Bridget Jones, tome 1 : Le Journal de Bridget Jones

Que dire ?
Le film Bridget Jones est plaisant et divertissant. Bridget est touchante par sa naïveté, rigolote. de ce fait, le film se regarde et permet de passer un moment agréable. Les films suivants sont du même acabit.
J'ai emprunté le livre à la bibliothèque, espérant retrouver cet état d'esprit et passer un bon moment de lecture.
Déception. le livre est effectivement écrit comme un journal. de là, il n'y a pas la même intéraction entre Bridget et ses amis que dans le film. Au bout de 50 pages, j'ai survolé la lecture en diagonale. Au bout de 100 pages, j'ai refermé le livre. Et je n'irai pas au-delà. Sans intérêt, plat, inintéressant...
C'est rare d'être déçu par un livre qui est ensuite devenu un film, rare de ressentir le livre en-dessous du film. Comme quoi, tout arrive !!!!

Avant de commencer, certains connaissent d'avance mon aversion pour la chick-lit, d'ou mon manque d'objectivité quand un livre de ce genre passe entre mes mains, bien que je fasse des efforts pour tenter d'y trouver quelque chose de bien.

Le Journal de Bridget Jones m'a été prêté il y a quelques années par une amie. N'ayant vu que le film, il fallait selon elle que je comble cette lacune à tout prix et me plonge dans ce "chef-d'oeuvre".
Bien que peu emballée, mon côté bon public a très vite repris le dessus donc j'ai entamé la lecture des aventures de Bridget...
Déjà, j'ai trouvé que ça ne cassait pas trois pattes à un canard. le concept du journal en lui-même est intéressant mais pour le contenu on repassera et Bridget... Mon dieu Bridget, elle est un peu boulet cette fille. Elle est mignonne dans ses gaffes et dans ses attitudes, je suis d'accord dans le fait qu'il est plus facile de s'identifier à elle qu'à la première cocotte poudrée imbuvable qu'on nous sert d'habitude en chick-lit mais quand même elle a pas inventé l'eau chaude et elle donne une drôle d'image de la trentenaire lambda.
La déception sur l'héroine passée, j'essaie de chercher un intérêt aux autres protagonistes de cette bande de bras cassés qui composent son cercle d'amis et là encore je me suis heurtée à un mur.
Je dois vous avouer que j'ai eu un mal de chien à le terminer, certains passages qui sont censés être drôles sont plus lourds qu'autre chose. Décidément je n'accroche pas, c'est pas faute d'essayer mais je n'y arrive pas.
Après tous les goûts sont dans la nature donc ne faites pas cas de cet avis si vous faites partie de celles qui ont adoré, pour celles qui ne l'on pas encore lu, essayez pour vous faire une opinion, moi j'ai vite passé mon chemin et je m'en porte pas plus mal.

Des personnages antipathiques L'histoire dénigre la femme, la fait passer pour moins que rien
Livre a ne pas laisser dans les mains des ados

On peut se demander ce qui m'a pris de lire un livre pareil quand on voit le résultat en bout de course. Je n'aime pas du tout ce qui est girly, j'évite la chick-lit parce que c'est pas mon truc, et j'aime pas les romances ou n'importe quel roman d'un autre genre qui en contient un peu trop. Pour les films c'est la même chose, ça me barbe et du coup j'ai la tête ailleurs et je ne suis plus rien.
Alors pourquoi m'infliger ça? Peut-être quelques tendances maso, sans doute...mais aussi parce que j'ai toujours été d'avis qu'il faut se faire sa propre opinion, que pour expliquer pourquoi on n'aime pas quelque-chose il faut quand même argumenter derrière, et puis on n'est jamais à l'abri d'une bonne surprise, ce ne serait pas la première fois. Parfois aussi ça fait du bien de sortir un peu de ses habitudes et de se mettre au défi.
J'avais besoin d'une lecture légère et d'un peu d'humour, on n'est pas obligé de se sentir concerné par l'histoire pour être touché, et il correspondait à plusieurs défis Babelio auxquels je participe. Quand je l'ai trouvé dans la boîte à livres à Lourdes, je me suis dit que c'était l'occasion ou jamais, un signe...
En tout cas si le bon dieu existe c'est pas lui qui me l'a envoyé. Aïe Aïe Aïe...je préfère prévenir, pour les fans, je crois que vous avez compris mon avis, pas la peine d'aller plus loin.

