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sur 4433 notes
Un bon moment passé chez les Cheyennes
J'ai toujours eu de l'admiration pour tous les indiens d'Amérique et en lisant cette histoire mon ressenti se confirme
La fourberie de l'homme blanc face aux "peaux rouges " comme ils les appelaient
Ces femmes blanches " vendues" à cette tribu et qui vont s'y intégrer assez bien , finalement
May Dodd la blanche /indienne qui a vécu une vie incroyable ...passant d'une famille riche à l'asile puis finissant sa vie chez les Cheyennes épouse d'un grand chef indien Little Wolf........
L'extermination minutieuse des habitants des grandes plaines .....au profit du "blanc " américain ( enfin oui mon oeil ....des émigrants .....hein Trump....)
L'histoire se répète sans cesse.....exterminer....ou parquer " les autres" ceux qui dérangent
Alors que nous pouvons tous vivre ensemble et apprendre les uns des autres
Et je pense à ces américains ....indiens et autres qui aujourd'hui se battent dans le Dakota .....contre la construction d'un pipe line qui détruirait la nature ....polluerait l'eau ......
Le combat continue .....rien ne change ......
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May Dodd est née dans une riche famille américaine mais elle en a été bannie car elle est tombée amoureuse et a vécu avec un homme hors mariage et a eu deux enfants. Ses enfants lui ont été enlevés et elle a été placée en hôpital psychiatrique. En 1875 le Président Grant passe un accord avec le chef des Cheyennes : 1000 femmes blanches devaient se marier à 1000 guerriers afin de favoriser l'intégration des indiens. May voit là un moyen de s'évader de l'hôpital et s'engage dans cette croisade. 
Le récit se fait à travers le journal que tient May au fil des jours dans sa nouvelle vie. 
Elle rencontrera l'amour avec un capitaine de l'armée, Bourke, à la veille de son intégration mais elle ira au bout de son engagement et sera mariée à Little Wolf, chef charismatique cheyenne.
Elle va vite s'intégrer à cette nouvelle vie, découvrant leurs moeurs, leur itinérance, leur philosophie et prendra vite fait et cause pour ceux qui partagent maintenant sa vie.
Roman initiatique sur la vie des peuples indiens, sur leur incrédulité parfois mais aussi la violence de certaines tribus.
On retrouve tous les espoirs mais aussi les mensonges, la suprématie des hommes blancs et leur revirement afin de prendre possession de terres dont ils pensent être les propriétaires.
Il y a la solidarité féminine, des scènes de combat, des moments d'humour et d'émotion.
J'ai beaucoup aimé l'écriture, très féminine malgré que l'auteur soit masculin, la réalité transcrite, on le lit comme on verrait un film des années 50.

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J. Will Dodd nous livre les journaux de bord tenus par son arrière arrière grand mère à la fin du 19e siècle. A cette époque, les indiens vivaient encore libres dans la Grande Prairie même s'ils sentaient, comme une intuition, que les Hommes Blancs pouvaient être leur perte. C'est la raison pour laquelle le grand chef Little Wolf a fait le pari fou de proposer au président Grant d'échanger mille femmes blanches contre mille chevaux. Les enfants issus de ce mélange ethnique devraient être l'avenir du peuple indien et vivre en harmonie avec les Blancs dont ils détiendront une partie d'héritage. May Dodd se porte volontaire pour cette aventure qui s'annonce excitante... Ses carnets nous racontent cette folle année qu'elle a vécue au sein d'une tribu cheyenne pour qui les réserves indiennes n'étaient encore qu'un vague concept.

On sait que tout n'est que fiction; d'ailleurs l'auteur le rappelle à la fin du roman. Mais c'est tellement bien raconté, c'est tellement criant de vérité, qu'on oublie tout au long de la lecture que cette histoire ne s'est jamais produite, que ces carnets sans âge n'ont jamais existé.
Et c'est cela tout l'art de Jim Fergus: nous faire vivre une vraie aventure depuis son canapé. Parce qu'on l'a senti dans nos tripes l'enthousiasme de ces femmes téméraires, qui ne savaient pas très bien dans quoi elles se lançaient mais qui pensaient que ça ne pouvait être que pour un mieux. On l'a vue devant nous cette Grande Prairie où paissent les bisons, il a fait frémir nos narines ce feu de bois où des marmites mitonnent à toute heure du jour et de la nuit, on les a entendus ces "hou hou" au-dessus des galops des chevaux... Et c'était juste formidable !

