compté plus de vingt, même le médecin légiste, qui n' a que peu de rapport avec l'histoire, se fait buter). Ce pari ridicule, c'est bien la seule chose de réussie dans ce chemin de croix bourré de clichés, mal écrit, et sans queue ni tête. du grand guignol, à se marrer ou à pleurer. Choisissez !
Et ça a décroché des prix ??
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Violent, misogyne, homophobe....
L'auteur semble voiler la faiblesse de l'intrigue sous un débordement écoeurant de violence.
«Le sort s'était acharné sur lui : disparition de la mère, impuissance, esclavage sexuel, homosexualité, viol, prostitution. »
Tout au long du roman, l'homosexualité est présentée comme une cause évidente des folies meurtrières des protagonistes.
Les femmes sont décrites pas leur tour de poitrine etc...
Rien n'allège la lourdeur des clichés qui s'enchaînent dans ce roman.
Seul point positif, il m'aura poussé à franchir le pas et enfin m'inscrire sur babelio afin de donner cet avis !
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Mal écrit, ennuyeux, prévisible, style lourdingue, accumulation de clichés.... je n'ai vraiment vraiment pas aimé. J'ai pourtant essayé : 250 pages lues sur un total de 440, mais j'ai abandonné. Il y a mieux à faire dans la vie que de lire un mauvais livre...
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