Pour les autres, allons-y Alonso, prends ta casquette Bridget. Commençons tout de suite par le coeur de la bête, ses fameux personnages dont notre héroïne Bridget. Pas sympathique pour un sou, bête comme ses pieds (non c'est pas de la maladresse elle a vraiment rien dans le crâne), elle se drape dans un féminisme de façade pour cacher que sa seule préoccupation dans sa vie c'est de correspondre aux clichés contre lesquels elle se "bat", aucune cohérence. Elle a une vie plate et sans intérêt parce qu'elle le veut bien, tout l'ennuie, elle n'aime rien faire, elle n'aime personne sauf ses potes qui sont pas beaucoup mieux et qui sont eux aussi un concentré de clichés.
Les personnages sont beaucoup trop caricaturaux pour être drôles, combien de fois j'ai levé les yeux au ciel en me disant "mais qu'est-ce qu'elles sont connes!". Tous ces personnages sont futiles, superficiels, l'image des femmes est terrible mais les hommes ne sont pas beaucoup mieux, en gros ce sont soit des pourritures soit des princes charmants car oui il est bien là lui aussi (un être humain normal, entre deux etc...connais pas). Aucun juste milieu, même si c'est l'exagération qui fait l'humour, là c'est tellement poussé que s'en est invraisemblable et on ne ne se sent absolument pas concerné.
Les quantités énumérées en début de chapitre ne sont pas crédibles, d'autant plus que madame qui fume comme Serge Gainsbourg, picole en grande quantité à toute heure et bouffe n'importe quoi arrive à rester suffisamment jolie et mince pour se faire courir après par tous les beaux gosses très riches devant lesquels les femmes se pâment, elle est tellement complexée qu'elle se pointe à une soirée déguisée en porte-jarretelles, bref. Mais bien sûr!

L'histoire, pas grand chose à en dire à part qu'elle est aussi consistante que ses personnages et que pour la comparaison avec Jane Austen que j'ai entendu à tour de bras il faudra repasser. Pour un livre du XIXème que je craignais pour les raisons citées plus haut, les personnages fins et profonds, l'histoire et le contexte d'"Orgueil et Préjugés "en font un excellent roman que j'ai su apprécier et qui m'a fait passer outre mes à priori, contrairement aux aventures de la Bridget.
Comme pour l'histoire, passons en coup de vent sur le style et l'écriture, puisque le style "journal intime" excuse apparemment tout, y compris l'absence de mots n'importe où. Et alors les noms de certains personnages: Perpetua, Desdemona, Darcy (référence même pas cachée au moins)...

Plus jeune et dans des thématiques similaires j'avais pourtant bien rigolé avec Friends ou les livres de Nicole de Buron, je ne suis donc pas non plus une brute insensible, mais là ça n'a pas pris. Après ce n'est qu'une opinion personnelle, en même temps c'est une lecture facile et pas prise de tête, et je ne m'attendais pas à être éblouie soyons honnête. Comme on dit il en faut pour tous les goûts et tant mieux s'il existe une telle variété littéraire pour que tout le monde trouve quelque-chose qui lui sied. Quant à moi je vais remettre de côté ce type d'ouvrages...pour l'instant.

J'ai vu le film le journal de Bridget Jones pour la première fois il y a longtemps, alors que je ne connaissais même pas encore Jane Austen. J'étais surprise d'apprendre que cette histoire était une transposition partielle à nos jours d'Orgueil et préjugés, après avoir découvert ce magnifique roman. Pendant mes révisions, j'ai revu le Journal de Bridget Jones d'un point de vue janéite, et dans la foulée je me suis lancée dans la lecture du roman, que je n'avais encore jamais pris le temps de découvrir. le bilan est assez catastrophique (fans de Bridget Jones, abstenez-vous de lire ce qui suit…)

Parlons d'abord du livre, plus frais dans ma mémoire. La première chose qui m'a sauté aux yeux, c'est qu'Helen Fielding a joué à fond la carte du « journal intime ». J'aurais pu trouver ça original, que ça me plaise, mais ça m'a bien saoulée. Ça m'est apparu pour être une excuse pour ne faire aucun effort sur la forme, au niveau de l'écriture. C'est extrêmement révélateur de la personne qu'est Bridget : obsédée par son image (elle se pèse chaque jour !) et par des choses purement matérielle, très infantile et tellement bête ! Ce n'est même pas qu'elle est maladroite, elle est juste stupide. Son babillage incessant m'importunait, ses histoires et ses aventures m'importaient peu. Et, bien entendu, elle n'a rien à voir avec Lizzie, ce n'est pas à ce sujet qu'il faut chercher la ressemblance avec l'oeuvre de Jane Austen. Bridget recherche soi-disant l'amour, mais pour moi il transparaît assez clairement que ce qu'elle veut, c'est quelqu'un qui soit à sa disposition 24h/24 et qui lui apporte des conditions de vie plus élevés. En gros, être célibataire est un mauvais statut social, il faut absolument se marier. Elle se plaint d'être acculée par certaines personnes de son entourage qui ne cessent de l'interroger sur ses amours, et au final elle suit complètement leur raisonnement. Ridicule. J'ai lu certains chroniques qui disaient que Bridget avait fait hurler de rire la lectrice, et qu'elle s'était retrouvée en elle. Ce ne fut pas du tout mon cas, j'ai rarement croisé des héroïnes si peu attachantes.