Un bien beau voyage donc, dans un temps qui n'est plus depuis longtemps, au sein de ce peuple qui n'avait même pas de mot pour évoquer le concept du "mal", qui croyait un peu à la magie et beaucoup en la famille. Jim Fergus, sans être militant, nous propose un bel hommage à ces hommes et ces femmes, issus d'un autre temps et dont les âmes continuent certainement de parcourir la Grande Prairie.
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Fin du XIXe siècle, le chef d'une tribu cheyenne, Little Wolf, se rend à Washington pour proposer un marché au président des Etats-Unis, Ulysse Grant : mille femmes blanches contre mille chevaux. Ces mille femmes auront pour vocation de devenir des épouses et des mères en vue de rapprocher les deux populations. La proposition est, dans un premier temps, refusée et scandalise la population américaine qui lynchera ses « sauvages » lors de leur départ. Après mûres réflexion autour de ce marché qui permettrait d' « éduquer » cette population, le président accepte. Un premier convoi composé d'une centaine de femmes est envoyé. Ces femmes, quand elles ne sont pas volontaires, ont été cherchées dans les prisons et les asiles avec pour arrangement leur libération totale après deux années de « loyaux services ».

May Dodd est l'une d'entre elles. Enfermée par ses parents pour « démence sexuelle » dans un asile après qu'elle ait décidé de vivre sa vie avec un homme (en dessous des critères de sa famille) avec qui elle a eu deux enfants hors mariage, May Dodd accepte pour retrouver une certaine liberté et l'espoir de revoir un jour ses enfants. Tout au long de son aventure, May consignera toute son aventure dans des carnets, ce sont ces carnets que nous lisons. Cette façon de proposer le récit sous la forme de journaux est très immersive et enrichissante mais possède plusieurs contraintes : un manque de description et des événements peu racontés qui ont tendance à frustrer.

Dans ses nombreux carnets, nous suivrons son voyage et sa découverte de cette civilisation inconnue jusqu'alors. L'Ouest sauvage renferme beaucoup de surprises auxquelles elle et ses nouvelles amies ne s'attendaient pas du tout. Nous découvrons tous à travers ses yeux : les conditions de vie des indiens, leurs cultures, leurs fêtes, leurs nourritures, leurs langages et leurs combats. May Dodd est un personnage très complet. C'est une femme pleine de caractère qui n'aura pas peur de dire ce qu'elle pense et de prendre les choses en main. Pleine de qualité, elle n'en reste pas moins sans faiblesses. Elle est donc un personnage très intéressant à suivre.

Mille femmes blanches est un roman fictif inspiré d'un fait réel. Malgré quelques longueurs, le roman reste fascinant par son engagement et son envie de partager le quotidien de ses cheyennes. On passe par de nombreuses émotions en lisant ce livre : on rit, on s'étonne, on s'émerveille mais on est également scandalisé, outré et même ému par cette population fascinante mais avec également beaucoup de travers.
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Fin du 19ème siècle, un pacte odieux est proposé aux Indiens d'Amérique : afin de repeupler leur tribu et favoriser la mixité "raciale", les Blancs échangerons mille femmes blanches contre mille chevaux. On se débarrasse des parasites blancs (femmes criminelles, folles ou considérées comme telles) et on affaiblit les Indiens en leur prenant leurs chevaux. Les Blancs sont gagnants et placent leurs pions dans le Grand échiquier de l'holocauste indien.

Grâce à ces journaux et lettres écrits tout au long de son aventure indienne, on suit May Dodd et quelques autres des femmes blanches, Martha, la timide, Helen, l'artiste, Sara, la muette, Gretchen, la robuste et Phémie, l'ancienne esclave.

Toutes ces femmes ont un destin hors norme où chacune va trouver enfin leur place, leur destinée, qu'elles n'ont pu avoir dans leur pays d'origine.

Malheureusement, plus on avance et on sent poindre le destin tragique lié aux Indiens ...

Sur fond de réalité historique, Jim Fergus construit un roman épique, romantique et surtout humaniste : Les blancs ne sont pas épargnés, mais les Indiens non plus et encore moins la Religion comme trait d'union entre ces deux peuples. Chacun faisant preuve d'atrocité.
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Jim Harrison a dit lui-même de ce livre qu'il s'agissait d' "un roman splendide, puissant et exhaltant".
Sur ce, je suis tout à fait d'accord avec lui. Même si le sujet de l'histoire est assez révoltant (un chef cheyenne, prénommé Little Wolf, demande au Président Grant de lui échanger mille femmes blanche contre des chevaux, ce qui va effectivement avoir lieu). le sujet peut donc paraître révoltant à premiere vue puisque les femmes sont assimilées à du bétail mais au fil du récit (il s'agit en fait du journal intime de l'une de ces femmes qui ont été "troquées" aux Indiens), on assiste au mélanges de ces deux races, qui, à priori, n'ont rien en commun, et l'on s'attache de plus en plus à ce peuple, qui était jusqu'alors, méconnu, et souvent jugé à tord de barbare et de non civilisé. L'histoire est touchante et captivante. A découvrir !
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Pour ce premier roman, Jim Fergus, part d'un fait réel : la visite du chef Cheyenne Little Wolf au Président Ulysses Grant en 1874. Nul ne sait ce qui s'est dit lors de cette rencontre à Washington. L'auteur imagine qu'un deal incroyable aurait été scellé : l'échange de mille femmes blanches contre autant de chevaux pour favoriser l'intégration des indiens dans la nouvelle population des Etats-Unis d'Amérique et la paix entre les Amérindiens et les blancs.

C'est May Dodd, l'une de ces femmes échangées, qui raconte son histoire, dans des carnets retrouvés des années après sa mort. May est un personnage hautement romanesque. C'est une histoire d'amour qui allait à l'encontre des règles de la bonne société qui lui vaut l'enfermement en asile psychiatrique. Lorsqu'elle entend parler de cette histoire d'échanges (2 ans de sa vie pour faire des bébés qui seront la future Amérique), elle voit l'occasion de retrouver la liberté et surtout ses deux enfants. Naïve ? Peut-être. Romanesque ? Sûrement.

Se déroulant sur une année, les carnets décrivent, par le regard d'une femme blanche éduquée, la vie d'une tribu cheyenne. le parcours ces quelques femmes, mariées à des « sauvages », solidaires, intégrées au sein des familles de leurs maris, va de l'observation et la volonté d'imposer la bienpensance WASP (White Anglo Saxon Protestant) à la sidération face à certains comportements, en passant par l'assimilation de certains codes cheyennes.

Nous avons certes là une fiction bien romanesque avec une héroïne forte, courageuse, battante, amoureuse, moteur pour la communauté et bien évidemment mariée au chef de la tribu après avoir eu une brève aventure avec le commandant américain de la plus proche garnison. On a aussi une sévère condamnation de la politique menée par le gouvernement vis-à-vis des populations autochtones du nord du continent américain. Une politique faite de promesses non tenues, de manipulation, de guerre dont la sauvagerie n'a rien à envier à celle associée aux populations sacrifiées.