Parlons des autres personnages. Son père est simplement inutile. Les amis des parents donnent une bien piètre image des Anglais. Daniel est l'archétype du mec à filles bien macho. Les amis, Jude, Sharon et Tom, ne sont pas bien intéressants, voire carrément insupportables (surtout les deux filles, elles sont tellement c***** !). Mark Darcy est par contre un type assez agréable, mais bien trop lisse. A part avoir une légère saute d'humeur au début de l'histoire, le mec est parfait, tellement qu'on n'y croit pas. Et la mère… C'est affolant. Elle est pire que Mrs Bennet. Non seulement elle aimerait caser sa fille avec un homme riche, mais en plus elle n'a pas l'air d'aimer sa fille, elle est égoïste comme pas possible et encore plus idiote et vaine que Bridget. Son personnage est utilisé vers la fin du roman pour opérer un parallèle avec Orgueil et préjugés, quand Mr Darcy part à la recherche de Lydia et paye tous les frais nécessaires pour rétablir la réputation des Bennet. Sauf que c'est n'importe quoi. Mark dans l'histoire n'a aucune raison de faire ce qu'il fait, pour la simple et bonne raison qu'on est bien au-delà de la fuit avec un amant, et qu'il n'y a pas a moindre probabilité pour qu'un homme comme ça tombe amoureux d'une fille comme Bridget. Les autres parallèles ne sont pas forcément mieux faits, je ne comprends même pas pourquoi l'auteure a voulu absolument utiliser le nom de Darcy. Encore une personne qui ne fait que salir ce héros. Daniel est un piètre Wickham, on le voit au final très peu. Natasha est une assez bonne Caroline en revanche, mais à part lancer des traits de vipère, elle ne constitue aucune menace. le parcours des amoureux n'est même pas réellement semé d'obstacles. Bref, ce fut une très mauvaise lecture.

Quant au film, j'arrive à l'apprécier un peu plus. L'histoire est mieux construite, même si le personnage de Bridget reste stupide et donc l'histoire d'amour impossible. En outre, je n'ai jamais été très fan de Renée Zellweger, même s'il y a certains films où elle joue que j'aimerais voir et que j'ai vraiment aimé Miss Potter, film vu grâce aux copines. Heureusement que Hugh Grant et Colin Firth remontent un peu le niveau, et que l'humour est très présent. Il y a davantage de rythme et de péripéties et les changements opérés par rapport aux livres sont les bienvenus, mais ça n'en fait pas un bon film.
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Deuxième essai de lecture de ce roman. C'est encore un abandon et une déception. J'ai aimé le film mais aucunement le livre. L'idée d'écrire sous la forme d'un journal était bonne mais le style est tellement mauvais qu'on s'ennuie.

Léger, très léger, plus que léger...Ce n'est même plus drôle après 2 pages. Mais, peut-être n'ais-je plus l'âge...

Nul Creux
Très mal écrit Beaucoup de fautes de français, des mots écrits a la suite qui ne veulent rien dire.
J'ai acheté les deux ensembles quelle erreur. Je ne sait pas si je vais lire l'autre. j'ai termine péniblement cette histoire qui s'emmêle de plus en plus dans le mélo. Rien de drôle dans les démêlés rocambolesques de cette célibataire ivrogne et tabagique.
A ne pas faire lire aux ado. Ce livre dénigre la femme et les célibataires, et les fait passer pour des moins que rien.

Ce livre m'avait été présenté comme amusant et divertissant... Alors, quelle déception ! Bridges Jones, la trentaine, se comporte comme une adolescente: elle est obsédée par son poids et obnubilée par la peur de ne pas parvenir à se caser. Elle consulte régulièrement le numéro des Télécom qui lui permet de savoir si celui sur lequel elle a jeté son dévolu l' a appelée. Beaucoup de ses mésaventures sont de mauvais goût. le livre se veut drôle mais l'humour est souvent vulgaire et tellement grinçant qu'on a du mal à sourire. Lecture décevante. C'est avec plaisir que je ne lirai pas les autres!

J'avais vu l'adaptation il y a un petit moment déjà. Pour le livre j'ai mis longtemps à le lire et là c'est négatif, il m'ennuyait peut-être est-ce parce que je ne comprenais pas tout (lu en anglais).

L'héroïne m'a fait penser à Georgia Nicolson qui tient elle aussi un journal (et je préfère Georgia), mais Bridget m'exaspérait, elle est stupide avec ses obsessions de l'apparence et des hommes (comment peut-elle sortir avec un coureur de jupons comme Daniel et croire au grand amour o.O !). Et son journal est peut-être drôle mais je n'ai pas une seule fois ri.

Daniel, irrespectueux et coureur de jupons, le genre d'homme que je déteste (et la façon dont il parle à Bridget -_-'). Mark Darcy (Darcy venant d'Orgueil et préjugés de Jane Austen, j'adore largement celui d'Austen, incomparable), il m'a semblé vide…

Déçue de cette lecture qui aurait pu être plus agréable (d'habitude la chick-lit me divertit un minimum). Je ne me lancerai donc pas le tome suivant. Pour une fois, je pense préférer le film !
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