Il n'en demeure pas moins que le roman de Jim Fergus, premier opus d'une trilogie, est une oeuvre qui ne manque pas de souffle épique, avec des personnages attachants. Il dresse une image captivante de cette période de la « Frontière », phase importante de la construction de la nation américaine, laquelle en porte toujours les stigmates.
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Après avoir lu beaucoup de critiques sur Babélio, j'avais oublié que je possédais ce livre encore non lu sur mes étagères, j'ai aussitôt plongé dans ce livre avec délectation.
L'histoire est déjà extraordinaire pour nous qui vivons dans notre civilisation étriquée, un roman qui nous entraine dans un autre monde, un autre temps, une autre réalité.
La beauté des paysages, la dureté de ces cycles intemporels où une faune et une flore pleine de vie jaillit devant nos yeux émerveillés, c'est comme une fenêtre qui s'ouvre et l'air y est si pur qu'on en est tout étourdit!
Je ne raconterai pas ici l'histoire, qui est déjà bien décrite par d'autres amis babéliotes, c'est le ressenti du pouvoir des mots sur notre imagination qui sévit ici. On aimerait tout quitter pour retrouver ces sensations de liberté et de respect pour la nature de ces tribus nomades, témoins d'un mode de vie disparu.
Qui aurait le cran aujourd'hui de tout quitter et vivre ainsi? C'est une belle leçon de vie que nous a laissé May Dodd et ses compagnes, où le bonheur n'est qu'un rêve de blanc qui ne sait pas ce que la vraie survie quotidienne implique vraiment. Laissons à L Histoire les guerres indiennes, le génocide et la honte aux américains, comme pour tous les envahisseurs de ce monde, mais retenons la force, la dignité et le désir de vivre selon leurs traditions ancestrales de ces peuples insoumis à nos règles.
C'est un roman qui rend hommage à ses pionniers et pionnières de l'intégration et de la tolérance.
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Insolite cet échange de 1000 femmes blanches contre 1000 chevaux. Tellement insolite que la requête de Little Wolf, chef des Cheyennes auprès du Président Grant en 1875 ne sera pas retenue.
Pourtant Jim Fergus met en scène habilement ce « contrat faustien ». Les carnets d'une des captives, May Dodd, sont retrouvés plus d'un siècle plus tard. Tout est en place pour nous faire découvrir un épisode méconnu de l'histoire.
On suit sans peine cet exil volontaire de femmes marginales vers les réserves indiennes et on y croit , un temps.
Lecture plaisante  et vivante. On épouse le parti pris de la diariste May Dodd, forte personnalité, ouverte et positive. Malheureusement tout est un peu trop lisse, les personnalités sans réelle nuance, incarnant des stéréotypes. Étonnant comme on peut accepter sans sourciller ces défauts dans un  western et comme il est plus difficile de les apprécier en littérature.
Ces travers identifiés, le regard sur les Indiens, leur rapport à la vie, à leur peuple, à la nature, au sacré n'en reste pas moins captivant. Une vraie intelligence d'une culture dévastée par l'avidité et l'individualisme des conquérants de l'Ouest. Bel hommage à porter au crédit de l'auteur.
Si la tentative de restauration d'un peuple opprimé est aujourd'hui un thème récurrent et consensuel, Jim Fergus s'aventure aussi sur des terrains plus mouvants.
Il nous parle sans retenue des "sauvages", de femmes dont le destin est de procréer et de s'occuper de la famille au sens large et parle de supériorité naturelle des femmes sur les hommes. Les marques réelles de l'égalité des sexes revendiquées de May Dodd sont parfois courageuses, d'autres ne sont pas toujours celles d'aujourd'hui. Est-ce pertinent à cette époque, dans ce contexte ?
Jim Fergus réussit l'incroyable pirouette de nous faire avaler l'échange des femmes et de nous en montrer toute la grandeur. de ces femmes consentantes on parlerait aujourd'hui de syndrome de Stockholm.
Retenons l'empathie et l'admiration devant les vertus du peuple cheyenne et ne boudons pas notre plaisir. Un roman original et astucieux.
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J'ai acquis “Mille femmes blanches” de Jim Fergus sur un site anti-gaspi de ma région : « Je donne, je reçois » Chacun donne ce qu'il n'utilise plus mais qui est encore en bon état et qui peut intéresser ou dépanner quelqu'un et en contrepartie, vous pouvez demander ce qui vous intéresse. Comme les critiques étaient bonnes sur Babelio, j'ai demandé ce livre. Bien m'en a pris. J'ai passé un très bon moment. Mais comme beaucoup, je me suis interrogée sur la véracité de cette narration et j'ai recherché des informations.
Le roman de Fergus est basé sur un fait presque historique : En 1875 l'un des grands chefs cheyennes, Litlle Wolf, a rencontré le Président Ulysse Grant. Nul ne sait de quoi il fut question mais Jim Fergus a imaginé une proposition de Little Wolf au président : marier des hommes de la communauté cheyenne avec des femmes blanches. Selon la vision naturelle simpliste des indiens, les enfants à naître seraient le parfait métissage des cultures blanches et indiennes et permettraient l'intégration et une meilleure assimilation des deux peuples. En contrepartie, il propose le bien le plus précieux des indiens des plaines, les mustangs. Un échange de mille femmes contre mille chevaux !
Jim Fergus imagine que cette offre a été partiellement acceptée et qu'un premier contingent d'une centaine de femmes triées dans les prisons et hôpitaux psychiatriques aient été échangées contre des chevaux. La liberté contre un acte patriotique d'éducation des sauvages ! le livre est présenté sous forme de carnets intimes d'une de ces femmes, retrouvés dans les archives cheyennes par J. Will Dodd, un des descendants de celle-ci, journaliste indépendant. Il s'agit de May Dodd, jeune femme d'une famille bourgeoise de Chicago, enfermée dans un asile pour avoir eu deux enfants hors mariage avec un homme qui n'était pas de son milieu.
L'auteur imagine que ces malheureuses accepteraient ce marché en estimant que leurs conditions de vie chez les sauvages seraient meilleures que dans le monde civilisé, et qu'à tout le moins leur propre vie semble enfin leur appartenir.
On suit donc la vie de May Dodd, on apprend la raison pour laquelle elle a été enfermée dans un asile et pourquoi elle a été amenée à partir dans les confins des plaines du Nebraska pour se marier avec un Cheyenne. Elle témoigne de sa rencontre avec les «sauvages », de son adaptation à ce rude mode de vie en harmonie avec la nature, les saisons et les animaux. May Dodd et ses compatriotes, reprises de justice, aliénées et exclues de la société, volontaires pour aller vivre auprès des "sauvages" et leur donner un enfant, vont s'adapter, comprendre et finalement aimer ce mode de vie tellement différent.
Les portraits de ces femmes sont réussis. Leur évolution est intéressante : au départ, leurs réticences ensuite leur adaptation pleine d'étonnement. La barrière de la langue est bien présente pendant une grande partie du récit puis elles arrivent à se faire comprendre par signes puis progressivement apprennent quelques mots et expressions Cheyennes.
Ce livre nous ouvre les yeux sur l'injustice du sort des Indiens d'Amérique, ce peuple divisé, incapable de rassembler les tribus pour affronter l'Homme Blanc. C'est un témoignage bouleversant du processus d'éradication mis en place à cette époque. Ce sont aussi de beaux portraits de femmes dans un monde où beaucoup de portes étaient fermées : elles montrent une personnalité et un courage remarquables et deviennent attachantes. Je me suis procuré le second tome que j'ai déjà commencé.


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